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L’arme ultime de Nelson Mandela dans son combat pour la paix et la liberté

Sur la photo : Nelson Mandela (18 juillet 1918 – 5 décembre 2013)

Chaque 18 juillet depuis 2010 c’est le « Mandela Day », journée internationale proclamée par l’UNESCO afin de commémorer la contribution de Nelson Mandela, premier président noir d’Afrique du Sud, à « la promotion d’une culture de paix ».

Durant cette journée, chaque citoyen du monde est appelé à consacrer symboliquement 67 minutes de son temps à une œuvre au service de la collectivité, en mémoire des 67 années que Mandela a vouées à la lutte anti-apartheid et à la réconciliation.

Que faire ? Ce sont parfois les plus petites actions qui ont les plus grandes conséquences : offrir un sourire, aider un inconnu, éviter de s’énerver et préférer le dialogue pour dénouer les problèmes… La parole est la meilleure arme des combattants de la liberté.

La meilleure arme c'est s'asseoir et parler

Citation de Nelson Mandela : « La meilleure arme c’est s’asseoir et parler »

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Au Québec aussi, l’excellence se cultive dès le collège

Quebec école secondaire privé à Laval

L’éducation est le point d’orgue d’une société qui se porte bien. Ce n’est pas nouveau, c’est un fait qui est prouvé depuis de longues années et qui est encore et toujours soutenu par les gouvernements. Dans le monde entier, les projets pédagogiques sont essentiels et ce n’est pas différent au Québec. En effet, l’excellence se cultive dès le premier âge, c’est un point important et il est intéressant de l’aborder aujourd’hui. Laissez-nous vous donner quelques informations sur les projets pédagogiques menés dans ce pays.

De nombreuses innovations

L’école évolue constamment, et ce depuis plusieurs générations. Il est important de proposer aux élèves des projets en lien avec leurs préoccupations. Il faut impérativement que les projets pédagogiques soient innovants et permettent à chaque enfant de trouver sa place dans la société moderne et actuelle. C’est pour cette raison que les collèges au Québec à l’instar de l’école secondaire privé à Laval notamment travaillent pour innover et proposer des projets intéressants, qui sauront passionner les élèves et les conduire vers l’excellence au quotidien et dans le futur.

Des projets pédagogiques adaptés

Le monde change, al société évolue, et les projets pédagogiques aussi. C’est un point clé de la réussite des élèves que de leur proposer des activités en lien avec leurs préoccupations. Il n’est plus question de les former comme avant. Au contraire, il est essentiel de les motiver et de leur faire apprécier l’école au maximum. C’est pour cette raison qu’au Québec, dès le collège, plusieurs activités sont proposées aux étudiants. Ces derniers peuvent ainsi s’épanouir dans un sport à haut niveau ou encore développer leur passion pour les arts par exemple. Chaque élève peut trouver un intérêt à l’école, et ainsi apprendre dans de meilleures conditions.

Mieux vivre ensemble

L’école ce n’est pas seulement un apprentissage scolaire. C’est aussi un apprentissage social. Il faut impérativement cultiver le mieux vivre ensemble, et ce dès le plus jeune âge. Il est impératif de nouer s’épanouir sur tous les plans pour devenir un être épanoui aussi bien pédagogiquement que socialement. De nombreuses activités sont proposés collectivement afin que chacun puisse trouver sa place et nouer des liens en fonction de ses intérêts et de ses envies. C’est aussi ça l’école, et le collège au Québec n’oublie pas ce projet essentiel pour la vie en collectivité. Vivre ensemble n’est pas toujours inné, il faut apprendre à respecter les autres et à leur apporter chaque jour quelque chose en plus.

Une formation de qualité

Bien évidemment, l’école c’est aussi et avant tout l’apprentissage. La formation doit être de qualité et permettre aux élèves de se construire un avenir radieux. Il faut que leur vie professionnelle future leur permette de s’épanouir et de s’assumer. C’est là tout le projet des écoles au Québec qui aident les étudiants à définir un projet d’avenir intéressant et stratégiques. L’objectif étant de les mener toujours plus loin dans leurs ambitions et de les accompagner pur les aider à relever des défis passionnants.

Vous l’aurez compris, le projet éducatif a plusieurs facettes, et c’est justement là tout l’intérêt. Choisir une école pour un enfant est un moment essentiel dans sa vie et pour son futur, ne l’oubliez pas.

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Les gentils, les méchants, et les gens ordinaires

Résistante Germaine Tillion citation

Germaine Tillion, ethnologue et résistante française (1907-2008), après avoir survécu aux deux grandes guerres, avait ces mots terribles sur notre condition ordinaire :

« L’humanité se compose de deux minuscules minorités : celle des brutes féroces, des traîtres, des sadiques systématique d’une part, et de l’autre celle des hommes de grand courage et de grand désintéressement qui mettent leur pouvoir, s’ils en ont, au service du bien. Entre ces deux extrêmes, l’immense majorité d’entre nous est composée de gens ordinaires, inoffensifs en temps de paix et de prospérité, se révélant dangereux à la moindre crise… »

Citation de Germaine Tillion

Titulaire de nombreuses décorations pour ses actes héroïques durant la Seconde Guerre mondiale, Germaine Tillion est la deuxième femme à devenir Grand-croix de la Légion d’Honneur après Geneviève de Gaulle-Anthonioz. Elle est morte le 19 avril 2008.

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Impact a l’oral : qu’est-ce qu’un « OSOIC », et comment le maitriser ?

Savez-vous vraiment quelle impression vous donnez lorsque vous prenez la parole ? Avez-vous parfois le sentiment de ne pas être écouté, ou d’être mal compris ? Aimeriez-vous être plus convaincant, plus captivant, plus charismatique ?

Pour decupler son impact a l’oral, donner une meilleure image de soi et être plus captivant, la méthode du groupe Othello est inédite et surtout scientifique. Elle permet de mesurer et d’augmenter votre impact communicationnel à travers les trois dimensions que sont le verbal, le paraverbal et le non verbal. Pour cela, les experts du groupe Othello ont etudie toutes les techniques de communication depuis l’antiquité jusqu’a nos jours (presque 2500 ans de manuels de rhétorique…) et ont identifie celles qui fonctionnent vraiment. Au final, ce sont pas moins d’une trentaine d' »OSOIC » qui ont ainsi été retenus dans la méthode exceptionnelle du groupe Othello.

Mais qu’est-ce qu’un « OSOIC » ? Ces 5 lettres renvoient a : Othello’s Scientific Oral Impact Criteria. Ou, en français : les critères scientifiques d’impact a l’oral d’Othello. La mention d’Othello signe tout simplement la paternité de cette méthode unique. Mais le terme le plus important est surtout scientifique. En effet, les formations en communication sont souvent tout sauf scientifiques, menées par des experts de la scène ou des media qui se basent sur un ressenti, sur des intuitions ou de l’empirique et non sur des critères objectifs. Le groupe Othello se démarque en cela que la validité de chaque critère s’appuie sur une étude scientifique (dans le champs de la psychologie).

Ces critères, ou OSOIC, sont comme tout autant de tactiques de leadership.Toute personne régulièrement amenée à prendre la parole en public, à gérer ou s’intégrer au sein d’une équipe, ou souhaitant développer son aisance relationnelle, gagnera a maitriser cette palette d’une trentaine d’OSOIC.

Grace aux formations en communication du groupe Othello, toute personne peut :
– Augmenter automatiquement son charisme grâce à l’utilisation combinée des OSOIC
– Améliorer sa présentation immédiate, adopter la bonne posture
– Maîtriser ses mouvements et déplacements, joindre le geste à la parole
– Trouver le ton, gérer les silences, adapter le rythme de sa parole
– Développer sa capacité à improviser et son sens de la répartie
– Développer la puissance de sa voix et capter l’attention en jouant sur les modulations
– Savoir introduire / développer / conclure ses discours et marquer les esprit !

Les formations du groupe Othello mêlent théorie et pratique, et utilisent le media training comme outil privilégié. Dans les grandes lignes, leur methode consiste a effectuer ce qu’ils appellent un bilan à l’oral complet individualisé (verbal, paraverbal, non verbal) en début et fin de formation, et passer en revue tous les critères scientifiques d’impact à l’oral, c’est-a-dire aborder dans le détail chacun des 34 OSOIC. Ils utilisent des technologies de pointe (notamment leur logiciel HEXAGONE, qui vient compléter leur grille d’analyse exclusive OSOIC) pour mesurer l’impact des participants sur le groupe et quantifier les progrès réalisés Avant / Après formation.

Renseignez-vous directement auprès d’eux pour en savoir plus et établir un plan de formation personnalise en vue d’objectifs particuliers : http://www.othello.group/contact/

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La com’ politique comme vocation : le code du parfait petit communicant

A quoi distingue-t-on un bon communicant d’un mauvais communicant ? Ce n’est pas évident, car les effets des actions de communication sont souvent difficiles a évaluer, d’autant plus en matière de communication interne. Sur le plan politique, c’est encore plus technique, car les effets sont quasiment impossible a maintenir dans la durée (rythme des élections, remplacement des équipes a chaque échec…) mais le domaine de la com’ politique est aussi le meilleur moyen d’identifier les caractéristiques d’un bon communicant. A celles et ceux qui cherchent de bons collaborateurs, ou qui veulent devenir la perle rare, voici le code du parfait communicant, en 11 commandement clairs et directs :

1. Au service de la cause défendue par son parti ou son association (ou au service de la vision défendue par son entreprise), le bon communicant lui est entièrement dévoué en tout temps et en tout lieu.

2. Le bon communicant accomplit sa mission avec la volonté de gagner et de vaincre, et si nécessaire au péril de son image publique. La cause l’emporte sur son ego et sa petite personne. Il sait que tout n’est qu’apparence, et n’a pas peur que son image soit déformée par les médias qu’il tente par ailleurs de manipuler chaque fois que possible. Il accepte d’être un simple fusible, prêt a sauter au moindre problème ou caprice de son supérieur. S’il sait tailler de bonnes pipes, c’est un plus.

3. Maitre de sa force, conscient de son pouvoir de conviction et de manipulation, il fait mine de respecter ses adversaires ou concurrents, et veille a ne pas trop malmener les personnes qui ne constituent pas directement sa cible. Bref, le bon communicant doit savoir doser son pouvoir d’influence, et ne pas le diriger n’importe ou : il faut savoir économiser et éviter de gaspiller, les relations publiques c’est pas gratuit non plus.

4. Le bon communicant politique (ou autre) sait obéir aux ordres de la hiérarchie ou du client quand il le faut. C’est une vraie petite pute docile. Il sollicite le service juridique du boss pour éviter d’être trop hors-la-loi. Il invoque la tradition, les coutumes, ou encore de grandes notions abstraites qu’il présente comme des « valeurs » pour défendre absolument n’importe quoi, il s’en fout en fait, d’ailleurs le seul mot de « valeur » est interprété comme une valeur en soi. Le bon communicant doit avoir cette attitude de détachement, ne pas trop s’impliquer émotionnellement, bref, se comporter comme un connard si besoin sans pour autant avoir le sentiment d’être un connard. Surtout, il ne doit pas en tirer le moindre plaisir : il doit rester professionnel, très important ça.

5. Le bon communicant fait preuve d’initiative quand il le faut. Il doit apprendre a s’adapter en toute circonstance, jusqu’a retourner sa veste ou servir le parti opposé. Le bon communicant ne doit pas être con : il faut aller la ou il y a du travail et de l’argent.

6. Véritable professionnel de la communication, il entretient ses capacités intellectuelles, physiques et sexuelles (et oui, aussi), et développe sa compétence et sa force morale. Il doit savoir se détendre aussi, surtout son trou de balle, pour pouvoir détendre a son tour son boss. Les compétences sexuelles, notamment le léchage de boule et le suçage de barre, sont déterminantes dans le succès et la progression du communicant. L’idéal est qu’il devienne une véritable serpillère a foutre.

7. Membre d’une communauté solidaire et fraternelle (son parti, son association, son entreprise ou tout autre groupe de mes deux, qu’est-ce que j’en sais moi, bordel), le bon communicant agit dans l’apparence de l’honneur, de la franchise et de la loyauté. Apparence, car tout n’est qu’apparence. Quand ca l’est vraiment, tant mieux, mais techniquement ça ne change rien donc on s’en fout un peu.

8. Attentif aux autres et déterminé a surmonter les difficultés, il oeuvre pour la cohésion et le dynamisme de son groupe.

9. Le bon communicant est ouvert sur le monde et la société, et en respecte les différences. Il fait mine de cracher sur la norme ou les traditions, sauf s’il travaille pour un parti de droite. Logique.

10. Le bon communicant ne doit pas forcement savoir communiquer lui-meme ! Il doit d’ailleurs même s’exprimer avec réserve pour ne pas brouiller le message du groupe qu’il représente, sauf s’il est désigne comme le porte-parole. Mais attention a ne pas dire ce qu’il pense ou ce qu’il veut. Porte-parole signifie bien qu’il porte « une » parole, qui n’est donc pas forcement (et même jamais) la sienne. Il est donc prudent sur l’expression de son avis dont tout le monde se bat, sur les questions philosophiques, politiques et religieuses notamment. Paradoxal, n’est-ce pas ? Pourtant, c’est logique aussi… En politique, il s’agit de dire sans dire. Il ne manquerait plus qu’on debatte « sérieusement » qui sait ou ça risquerait de nous mener !

11. Fier de son activité de petite pute , le bon communicant politique leche-boule est, toujours et partout, un ambassadeur de sa cause, de sa famille politique ou associative, de son pays, de l’humanité. Il évoque toujours par quelques mots abstraits bien sentis une cause qui le dépasse individuellement, et répète que c’est sa vocation. Il n’a pas peur de parler de « destin ».

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Eloquence et vigilance : attention à l’alcool avant une intervention en public !

L’alcool fait partie de notre culture : un petit verre de vin rouge pendant le déjeuner, une petite bière pour se désaltérer… Les occasions de boire sont nombreuses, même si a chaque fois il ne s’agit que d’un verre… Ou deux… Allez, pourquoi pas un troisième… Notre entourage amical ou professionnel nous pousse naturellement a boire : « allez, pour m’accompagner ! », pas toujours facile de résister… Et puis, un peu d’alcool, ça « délie les langues », on se sent plus confiant, plus audacieux. Ça peut nous donner l’impression de nous calmer, on peut être tenter de boire pour calmer son stress, ou son trac… Certaines personnes sont même tentées de boire précisément parce qu’elles ont une intervention en public a faire ! C’est la plus grosse erreur de tout orateur.

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De la même façon qu’il est préférable de surveiller votre alimentation avant une intervention, il vous faut surveiller avec tout autant de rigueur ce que vous allez boire : évitez les boissons gazeuses (risque de rots pendant que vous parlez), évitez le cafe (pouvant causer des problèmes de digestion, une bonne chiasse bien liquide amplifiée par le trac serait malvenue en plein milieu de votre discours en public), et, surtout, bannissez l’alcool ! Perte de contrôle, distorsion temporelle, somnolence, modification de la voix, risque d’oubli, comportement inapproprié, excès de confiance, insulte et vulgarité… Les effets nocifs de l’alcool sont nombreux, avec des effets d’autant plus dévastateurs pour les orateurs.

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La règle de l’orateur est donc de ne jamais boire d’alcool avant une intervention, même si c’est en soirée. De la même façon, le formateur ou le coach doit éviter de boire pendant le déjeuner, s’il anime des séances toute la journée. Par contre, prévoyez toujours de quoi boire (mais de l’eau, uniquement !). Et si vous buvez « malgré vous » un peu plus que de raison ? Alors gardez en tête ces 4 idées fausses sur la consommation d’alcool :

Idée fausse 1 : Prendre un cafe, boire de l’eau, faire du sport, ça dessoule. Faux ! Seul le temps diminue les effets de l’alcool. Alors inutile de vous précipiter sous une douche froide ou de boire une cuillère d’huile, ou autre « remède de grand-mère » complètement faux, archi-faux, ca ne sert a rien !

Idée fausse 2 : Mélanger son whisky avec du soda diminue les effets de l’alcool. Faux ! Faux, faux, faux ! Cela ne change rien puisque le volume d’alcool dans le verre reste le même ! Logique, non ? C’est simplement la concentration d’alcool présente dans le verre qui diminue. Le gout de l’alcool est donc moins présent, mais le risque est plus grand puisqu’on peut être tenté de boire plus, beaucoup plus…

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Idée fausse 3 : L’alcool donne des forces… FAUX. C’est la plus grosse bêtise, source d’erreur pour tellement de monde, et surtout pour les orateurs… Le conférencier qui arrive bourré pour sa conférence en pensant avoir ainsi trouvé un bon moyen de surmonter son trac… Bien que l’alcool procure provisoirement un sentiment d’euphorie, celui-ci cede rapidement la place a l’irrémédiable « coup de barre » qui intervient après avoir consommé des boissons alcoolisées en quantité. Bref, ne vous laissez pas piéger. ne croyez pas non plus que l’alcool peut gommer le trac ou vous destresser : grosse connerie, au moins aussi grosse que de prendre des beta-bloquants.

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idee fausse 4 : Il suffit d’attendre une heure pour reprendre le volant sans risques. Faux, faux, faux ! La limite de temps que l’on doit se fixer avant de reprendre le volant dépend de la quantité d’alcool absorbée. Plus on consomme d’alcool, plus on doit attendre. Par exemple, il faut entre 3 et 4 heures pour éliminer 2 verres d’alcool… Pensez-y avant de boire la moindre goutte ! Et attention : une fois votre intervention en public terminée, vous aurez très probablement envie de vous détendre, de vous relâcher… Et pour peu qu’il y ait un petit cocktail en suivant, un buffet avec du vin ou du champagne, ou encore un « pot de l’amitié », la tentation est grande de boire, ne serait-ce qu’un peu… Et c’est la que le drame peut arriver, après avoir surmonter le trac et l’épreuve… Donc : vigilance !

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