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Look au masculin : attention au détail qui tue ! (31 erreurs de style à éviter pour se mettre sur son 31…)

L’apparence n’est pas superficielle, c’est une question à traiter avec un grand intérêt et une grande importance. Si vous envisagez d’améliorer votre style ou d’en changer, ayez en tête ces 3 principes fondamentaux du relooking avant de vous précipiter vers n’importe quels nouveaux vêtements clinquants.

Que ce soit pour le réveillon, une fête, un événement particulier, il arrive plusieurs fois chaque année que l’on veuille se mettre sur son 31. D’ailleurs, petite anecdote au passage, savez-vous d’où vient cette expression « se mettre sur son 31 » ? On aurait pu penser qu’elle désignait précisément le 31 décembre, soit le jour du réveillon. Les historiens proposent d’autres explications possibles : 

La première hypothèse concerne la Prusse. Il s’agirait du 31 du mois, donc comme pour le 31 décembre, mais également pour tous les autres mois de l’année : le 31 arrive donc 7 fois par an, date à laquelle les soldats de troupe recevraient alors un supplément pour terminer le mois. On aurait alors organisé à cette occasion tous les 31 du mois une visite des casernes, où les soldats devaient tout nettoyer et avoir l’air le plus beau possible.

Une autre hypothèse renvoie à l’ancienne forme « se mettre sur » pour « mettre sur soi », « s’habiller ». Le chiffre 31 serait tout simplement une déformation de trentain qui désignait un drap très luxueux. 

Quoi qu’il en soit, en retiendra qu’il s’agit de se présenter sous son meilleur jour, avec ses habits les plus beaux et les mieux portés. Très bien. Hélas, ce ne sont pas des habits que l’on porte tous les jours, et les erreurs de style et fautes de goût sont donc beaucoup plus risquées ! Dans un précédent article nous avions déjà souligné 9 erreurs de style typiques de la vie de tous les jours… Voici 31 détails auxquels faire tout particulièrement attention, pour les hommes, afin d’être le plus élégant possible :

Attention au niveau des chaussures

Partons de la base, au niveau des pieds et des chaussures :

1 – Evitez absolument les tongs, premier principe ultime ! De même que les boots à talonnettes…

2 –  Attention aux talons éculés. Faites-les refaire de temps à autres par un cordonnier.

3 – Ne soyez pas pieds nus dans vos chaussures au travail. Certes, il y a une certaine mode aux pieds nus, mais dans des chaussures estivales – pas au travail, donc ! Par ailleurs, il est possible de mettre des mini-chaussettes qui ne remontent pas sur les chevilles, afin d’éviter de foutre en l’air ses chaussures en transpirant et en suintant dedans.

4 – Mettez des chaussettes, donc, mais pas de chaussettes ou socquettes blanches ! (réservées au sport…)

5 – Toujours à propos des chaussures : veillez à ce qu’elles soient correctement cirées. Des chaussures mal cirées se remarquent bien plus vite qu’on ne le croit.

Passons au niveau du pantalon

6 – L’erreur typique – et affreuse : les pantalons trop courts, trop serrés ou « pampers » (vous voyez l’image…)

7 – Attention aux pantalons trop car cela renvoie aux erreurs précédentes : si le pantalon laisse voir la couleur de vos chaussettes…

8 – Pas de revers de pantalon sur un smoking !

9 – Pas de smoking avec des mocassins…

10 – Evitez les boucles de ceinture trop voyantes. La sobriété est de mise.

Au niveau de la veste et de l’ensemble

11 – Attention aux couleurs qui jurent. En vous tournant vers des experts en relooking, vous apprendrez a mieux combiner les couleurs et les ensembles, et vous découvririez grâce au « test du draping » les couleurs qui vous vont le mieux au teint.

12 – Evitez la veste trop petite qui, étriquée ou trop large, vous écrase. De même, évitez la veste de costume ou la chemise qui « explosent » sur le ventre (ça tire sur les boutons… vous voyez ?). Pour cela, prenez le temps de choisir un costume a votre taille, avec un peu d’excédent si nécessaire, et faites-le retoucher par un couturier. Le « prêt-à-porter », quand on vise un certain standing, ça n’existe qu’à moitié. Les retouches sont quasiment toujours nécessaires.

13 – De même qu’il faut éviter les couleurs qui jurent, il est préférable d’éviter les mélanges de couleurs tristes.

14 – Pas de chemise cintrées en nylon.

15 – Pas de pochette de couleur vive ! Et gardez en tête qu’une pochette ne se porte pas avant 18h et, surtout, ne doit pas être dans le même motif que la cravate !

Au niveau du col et de la cravate

16 – Attention au col de chemise « pelle à tarte », façon année 70.

17 – Pas de débardeur « Marcel » sous la chemise…

18 – On évite bien évidemment les vêtements froissés ou troués. Ne croyez surtout pas que ça passera inaperçu ! Le moindre petit trou attirera mécaniquement tous les regards. Bref, faites une petite vérification avant de mettre certains vêtements que vous ne mettez quasiment jamais et que vous n’avez pas mis depuis des mois voire des années !

19 – Erreur typique : la cravate à mi-poitrine. Apprenez à faire un nœud de cravate comme il faut, et refaites-le plusieurs si besoin pour que la cravate tombe bien. (Re)Lire l’article : Élégance au masculin : le charme discret de la cravate

20 – Evitez l’épingle à cravate…

21 – Attention au col de chemise ouverte sur une gourmette.

22 – Attention, enfin, aux vestes courtes pour les postérieurs charnus. En clair : si vous avez des grosses fesses, le dos de la veste doit tout de même en couvrir une partie, et non s’y reposer…

En ce qui concerne les accessoires

23 –  Les hommes portent généralement beaucoup moins d’accessoires que les femmes, mais on ne sait jamais. Faites donc attention aux bijoux voyants : gourmette, lourdes chevalières, ou chaines en or émergeant des poils du torse.

24 – Evitez le sac à main en bandoulière… Par pitié…

25 – La faute de gout qu’on ne voit pas, et pour cause : porter des lunettes qui ne nous correspondent pas. Prenez donc tout le temps qu’il faut chez l’opticien, consultez votre entourage, et carrément pourquoi pas un coach en relooking qui pourra vous aider dans ce choix crucial.

Enfin, attention aux soins du corps !

26 – Le look, ce n’est pas seulement le costume que l’on porte ! C’est aussi la manière de prendre soin de soi… Pensez donc aux ongles trop longs, rongées, ou sales : répugnant !

27 – Attention à vos cheveux, notamment s’ils sont gras. Utilisez pour cela un shampoing adapté.

28 – Les pellicules sur la veste. Beurk. Le choix du shampoing est là aussi déterminant.

29 – Les cheveux pas coiffés. Eh oui, la coiffure aussi fait totalement partie du look. Vous pouvez choisir un look volontairement déstructuré, mais dans ce cas vos cheveux sont précisément coiffés de telle manière à ne pas avoir l’air trop coiffés… Subtilité, quand tu nous tient…

30 – Attention à la mèche trop longue, transparente, rabattue sur un crâne dégarni. Messieurs, si vous perdez vos cheveux, vous devez assumer. Comme pour tout autre aspect physique, le look chauve ou dégarni ne pose aucun problème tant qu’il est assumé.

31 – A l’inverse, des pattes trop longues, ou des cheveux trop long dans la nuque. Surveillez les tendances capillaires du moment !

Voilà donc 31 erreurs typiques, pourtant faciles à éviter pour peu qu’on les connaisse et que l’on prenne le temps de se préparer. Soigner son image est crucial. Et pas seulement pour s’habiller au travail… Peut-être avez-vous trouvé des erreurs que vous commettez régulièrement, et cela peut avoir quelque chose de vexant. Pour conclure j’aimerais donc insister sur ce point : accepter la critique permet de s’améliorer. Ça fait mal, parfois très mal, mais c’est cela qui permet de changer en mieux. Se vexer ou être susceptible ne sert à rien.

Rappelez-vous qu’un bon vin est meilleur dans un verre en cristal que dans un verre en plastique. Si vous êtes quelqu’un de valeur, cela doit donc aussi se sentir dans votre façon de vous habiller et de vous tenir. Il ne s’agit pas de trop en faire ! Il faut simplement penser à notre « packaging »… En clair, notre image ne doit pas être source de commentaires. Est-il plus important d’être vu et bien vu, ou d’être remarqué ? A méditer…

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L’importance de l’apparence : les 3 principes fondamentaux du relooking

Vous avez certainement déjà entendu ce dicton, souvent cité comme une boutade : « Nous n’avons qu’une seule fois l’occasion de faire une bonne première impression » ! véritable lapalissade, la formule est attribuée Coco Chanel. Cette citation est parfois attribuée à Mc Kenna, ce qui ne manque pas d’ironie quand on connait ses prises de positions radicales contre la culture et tout ce qui, selon lui, relève de l’apparence et masque notre véritable nature…

Effectivement, la première impression que quelqu’un se fait de vous va souvent déterminer sa façon d’interpréter tout ce qui suivra, tout ce que vous ferez et direz. Vous serez en quelques sortes prisonnier, dans ses yeux, de l’image probablement fausse ou incomplète qu’il s’est faite de vous dans les premières secondes où vous l’avez rencontré… Et vous aurez le plus grand mal à modifier sa vision…

C’est pourquoi le propos de Coco Chanel ne doit pas être pris à la légère. David Swanson en donne une formulation un brin plus ironique : « Vous n’aurez jamais une deuxième chance de faire une bonne première impression. » L’idée clef qu’il faut retenir, c’est que toute tentative de rattraper la première image n’aurait que très peu d’impact. Cela ne veut cependant pas dire qu’il faut tout miser sur la seule première impression ! L’idéal est d’être suffisamment constant, et de maitriser suffisamment cette constance pour ne pas faire de faux pas dans les tout premiers moments d’une nouvelle interaction.

Il est nécessaire, si vous ne l’avez déjà développée, d’acquérir cette aisance, par votre confiance en vous, qui se reflétera dans votre gestuelle, votre comportement, vos attitudes, votre image personnelle, etc. C’est un volet fondamental du coaching en éloquence, qui consiste à développer le charisme perçu d’un orateur, mais également du relooking, qui mise sur les vêtements pour redéfinir votre silhouette et votre personnalité toute entière.

Comment le relooking peut-il vous aider à augmenter votre charisme et votre prestance en redéfinissant votre apparence ? Comment peut-on travailler spécifiquement cette « première bonne impression », et la maintenir dans la durée ? Voici 3 aspects fondamentaux du relooking, qui vont bien au-delà des habits et des vêtements, et qui relèvent pourtant directement du look :

1 – La posture est déterminante

Porter de beaux vêtements n’est pas suffisant. Il faut que le corps qui porte ces vêtements soit lui aussi au meilleur de sa forme. Un élément fondamental est la posture, qui doit tendre vers la plus grande droiture possible. En art oratoire on parle de la « verticalité » de l’orateur, c’est-à-dire sa façon de se tenir et se grandir en étant bien droit. Attention aux épaules voûtées, aux jambes qui sautillent ou dans des postures d’appuis asymétriques !

Le travail du relookeur se combinera alors idéalement avec un coach en éloquence, qui se focalisera dans un premier temps sur la posture. Des exercices permettent rapidement de corriger les plus gros défauts, et d’améliorer quasi-instantanément son impact visuel. A ce stade du relooking, peu importe les habits, il faut d’abord viser l’aisance du corps à revêtir…

2 – Avoir une bonne mine

Cet aspect est souvent négligé, alors qu’il déterminant dans le choix des couleurs de vos vêtements ! En effet, le secret d’un relooking ne consiste pas à choisir les couleurs qui nous plaisent, mais les bonnes couleurs, c’est-à-dire les gammes de coloris adaptés à notre teint de peau (chaud / froid). Le relookeur effectuera dans ce but le fameux test du draping, dont les résultats vous surprendront très certainement ! Et vous découvrirez que beaucoup de vos habits préférés, votre pull mauve ou votre pantalon vert, sont peut-être très beaux mais ne vous vont pas du tout, à vous…

En fonction de votre teint, de vos yeux et de vos cheveux, bref, selon ces aspects visibles de votre patrimoine génétique, certaines couleurs sont davantage recommandées que d’autres, quels que soient vos gouts. Être en dehors de ces gammes de couleurs qui vous correspondent, c’est s’exposer à avoir mauvaise mine, car le vêtement créera un contraste de teintes en votre défaveur.

Par ailleurs, il ne sert à rien de chercher à tout prix à être le plus bronze possible (message de prévention à tous les accrocs des UV). Le teint de peau ne se caractérise pas seulement par sa pâleur ou son bronzage, mais avant tout par la perception que la peau est celle de quelqu’un de sain ou en mauvaise santé. Comme le révèle une étude de Geary, en 1998 (VF p. 161), qui cite Kalick et al., 1998, « La santé des hommes considérés comme peu attirants a tendance à être sous-estimée, à l’inverse de celle des hommes très beaux qui était surestimée » (citée sur le site Evopsy). Il y a donc bien une corrélation entre la beauté perçue du visage des hommes et la santé, en tout cas pour les hommes considérés comme moyennement beaux, c’est-à-dire la majorité. C’est une subtilité dans la pigmentation qui peut donner l’impression que vous êtes malade. Certes, les activités au grand air, qui vous feront par ailleurs bronzer, contribuent bien sûr à rester sain, et donc avoir le meilleur teint possible…

3 – Avoir les bonnes coupes pour vos vêtements en fonction de votre morphologie

On a tous un jour ou l’autre flashé sur des vêtements, qui étaient vraiment beaux sur les mannequins du magasin ou en photo. Mais vous n’avez peut-être pas le physique, le profil et les mensurations des mannequins en question… Les vêtements qui sont du plus bel effet sur eux sembleront peut-être beaucoup moins impressionnants sur vous… Il faut accepter ces inégalités naturelles, aussi douloureuses soient-elles, car on ne peut pas les changer.

Par contre, on peut corriger ou maquiller certains aspects de notre physique avec des vêtements adaptés. C’est aussi l’enjeu du relooking, et le tout est d’être au clair sur ce que l’on veut faire. Que vise-t-on exactement ? Paraitre plus grand(e) ? Plus dynamique, mieux ordonnée, mieux « dans sa peau » ? Un bon relookeur vous guidera dans ce questionnement, qui peut être très profond et remonter très loin, et parfois toucher à de vieux complexes ou des croyances et des traumatismes profondément enracinés… Travailler son apparence, c’est aussi travailler sur soi, sur qui l’on est et qui on veut devenir. Ce sont des aspects souvent sensibles qui peuvent donner au relooking une tournure presque thérapeutique et psychologique.

Autre aspect déterminant dans le choix des vêtements : accepter de trouver les vêtements en fonction d’un style qui nous caractérise vraiment, et surtout pas cherchez à passer pour quelqu’un d’autre, ni forcement suivre la mode… Or, nous sommes tous malgré nous très influencés, et ces influences peuvent clairement interférer dans le bon déroulement d’un relooking. La personne souhaitant se relooker doit donc accepter de mettre de cote certaines croyances et illusions, et d’une certaine façon « lâcher prise » pour que le travail avec le relookeur soit le plus profitable possible.

Ce qu’il faut retenir en 4 points :

– Les vêtements font partie de notre « emballage » (qui tout aussi important que le « cadeau »…). Notre image est notre premier outil de communication !

– Les vêtements nous aident à équilibrer ce qui n’est pas parfait chez nous (mois de 10% des gens peuvent être considérées comme « parfaits », c’est-à-dire avoir des proportions parfaitement harmonieuses). Encore faut-il accepter de se laisser guider un minimum par le relookeur et ne pas succomber aux modes ou à nos propres goûts…

– Les vêtements nous aident à faire passer des messages, montre notre appartenance à une « tribu », à un monde, à un groupe social… La plupart des clubs très selects et très privées, comme le Travellers Club qui se réunit dans le mythique hôtel de la Païva à Paris, impose un dress code comme la veste ou la cravate obligatoire. De même, il importe de savoir comment s’habiller au travail.

– Nous vivons dans une société qui ne croit que ce qu’elle voit. « L’habit ne fait pas le moine… certes, mais il permet d’entrer dans le monastère«  ! Certains diront que c’est un problème, mais voyons le côté positif : si la nature ne nous a pas forcement gâtés, comparé aux mannequins des défilés de mode, alors nous pouvons malgré tout corriger ou équilibrer certains aspects de notre morphologie et de notre physionomie pour nous montrer jour après jour sous notre meilleur jour.

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Élégance au masculin : le charme discret de la cravate

Portez-vous une cravate ? Si non, pourquoi ne pas vous y mettre ? Certaines féministes accusent le « symbole phalloïde » que représente cette excroissance textile pendouillant sous le menton des hommes, et compensant la taille bien inférieure de l’autre excroissance pendouillant quant à elle au niveau de leur entre-jambes… Traditionnellement, en Allemagne, le jour du Weiberfasching les femmes sont même autorisées à couper la cravate des hommes qu’elles croisent dans la rue avec de grandes paires de ciseaux ! Mais cela ne fait que confirmer d’autant plus le pouvoir de la cravate : cet accessoire est puissamment masculin.

Bien plus qu’un code « viril », c’est un code sexualisé éminemment reconnaissable, d’ailleurs utilisé par les hommes autant que par certaines femmes dans certains contextes.

une cravate pour femme

C’est pourquoi vous devriez tout de même envisager d’avoir quelques belles cravates dans votre garde-robe professionnelle. Si vous vous demandez comment vous habiller au travail, c’est un accessoire souvent incontournable. Ce qui est également intéressant, c’est que la cravate est en elle-même un sujet de discussion surprenant. Si vous vous décidez à porter une cravate, retenez également ces quelques chiffres qui vous permettront de surprendre vos interlocuteurs et briller en société :

7 : c’est le nombre moyen de cravates dans l’armoire d’un homme ! Mais combien en porte-t-il vraiment ? Il y a celle que l’on ne met jamais… Et celles qu’on met de temps en temps mais que l’on devrait mettre plus souvent. Préférez n’avoir que 2 ou 3 cravates mais des cravates que vous appréciez et que vous aimez mettre. Moins de choix permet souvent les meilleurs choix.

– Savez-vous quelle longueur de fil faut-il pour réaliser une cravate ? …74,6… kilomètres ! Oui, presque 75 kilomètres, c’est la longueur de fil nécessaire à la fabrication d’une seule cravate !

– Il faut environ 110 vers à soie pour produire une cravate en soie.

– Le prix de la cravate la plus chère du monde s’élève à plus de 220.000 dollars… Mais inutile de payer une telle somme pour trouver la cravate de vos rêves. Voici par exemple 10 marques de cravates, qui proposent de beaux modèles qui sauront vous inspirer à des prix très raisonnables.

cravate chère 223000 euros

– En moyenne, 80 millions de cravates sont vendues par an aux USA.

– Toujours aux USA, 6% des hommes portent une cravate tous les jours au bureau. Pourquoi ne pas vous aussi faire la différence et rejoindre ces 6% ? Preuve en est que le simple fait de porter une cravate vous démarque !

– On recense 177.147 manières de faire un nœud de cravate… Mais, soyez-en assuré : les techniques les plus simples sont souvent les meilleures…

15.000 personnes apprennent chaque jour à nouer leur cravate ! Et si vous vous y mettiez, vous aussi, dès demain matin ?

Si le look est aussi important, notamment en contexte professionnel, c’est parce que notre image est notre premier outil de communication. Régulièrement, des études rappellent que ce sont les personnes les mieux habillées, en adéquation avec leur environnement professionnel, qui sont aussi les mieux payées et qui progressent plus vite dans leur carrière : bien s’habiller fait gagner plus !

Pour booster votre évolution professionnelle, un relooking peut ainsi se révéler particulièrement pertinent. Ce relooking peut s’intégrer à un programme de coaching plus général, et peut aussi et surtout, bien sûr, se combiner à un coaching en éloquence, ce qui permettra de développer considérablement votre prestance.

Cela dit, pour commencer, pourquoi ne pas simplement commencer par… essayer de porter une belle cravate en accord avec vos vêtements plus souvent ?

porter une cravate look plus masculin homme

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Look & relooking professionnel : comment s’habiller au travail ?

Selon les experts en relooking, en fonction du secteur couvert par l’entreprise, l’utilisation d’un code vestimentaire particulier est essentielle. En effet, chez les humains, le système visuel permet d’assimiler l’information de son environnement et il a été prouvé que les employés portant un vêtement d’exécutif donnent une meilleure image publique que ceux qui exercent leurs fonctions avec des vêtements plus décontractés. Dans une entreprise, les individus les mieux habillés sont aussi mieux payés et progressent plus vite dans leur carrière ! Sous réserve, bien sûr, d’être toujours en adéquation avec leur environnement professionnel

Adopter ou adapter le code vestimentaire de l’entreprise

Si votre lieu de travail est très ouvert au niveau de la gestion des relations chef/employé, l’introduction d’un code vestimentaire soutenu est déconseillée. Le choix d’un habillement sophistiqué pourrait s’avérer peu nécessaire et peut-être même contre-productif pour vous en tant que leader. De même, s’il existe déjà des normes vestimentaires strictes dans votre entreprise produisant un ressentiment reconnu au sein du personnel, il serait judicieux d’envisager un assouplissement de ces normes. Cependant, il sera très important de le faire avant que les perceptions des clients de votre entreprise n’en soient affectées de manière négative. Il sera nécessaire de parvenir à un terrain d’entente.

Tenir compte des objectifs de l’entreprise

Il n’y a pas de formule miracle qui puisse s’appliquer à l’ensemble des lieux de travail. En revanche, vous pouvez utiliser votre bon sens pour décider des lignes directrices vestimentaires appropriées à votre entreprise. Considérez les objectifs particuliers de votre entreprise, les attitudes, les employés et les clients et sachez utiliser ces caractéristiques pour vous aider à prendre une décision. N’oubliez pas que notre image est notre premier outil de communication. Le soin que vous apportez à votre façon de vous habiller fait aussi partie de votre éloquence.

Vêtements de travail et professionnalisme 

De nombreux emplois n’exigent pas de vêtements de travail, mais certains nécessitent un « look » plus jeune et même décontracté, tout dépend du secteur d’activité dans lequel on se situe. Une chose est sûre : les vêtements de travail reflèteront toujours le professionnalisme du travailleur. Prenez en compte nos 5 critères pour vous constituer une garde-robe professionnelle digne de ce nom : de la même manière qu’un CV bien rédigé est l’une des clefs du succès dans votre vie pro, votre garde-robe deviendra un atout pour progresser et évoluer dans votre carrière.

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Look et relooking : notre image est notre premier outil de communication

Notre image est le prolongement de notre identité. C’est notre premier outil de communication. L’apparence est, en terme de communication, notre premier impact vis-à-vis des autres. C’est notre carte de visite. Ne la négligeons pas.

Nous sommes vus avant d’être entendus. Plusieurs études psychologiques ont démontré que pendant les 20 premières secondes d’un entretien notre cerveau retient principalement ce qu’il voit et néglige partiellement ce qu’il entend.

Par exemple, l’étude de Merhabian, controversée et souvent mal interprétée, a cependant mis en évidence que, dans le cadre d’interactions spécifiques, l’impact visuel prime sur le sens des mots lorsque l’on veut passer pour sympathique auprès d’un interlocuteur. L’expérience de Mehrabian consistait à évaluer l’importance relative des mots, de la voix et des expressions du visage dans l’appréciation ou le rejet de quelqu’un, par exemple lors d’un entretien d’embauche, d’un rendez-vous amoureux ou d’une opération de vente.

Renouveau du relooking en France

En France, l’apparence continue à être tenue pour une question de chiffons et une préoccupation frivole. Pourtant, aux yeux du reste du monde, la France demeure le pays de l’élégance, de la haute couture, des marques de luxe et des grands créateurs… Comment expliquer ce paradoxe ? Toutefois, ces dernières années, les professionnels observent un regain des services de relooking. Et ce type de coaching, auquel s’intéressaient surtout les femmes, s’adresse de plus en plus aux hommes. Le succès de Bonne Gueule, d’abord blog de conseils vestimentaires pour hommes qui est ensuite devenu une véritable marque de prêt-à-porter masculin, est significatif.

Pensez-y : l’apparence est importante lorsqu’un garçon rencontre une fille ou l’inverse, nous prenons soin de nous habiller, nous préparer, nous coiffer… Importante aussi pendant un entretien de recrutement, de même que le comportement, la gestuelle, l’attitude sont déterminants à ce moment-là.

Psychologie sociale de l’apparence

Les Américains ont examiné depuis une trentaine d’années l’impact du physique sur l’ensemble de notre vie sociale, professionnelle et privée. Le résultat de ces études de psychologie sociale est éloquent : les personnes les mieux habillées, en adéquation avec leur environnement professionnel, sont mieux payées et progressent plus vite dans leur carrière…

Le regard de l’autre et notre regard sur les autres

Lorsque nous disons que nous ne pouvons « pas sentir quelqu’un », que c’est plus fort que nous, que c’est « physique », nous exprimons un sentiment profond qu’on ne peut que difficilement changer. Si nous le ressentons, c’est que nous avons plus ou moins consciemment observé cette personne, nous en avons fait une analyse (ses vêtements, son comportement, ce qu’elle dit, comment elle le dit) en 20 secondes, nous avons déterminé qu’avec elle, nous n’avons pas d’atomes crochus, que « nous ne sommes pas du même monde », que nous ne sommes pas et ne serons jamais sur la même longueur d’ondes… C’est-à-dire que dès le début, nous nous refusons à avoir une communication engagée et engageante avec cette personne. Simplement à cause d’une ridicule histoire d’apparence…

Dites-vous que si vous avez cette réaction, les autres peuvent l’avoir à votre regard. Il est donc très important de se connaitre pour éventuellement apprendre à se comporter dans différentes circonstances, à différents stades de la vie pour que, pour vous et pour les autres avec vous, la communication soit ouverte et le reste.

Pour parler, il est important de s’exprimer correctement, se tenir correctement, regarder les gens correctement. Il y a des règles. C’est tout le principe du coaching en éloquence. Et c’est, au fond, un principe similaire en ce qui concerne le look et plus exactement le relooking.

Il est triste de constater que l’une des origines des inégalités réside tout bêtement dans l’apparence des individus. C’est bête, c’est regrettable, mais c’est comme ça. Et dans la mesure ou nous en avons conscience, il serait encore plus bête de ne pas s’efforcer de respecter ce principe…

La beauté (est-elle vraiment subjective ?)

Notre apparence générale signale, dans l’esprit des gens, notre origine, un statut social. Nous établissons inconsciemment un lien entre la « beauté » et le rang social ou la réussite, comme si les gens de statuts social élevés étaient beaux…

Des études ont démontré que les « beaux » étaient perçus comme plus intelligents. C’est l’effet de halo. On les juge capables de bien se comporter en toute situation et de mieux réussir tout ce qu’ils entreprennent.

Les habits et le corps

Les corps aussi changent en fonction des pratiques. La façon de se nourrir, le sport, les conditions de travail changent nos morphologies.

Autrefois les gens riches étaient oisifs, plus gros (comme on peut l’observer sur les photos anciennes, films, peintures, gravures….), tandis que les ouvrières, moins bien nourries et épuisées par une activité physique incessante, étaient très minces. Les représentations de la femme idéale à travers les siècles révèlent l’évolution de la perception d’un « beau » corps.

Aujourd’hui les groupes les plus favorisés font du sport, mangent moins de féculents, grandissent mieux et vite (comme le révèlent plusieurs enquêtes, au risque de la polémique, les enfants des riches sont plus grands que ceux des pauvres), par contre les gens de conditions moins aisées, sans travail, vie difficile, peu d’argent pour acheter des légumes bio, se nourrissent de féculents qui font grossir, restent devant la télé, ont peu ou pas de pratique sportive, les femmes les moins favorisées sont mêmes quelque fois obèses.

Il semble donc y avoir une inversion de la notion de « beau » au cours de l’histoire. Pourtant, un principe fondamental se retrouve à chaque fois : ce qui est considéré comme beau, ce qui plait au plus grand nombre, c’est l’impression de richesse que l’on associe à un certain style ou profil. Et plus profondément encore, ce qui plait dans cette richesse, c’est l’idée d’un effort sous-jacent (par lequel a pu être accumulé cette richesse… même si ce lien de cause à effet est purement fantasmé). Au cœur de la beauté semble donc se loger un « principe de l’effort« , auquel quiconque pourrait s’adonner pour tenter d’échapper à la laideur et au vulgaire…

Des signes de richesse, mais surtout d’appartenance

Actuellement, le vêtement est devenu une manifestation des préférences de chacun. Chacun montre son appartenance à un monde, à une tribu… Les vêtements nous rattachent a un groupe social, parlent de nos origines et reflètent notre profession.

Le visage, même effet qu’un vêtement ?

Aux Etats-Unis, l’accès aux grandes écoles et aux universités s’appuie sur des entretiens en face-à-face, cela donne un avantage évident aux candidats qui sont les plus séduisants. Être séduisant doit être envisagé comme une compétence !

A l’école française, pendant longtemps on ne s’est pas sérieusement intéressé à l’apparence. On l’a considéré comme frivole, au détriment des élèves. Pourtant la compétition entre les élèves est rude, style, modes, tendances… Et pourtant des études ont démontré que dès la maternelle, les enfants « beaux » sont considérés comme plus intelligents par les instituteurs. Le fameux effet de halo… Pour ne pas dire « biais de halo »… Hypocrisie de la « beauté intérieure », mythe véhiculé auprès des plus jeunes par des films comme Shrek… Attention aux effets retors… Retenons surtout ici que notre visage sera observé et interprété, comme nos vêtements. De même que les yeux et la capacité à soutenir un regard, cf. eye contact

Des études réalisées par l’INSEE ont montré que les enfants de milieux favorisés réussissent mieux car dans leur milieu ils apprennent à mieux parler, notamment en étant formé à l’éloquence et à s’habiller convenablement. cf. Expérience de Darley et Gross sur les préjugés des professeurs à l’égard de leurs élèves selon leur milieu d’origine supposé… N’est-il pas injuste que dès les premières secondes d’un entretien, une personne de milieu moins favorisé se voit déjà fermer certaines portes ?

Mais le vêtement ne suffit pas. C’est une condition nécessaire, hélas, mais non suffisante. Tout un apprentissage est nécessaire, et revêtir les plus précieux habits sans savoir se tenir produira le pire effet. Le look doit être associé à un savoir-être et s’appuyer tant sur une authentique éloquence qu’une véritable aisance relationnelle…

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Relooking au masculin : 5 critères pour votre garde-robe professionnelle

Messieurs, pourquoi devriez-vous accorder un soin tout particulier à votre garde-robe professionnelle ? Tout simplement parce que votre image est aussi celle de l’entreprise : vous êtes le miroir de la société qui vous emploie. C’est pourquoi vous devez faire preuve, pour ainsi dire, d’éloquence vestimentaire

En ce qui concerne les managers et les dirigeants, la prudence s’impose concernant la couleur des vêtements. Plus vous montez dans l’échelle sociale, plus vous gravissez les échelons de la hiérarchie de votre entreprise, et plus votre image sera exposée… Vous devrez alors être d’autant plus prudent sur le choix des couleurs que vous portez, afin d’éviter les excentricités et tout ce qui pourrait être source de commentaires critiques et désobligeants… Voici donc 5 conseils utiles pour choisir les différentes pièces qui constitueront votre garde-robe professionnelle :

1 – Les épaules de vos vestes : ni trop larges, ni trop étroites. Les épaulettes ne doivent pas apparaitre de façon inesthétique. Quand vous essayez une veste, n’oubliez pas de vous regarder de dos. Mettez vos mains dans vos poches afin de vérifier si la tenue de votre veste reste impeccable.

2 – Les manches : vous ne devez surtout pas vous sentir à l’étroit lorsque vous bougez vos bras. Vos bras doivent pouvoir prendre toutes les positions sans que vous vous sentiez inconfortable.

3 – La taille : évitez les vestes trop cintrées. Ayez toujours la bonne longueur de veste afin de ne pas paraitre « tassé ». Les fentes de côté ou centrales sont idéales.

4 – Les pantalons : essayez toujours votre pantalon avec vos chaussures, car la hauteur du talon conditionnera l’ourlet. Placez bien la taille à sa place et de façon confortable. Vérifiez l’entrejambe (ni trop serré, ni trop lâche). Gardez en tête qu’une légère cassure sur la chaussure est harmonieuse.

5 – le col : il doit épouser votre nuque, laissant apparaitre le haut de votre chemise. Attention aux cols trop larges, trop lâches, ou trop hauts, qui font disparaitre la chemise…

La garde-robe professionnelle idéale :

Pour constituer votre garde-robe professionnelle, voici quelques-uns des vêtements indispensables à vous procurer :

  • Un blazer marine ou camel (droit ou croisé)
  • Trois pantalons : gris clair, anthracite, bleu marine (ou marron ou vert foncé, selon la couleur qui vous correspond)
  • Un costume bleu foncé (croisé de préférence)
  • Un costume gris fonce ou marron fondu
  • Un costume beige ou mastic (pour l’été)
  • 4 chemises unies à manches longues
  • 3 chemises à raies fines ou moyennes
  • 3 chemises à manches courtes unies ou rayées
  • Un cardigan boutonné
  • Des pulls
  • Un gilet sans manche (à ne porter qu’avec une veste !
  • 2 paires de chaussures lacées (noires et marrons)
  • Une paire de mocassin classique

Le soin à apporter dans le choix de chaque pièce d’une garde-robe est décisif pour toute personne souhaitant s’inscrire dans une approche véritablement professionnelle de son activité. On a coutume de dire que « l’habit ne fait pas le moine »… Certes, mais « l’habit permet d’entrer dans le monastère » ! C’est pourquoi le choix des vêtements et la façon de s’habiller ne sont jamais à négliger. Surtout dans la perspective d’une évolution de carrière. De la même manière que l’on cherche à mettre en forme son CV pour le rendre le plus attractif possible pour les recruteurs, s’habiller avec soin revient à rendre son image plus attractive. Les cadres, managers et dirigeants sont directement concernés.

Mais c’est aussi le cas de tous les professionnels dont l’activité les amène à se présenter régulièrement face à un public. Tous les métiers de la représentation (politique, syndicat, associatif…) mais également tous les métiers de la relation (tels que les coachs et les formateurs professionnels). C’est d’autant plus important si vous êtes un coach ou formateur spécialisé sur des thématiques telles que le leadership et l’efficacité professionnelle, qui intéresseront justement les managers et dirigeants, futurs ou actuels.

Pensons aussi aux conférenciers, qui exposent de facto leur image à un vaste public. Surtout aux conférenciers qui souhaitent se professionnaliser pour faire de leurs conférences une activité à part entière et surtout en faire une véritable source de revenus complémentaire voire principale. Leur « look » et donc plus largement la composition de leur garde-robe est un aspect décisif de leur succès, car directement lié à leur personal branding.

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