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Surmonter son trac et ses émotions grâce à « l’identification au soi »

Le nombre de techniques pour gérer son trac et mieux maîtriser ses émotions n’est pas si élevé. En réalité, seules quelques techniques se révèlent vraiment efficaces. Souvent, quand on entend parler d’une « nouvelle » méthode soi-disant « révolutionnaire », elle se base dans la majorité des cas sur des principes fondamentaux très anciens déjà utilisés par les connaisseurs.

Ce qui est sûr, c’est qu’il n’est pas nécessaire de consommer des bêta-bloquants ou autres substances chimiques pour contrôler son trac, sa peur ou ses angoisses. Il existe des méthodes naturelles de gestion du stress beaucoup plus saines. En voici une que vous pourrez facilement mettre en application, elle se nomme « l’identification au soi » :

Cette technique dite de l’identification au soi vous aidera à connaître vos sentiments et vos émotions, et, de cette façon, à vraiment prendre conscience de votre moi intérieur. Vous toucherez cette vitalité fondamentale qui est en vous, et qui dirige vos émotions.

C’est au docteur Roberto Assagioli que l’on doit cette technique. Le docteur Assagioli est connu pour être le créateur de la psycho-synthèse. Il a mis au point la technique de l’identification au soi qui s’exécute en un peu moins d’un quart d’heure (13 minutes exactement si vous faites la technique comme il faut). Cette technique permet de développer en soi-même un centre invincible, une véritable sécurité qui permet de traverser toutes les turbulences de la vie sans problème. Voici en détail la description des 5 étapes de cette technique :

1 : Premièrement, soyez attentif à votre corps. Cette étape dure 5 minutes. Prenez connaissance de façon neutre (et sans essayer de les changer) de toutes les sensations physiques dont vous pouvez être conscient.

2 : Dans un deuxième temps, devenez conscient de vos sentiments. Cette deuxième étape doit durer au moins 2 minutes. Posez-vous ces questions : Quels sentiments ressentez-vous à l’instant même ? Et quels sont les principaux sentiments que vous vivez de façon régulière dans votre vie ? Considérez à la fois les sentiments apparemment positifs et apparemment négatifs : amour / jalousie, exalation / dépression, tendresse / irritation… Ne jugez pas. Observez simplement vos sentiments habituels, comme si vous étiez un scientifique s’observant lui-même avec froideur et objectivité.

3 : Tournez maintenant votre attention vers vos désirs, pendant 3 minutes. En adoptant la même attitude « objective » et impartiale que pendant la précédente étape n°2, observez les principaux désirs qui vous animent, ces désirs (et fantasmes) qui motivent tour à tour votre vie. Considérez-les sous tous leurs aspects, encore une fois sans juger.

4 : Observez l’univers de vos pensées, pendant 2 minutes. Pour cela, ne cherchez pas spécialement à faire le vide ou à « méditer », laissez-vous simplement aller, de façon détendue et relaxée. Dès qu’une pensée jaillit dans votre esprit, quelle que soit cette pensée, observez-la, observez- bien cette pensée jusqu’à ce qu’une autre pensée prenne sa place… puis une autre… puis une autre… etc. Si vous pensez que vous n’avez aucune pensée (relevez déjà l’absurdité de la phrase…), le fait de « penser que vous ne pensez rien » est en réalité déjà une pensée ! Surveillez donc votre courant de conscience à mesure qu’il s’écoule : opinions, arguments, souvenirs, images, absurdités…

5 : Dans cette 5e et dernière étape (d’une durée de 2 minutes environ), devenez l’Observateur. Réfléchissez bien à ce qui suit : celui qui a surveillé vos sensations, vos sentiments, vos désirs et vos pensées n’est pas le même que l’objet qu’il observe ! Mais dans ce cas… qui est celui qui a observé tous ces domaines ? C’est votre « soi ». Le soi n’est pas une image ou une pensée : il est cette essence qui a observé tous ces champs et qui en est distinct. Et vous êtes cet être. prenez le temps de relire et de bien réfléchir à cela. Soudain, vous aurez un déclic. Et ce déclic sera une véritable libération.

Dites-vous intérieurement : « Je suis le soi, un centre de pure conscience ».

Répétez-vous les phrases suivantes : « J’ai un corps, mais je ne suis pas mon corps »« J’ai des sentiments, mais je ne suis pas mes sentiments »« J’ai des désirs, mais je ne suis pas mes désirs »« J’ai un esprit, mais je ne suis pas mon esprit ».

Vous êtes libre. Vous êtes libéré de toutes vos peurs, de vos émotions, de vos frustrations. Vous êtes vous.

Photo : Adrian

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Conférencier professionnel : comment trouver ses premiers clients ? 10 moyens souvent négligés

Conférencier professionnel est un métier qui a le vent en poupe aujourd’hui. Des personnalités charismatiques se détachent du lot et sont souvent proposés pour animer les événements, les conférences et les différents rendez-vous professionnels autour de sujets divers. Économistes, écrivains, artistes, politiciens, enseignants, sportifs, bloggers, activistes et bien d’autres : le profil du conférencier est très varié. Mais tous se rejoignent sur un même point, inéluctable chez les communicants : ils connaissent leur sujet et savent mobiliser les attentions sur leurs propos.

Qu’est-ce qu’un conférencier professionnel ?

S’exprimer en public avec aisance et clarté, tout en captivant l’assistance n’est pas inné : c’est un métier qui s’apprend et qui demande du caractère. Un conférencier professionnel maîtrise son ou ses sujets de prédilections : une connaissance pointue, étayée par des recherches personnelles et des documentations fiables. A cela s’ajoute une formation solide en expression et communication, car le conférencier doit avoir un langage travaillé et compréhensible. Cette maîtrise concerne autant la diction et la portée de la voix que la facilité à trouver les mots idoines au bon moment. Enfin, le conférencier a un charisme et une confiance en soi qui font partie de son personnage.

Comment devenir conférencier professionnel ?

Tout d’abord, le conférencier doit avoir une expertise qu’il a clairement identifiée, un thème particulier pour lequel il a une connaissance quasi-biblique, loin des brassages généralistes qui ne font qu’effleurer les sujets en surface. Ces conférenciers experts se font plus rapidement repérer par les organisateurs événementiels, comme le public, car ils se démarquent par leur connaissance aiguisée de leurs sujets.

Ensuite, dans la mesure où la conférence en soi exige un travail de mise en scène, d’écriture et de recherches, devenir conférencier professionnel nécessite souvent une formation spécifique, et si besoin de se faire coacher par des professionnels de ce domaine. Enfin, il n’y a rien de mieux que de se mettre dans le bain : le métier s’acquiert avec la pratique, dès que l’occasion se présente afin d’affûter sa capacité à mobiliser et intéresser son assistance.

Comment un conférencier professionnel fait-il pour trouver des clients ?

Trouver des clients peut être une tâche ardue, si on ne sait où chercher et comment fidéliser ses clients. Voici quelques astuces pour se faire connaitre et signer ses premiers contrats de conférencier.

1. Trouver ses clients en pratiquant son métier

Se mettre sur le devant de la scène et s’exprimer, même s’il s’agit d’une contribution à titre gracieux ou d’un modeste contrat: une voie qui ouvre vers des opportunités insoupçonnées. Ne soyez pas effrayé de donner de votre temps le plus régulièrement possible lorsque vous débutez dans ce métier. C’est en pratiquant votre art et en se faisant entendre par un public que vous attirez l’attention sur vous. N’attendez pas d’être absolument irréprochable pour relever le défi, commencez avec la motivation qui est la vôtre actuellement. Plus vous participez à ces échanges, plus vous acquérez l’expérience et l’expertise et plus votre public cible vous reconnaîtra. Le bouche à oreille, la force des réseaux sociaux, vous aideront à localiser vos premiers clients.

2. Trouver ses clients en définissant sa cible

Qui sont vos clients cibles ? C’est la question primordiale à se poser avant de lancer dans la pêche aux clients. Les cibles du conférencier se définissent en fonction de ses matières d’intervention. Au fur et à mesure que ses expériences s’affinent et que les demandes des clients potentiels se font plus claires, l’orateur peut trouver des nouvelles niches de cibles particulières où percer. L’important est de bien cerner les personnes et les organisations susceptibles de faire appel à un conférencier, ainsi que des événements qui pourraient abriter de telles interventions.

Enfin, ne vous limitez pas à votre ville, votre département ni même votre pays. N’ayez pas peur de voir grand ! Et réfléchissez à la pertinence de mettre en place une stratégie pour trouver des clients à l’étranger en tant que conférencier ou même coach ou formateur. Développer son activité de conférencier à l’international est tout à fait envisageable !

3. Trouver ses clients en créant des conférences à la carte

La connaissance de la cible ne suffit pas. Il est important de diversifier ses offres d’orateur en proposant des conférences à la carte. Bien plus qu’un one man show sur une tribune, le métier de conférencier ouvre des possibilités illimitées : donner des coachings, animer des sessions de développement personnel, organiser des « motivational talks », bref, des prestations complémentaires à travers lesquelles l’intervenant valorisera ses compétences oratoires.

4. Trouver ses clients parmi son réseau

La première voie pour rencontrer ses clients est de faire partie d’un réseau au sein duquel le conférencier peut se faire connaitre et reconnaître par ses compétences. Associations, organisations non gouvernementales et gouvernementales, écoles supérieures, entreprises : voilà autant d’exemples de réseaux dans lesquels un intervenant peut évoluer en fonction de ses thèmes de prédilection. Consulter le Guide du networking vous sera très utile dans ce sens : ce guide indispensable rassemble et présente tous les clubs et réseaux d’influence de France !

En général, plus la présentation du thème est innovante et enthousiasmante, voire originale, plus l’orateur a des chances de se démarquer de la concurrence. Au fil du temps et des rencontres, le réseau s’étoffera et fera émerger de nouveaux liens, utiles pour promouvoir le profil du conférencier professionnel. N’oubliez pas non plus d’être présent et actif sur les réseaux sociaux, et tout particulièrement LinkedIn pour trouver de nouveaux clients (voir le point 6 un peu plus bas).

5. Trouver ses clients en disséminant son portfolio de conférencier

Qu’est-ce qu’un « portfolio de conférencier » ? C’est un ensemble de supports qui réunissent le meilleur de votre travail d’intervenant : introduction du conférencier, thèmes et résumés des interventions, extraits des conférences, photographies, interviews. Ce sont autant de supports qui permettent aux organisateurs et aux entités qui invitent le conférencier à se faire une idée précise de ses compétences et de sa connaissance pointue de ses matières.

6. Trouver ses clients en communiquant à travers les réseaux sociaux

La plupart de vos clients potentiels sont connectés dans les réseaux sociaux, qu’ils soient des organisations de grande envergure ou des institutions plus modestes. Votre présence dans les réseaux les plus influents, et en particulier sur LinkedIn qui regroupe les professionnels de tous horizons et Youtube où les vues sur vos vidéos augmenteront votre notoriété, accroît considérablement votre influence. Pour mieux impacter vos cibles, animez quotidiennement vos pages et comptes de réseaux sociaux : Facebook, Twitter, Youtube, Instagram et bien sûr LinkedIn.

(re)lire l’article : 10 points clefs pour trouver des clients sur LinkedIn en tant que coach, formateur ou conférencier !

Sur votre blog ou votre site web, parlez régulièrement des sujets dont vous vous êtes fait la spécialité et qui sont susceptibles d’attirer l’attention de vos clients potentiels. N’hésitez pas à partager les extraits de vos plus belles interventions, pour bien marquer les esprits. En clair : de la même manière que vous prenez soin de votre image lorsque vous devez faire une conférence, prenez tout autant soin votre image digitale.

7. Trouver ses clients en proposant un site web efficace

Un site web efficace, c’est-à-dire moderne, mis à jour régulièrement, avec des contenus textuels et photographiques optimisés SEO et une bonne visibilité sur les moteurs de recherche. Autant que possible, faites appel à un spécialiste qui peut travailler sur votre site web, en tenant compte de vos attentes et des exigences d’un support optimisé et efficacement référencé.

Je vous recommande tout particulièrement l’agence à taille humaine Blue Web Ocean avec qui nous avons réalisé ce site, entre autres. Contactez-les aujourd’hui même de notre part pour réaliser sans tarder le site web de vos rêves ! Avec Blue Web Ocean, un expert à votre écoute et à votre service vous accompagne à tous les niveaux pour une réalisation impeccable. Vos thèmes, vos interventions et vos offres seront mis en valeur sur votre site, avec bien sûr une présentation de votre personne : parcours, formations, savoir-faire, passions et tout le background d’un conférencier de qualité. Il suffira des mots clés idoines pour aider vos clients à vous trouver rapidement.

8. Trouver ses clients en étant créatif

Dans le métier d’intervenant, comme dans tout autre métier, la créativité est essentielle. N’hésitez pas explorer des situations et des circonstances nouvelles, prenez avantages des événements qui s’offrent à vous pour créer des occasions de prouver votre talent et celui de votre équipe. Inspirez-vous des nouvelles dans la presse, des buzz sur Internet, de conversations entendues ici et là, d’anecdotes diverses pour trouver des sujets d’intervention et des mises en scène originales afin de mettre vos prestations en valeur.

9. Trouver ses clients en établissant des partenariats gagnants

Rien ne vous oblige à faire cavalier seul. Bien au contraire, il est tout à fait possible et même plus efficace de nouer un partenariat avec des collègues conférenciers. Dans cette perspective, deux ou trois personnes se distribuent les rôles sur un thème et proposent une scénographie originale, une écriture plus dynamique et au final, touchent un public large. Grâce à ces partenariats, les profils prennent avantage les uns des autres et se mettent en valeur par leur contraste. Par ailleurs, ces collaborations ont l’avantage d’attirer un public nouveau, qui peut être un client potentiel dans l’avenir.

10. Se donner le temps d’accroître sa visibilité…

La recherche de clientèle dans le secteur des conférenciers professionnels est un travail de longue haleine. Elle demande du temps, de l’énergie et une volonté à améliorer ses connaissances et ses prestations. Le conférencier est ainsi en perpétuelle promotion de son art : un art qui se nourrit de sa propre personnalité, de son charisme et de son leadership. En conclusion, on dira qu’en consacrant du temps pour suivre une formation de conférencier professionnel, pour pratiquer et pour organiser efficacement son réseautage, le conférencier optimise ses chances d’augmenter sa visibilité et sa clientèle.

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5 conseils décisifs pour progresser rapidement en anglais

Pour beaucoup d’entre nous, l’anglais est souvent un vague (mauvais) souvenir d’école. Nous nous souvenons des listes de verbes irréguliers que nous avions du mal à retenir pour les examens et qui étaient oubliés une fois sorti de la salle. C’est parfois une langue liée aux vacances, on se souvient tous du serveur qui n’avait pas compris notre commande… Mais c’est aussi et surtout une nécessité dans le monde d’aujourd’hui, notamment pour progresser dans votre carrière et d’autant plus si vous êtes formateur ou conférencier professionnel et que vous voulez vous developper à l’international !

Vous souhaitez vous remettre à l’anglais et vous vous dites que c’est trop compliqué ? Que vous n’aurez jamais le niveau qu’il faut ? Que vous n’avez pas le temps ? C’est faux. Dans cet article, vous allez découvrir 5 moyens à la fois simples et très efficaces de reprendre votre apprentissage de l’anglais et surtout progresser rapidement.

1. Mettez de l’anglais dans votre quotidien

Si l’anglais nous semble si difficile, c’est notamment parce que nous le pratiquons peu, trop peu… Un des premiers pas pour progresser est de faire un peu d’anglais régulièrement. Idéalement, tous les jours. 5 min à 10 min de temps en temps suffisent pour que l’anglais ne nous semble plus si étranger et lointain. Notre cerveau a besoin de s’habituer à l’anglais.

Un des meilleurs moyens de progresser est de commencer par mettre de l’anglais en fond sonore quand vous faites autre chose. Il ne s’agit donc pas de trouver du temps dédié à l’anglais. Il faut faire de l’anglais en même temps que vos activités quotidiennes. Dans votre cuisine, dans votre salle de bain, lorsque vous faites du sport. Même si vous n’êtes pas concentré sur l’anglais, votre cerveau travaillera de façon passive et vous progresserez.

2. Regardez des vidéos en anglais

Regarder la télé, des films, des vidéos sur YouTube en anglais permet de progresser. En France, la plupart de nos films sont doublés. C’est rarement le cas dans les autres pays et les gens sont beaucoup plus habitués aux langues étrangères. Pour changer cette tendance, il faut regarder les films en VO.

On se dit toujours que l’on ne comprend pas. Il est possible de commencer par regarder avec des sous-titres en français et dès que l’on se sent plus à l’aise, on peut les mettre en anglais, voire se passer complètement de sous-titres. Youtube permet d’afficher des sous-titres automatiques français ou anglais pour quasiment toutes les videos en anglais. Sur le site des conférences TED aussi.

Au départ, vous trouverez cela compliqué, puis petit à petit vous vous rendrez compte que vous progressez. Vous comprendrez d’abord de plus en plus de mots, puis des phrases complètes. Même lorsque certains mots vous échappent avec le contexte vous pouvez comprendre les phrases. Pour ne pas vous lasser, commencez par des vidéos courtes et par des films que vous avez vus en français ou dont vous connaissez l’histoire.

3. Vivez vos passions en anglais 

Pour se remettre à l’anglais, le mieux est de commencer par des domaines qui vous intéressent. Par exemple, si vous aimez le sport, lisez des articles de journaux sportifs en anglais, regarder des résumés de match en anglais. Si vous jouez aux jeux vidéos, faites-le en anglais. Si vous aimez l’art, lisez des brochures d’exposition en anglais. Les hypothèses sont infinies.

L’idée est d’allier plaisir et anglais pour faciliter le travail de compréhension et de mémoire. Utilisez tous les outils à votre disposition : radio, télé, journaux, magasines, etc. Plus vous multiplierez les supports, plus vous progresserez.

4. Utilisez vos différentes mémoires

Certains d’entre nous ont une mémoire visuelle, d’autres une mémoire auditive, d’autres une mémoire kinesthésique (lié au mouvement du corps). Nos sens jouent un rôle important, alors utilisons-les !!

Si vous avez une mémoire visuelle, vous pouvez utiliser des schémas, coller des post-it avec du vocabulaire dans votre maison, lire des livres contenant des images.  

Si vous avez une mémoire auditive, vous pouvez écouter la radio, des livres audios, écouter et regarder des vidéos en anglais.

Si vous avez une mémoire kinesthésique, vous avez besoin de bouger pour apprendre, de faire le lien entre votre corps et votre esprit. Essayez d’associer sport et anglais, d’écrire en anglais, car votre cerveau mémorisera le mouvement de votre main.

L’idéal est de combiner plusieurs méthodes toute en privilégiant les méthodes qui correspondent le plus à votre propre mémoire. Vous retiendrez certains mots de vocabulaire que vous aurez entendu. Vous vous souviendrez de certaines phrases que vous avez lues. Vous progresserez pas à pas grâce à vos différents efforts tout en prenant du plaisir à faire de l’anglais.

5. Osez !

Un de nos freins pour apprendre une langue étrangère est de s’exprimer. Votre accent est trop français alors vous n’osez pas parler. Vous ne savez pas prononcer « the ». Vous ne connaissez pas un mot de vocabulaire. Vous pensez que les autres vont se moquer. Vous avons honte de notre niveau. Mais pour progresser, il faut aussi parler et écrire. Comprendre une langue ne suffit pas toujours.

Pour commencer, il faut s’habituer à sa propre voix en anglais. Rien de mieux que de se parler à voix haute, de se lire un livre. Vous pouvez aussi parler à votre chien, votre chat, votre poisson rouge en anglais. Plus vous vous habituerez, moins vous chercherez vos mots, plus vous serez à l’aise et compris.

Souvent dès que vous oserez, vous vous rendrez compte que les autres personnes ne se moquent pas de vous, surtout les anglophones. Ils vont même vous aider à trouver vos mots. Ils vont parfois vous corriger mais avec bienveillance. Pas pour vous juger, mais véritablement pour vous aider à progresser. Pour progresser, il faut donc se lancer ! So let’s speak English!

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Élégance au masculin : le charme discret de la cravate

Portez-vous une cravate ? Si non, pourquoi ne pas vous y mettre ? Certaines féministes accusent le « symbole phalloïde » que représente cette excroissance textile pendouillant sous le menton des hommes, et compensant la taille bien inférieure de l’autre excroissance pendouillant quant à elle au niveau de leur entre-jambes… Traditionnellement, en Allemagne, le jour du Weiberfasching les femmes sont même autorisées à couper la cravate des hommes qu’elles croisent dans la rue avec de grandes paires de ciseaux ! Mais cela ne fait que confirmer d’autant plus le pouvoir de la cravate : cet accessoire est puissamment masculin.

Bien plus qu’un code « viril », c’est un code sexualisé éminemment reconnaissable, d’ailleurs utilisé par les hommes autant que par certaines femmes dans certains contextes.

une cravate pour femme

C’est pourquoi vous devriez tout de même envisager d’avoir quelques belles cravates dans votre garde-robe professionnelle. Si vous vous demandez comment vous habiller au travail, c’est un accessoire souvent incontournable. Ce qui est également intéressant, c’est que la cravate est en elle-même un sujet de discussion surprenant. Si vous vous décidez à porter une cravate, retenez également ces quelques chiffres qui vous permettront de surprendre vos interlocuteurs et briller en société :

7 : c’est le nombre moyen de cravates dans l’armoire d’un homme ! Mais combien en porte-t-il vraiment ? Il y a celle que l’on ne met jamais… Et celles qu’on met de temps en temps mais que l’on devrait mettre plus souvent. Préférez n’avoir que 2 ou 3 cravates mais des cravates que vous appréciez et que vous aimez mettre. Moins de choix permet souvent les meilleurs choix.

– Savez-vous quelle longueur de fil faut-il pour réaliser une cravate ? …74,6… kilomètres ! Oui, presque 75 kilomètres, c’est la longueur de fil nécessaire à la fabrication d’une seule cravate !

– Il faut environ 110 vers à soie pour produire une cravate en soie.

– Le prix de la cravate la plus chère du monde s’élève à plus de 220.000 dollars… Mais inutile de payer une telle somme pour trouver la cravate de vos rêves. Voici par exemple 10 marques de cravates, qui proposent de beaux modèles qui sauront vous inspirer à des prix très raisonnables.

cravate chère 223000 euros

– En moyenne, 80 millions de cravates sont vendues par an aux USA.

– Toujours aux USA, 6% des hommes portent une cravate tous les jours au bureau. Pourquoi ne pas vous aussi faire la différence et rejoindre ces 6% ? Preuve en est que le simple fait de porter une cravate vous démarque !

– On recense 177.147 manières de faire un nœud de cravate… Mais, soyez-en assuré : les techniques les plus simples sont souvent les meilleures…

15.000 personnes apprennent chaque jour à nouer leur cravate ! Et si vous vous y mettiez, vous aussi, dès demain matin ?

Si le look est aussi important, notamment en contexte professionnel, c’est parce que notre image est notre premier outil de communication. Régulièrement, des études rappellent que ce sont les personnes les mieux habillées, en adéquation avec leur environnement professionnel, qui sont aussi les mieux payées et qui progressent plus vite dans leur carrière : bien s’habiller fait gagner plus !

Pour booster votre évolution professionnelle, un relooking peut ainsi se révéler particulièrement pertinent. Ce relooking peut s’intégrer à un programme de coaching plus général, et peut aussi et surtout, bien sûr, se combiner à un coaching en éloquence, ce qui permettra de développer considérablement votre prestance.

Cela dit, pour commencer, pourquoi ne pas simplement commencer par… essayer de porter une belle cravate en accord avec vos vêtements plus souvent ?

porter une cravate look plus masculin homme

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Un stratagème rhétorique très puissant : l’argument d’autorité

L’argument d’autorité est un stratagème rhétorique très puissant qui consiste à se servir d’un ouvrage, d’un auteur, ou de toute autre référence culturelle ou scientifique pour appuyer son propos.

En mettant en avant une certaine culture, en donnant ainsi un aspect plus scientifique, plus académique ou universitaire à ce que l’on dit, il s’agit de montrer que l’on a correctement étudié le sujet – ou du moins en donner l’air… Il s’agit d’impressionner le public ou ses contradicteurs.

Schopenhauer en parle dans son ouvrage L’art d’avoir toujours raison (cf. stratagème n°30). Il observe que « quand deux individus se querellent, ce sont des personnalités faisant autorité qu’ils choisissent l’un et l’autre comme armes, et dont ils se servent pour se taper dessus. »

Par exemple : « Untel a dit que… ! », « Oui mais Machin avait écrit que… ! », etc.

Et c’est exactement ce que je fais moi-même en citant ici Schopenhauer ;-)

Il ne s’agit pas de se comporter soi-même de façon « autoritaire », mais de citer quelqu’un qui fait autorité en la matière, selon le sujet que l’on traite, et selon le degré de connaissance de notre interlocuteur ou de nos auditeurs.

L’autorité citée peut être un « grand » auteur, un « intellectuel », un savant… Les gens croient plus facilement une personnalité déjà réputée – et ce quel que soit le domaine dans lequel cette personnalité s’exprime, même si ça n’a rien à voir avec sa spécialité.

Par exemple, Einstein : parce qu’il est considéré comme un génie pour ses découvertes scientifiques, on lui accorde tout autant de crédit en matière d’idées politiques. Or, ses idées politiques ne sont rien d’autres que de simples opinions…

Bien sûr, les références que nous décidons d’utiliser doivent être reconnues comme telles par les personnes auxquelles on s’adresse. Lors d’un débat, l’idéal est donc de citer un auteur apprécié, ou du moins respectée par notre contradicteur : celui-ci aura d’autant plus de mal à le critiquer et, donc, à refuser l’idée que nous y associons.

D’où l’intérêt d’étudier avec autant d’intérêt les auteurs avec lesquels nous sommes d’accord que ceux avec lesquels nous sommes en désaccord.

Cela dit, Schopenhauer remarque que « ce sont les autorités auxquelles l’adversaire ne comprend pas un traître mot qui font généralement le plus d’effet »… Faire référence à des auteurs particulièrement techniques ou réputés comme tels est donc une bonne façon d’impressionner la plupart des gens (par exemple les philosophes allemands : Kant, Hegel, Heidegger…).

Il ajoute : « Les ignorants (sic) ont un respect particulier pour les figures de rhétorique grecques et latines. » Utilisez l’air de rien quelques termes et expressions en latin dans votre argumentation pour lui donner immédiatement un air plus sérieux.

Dans le même esprit, employer un jargon professionnel est souvent un bon moyen pour s’imposer dans un débat. Cela impressionne surtout les personnes peu cultivées. Personne n’y trouvera rien à redire (parce que personne n’y comprendra rien) et tout le monde vous écoutera comme « le » grand spécialiste (pensez au jargon du médecin, du juriste, de l’expert ceci ou cela..). Par ailleurs, plus vos propos sont obscurs et moins vous donnez de prises à l’adversaire pour vous attaquer (souvenez-vous : « soyez clair, et vous êtes perdu » !).

Une formule creuse comme : « La boite extérieure contient la boite intérieure, de même que la boite intérieure contient la boite extérieure » semble vouloir dire quelque chose de profond, et occupera un moment l’esprit de votre contradicteur qui cherchera comment réagir sans paraître idiot.

Les formules qui sonnent comme des dictons ont également un fort impact. Toute forme d’expression de sagesse populaire semble frappée au coin du bon sens, une sorte d’autorité qui vient de l’expérience du temps et de la tradition. Sarkozy était très fort à ce petit jeu là, pour édicter ses idées sous l’apparence d’adages populaires.

En résumé, voici comment se servir de l’argument d’autorité :

Utilisez des références. Quand vous devez défendre une idée, intégrez des citations dans vos exposés. Pour gagner en crédibilité, évoquez des livres, des études, des rapports… Mentionnez autant que possible le nom des auteurs.

Employez ci et là des termes techniques, philosophiques, scientifiques… Un bon rapport est de : 20% de mots techniques pour 80% de langage simple. Le but est de rester compréhensible et accessible au plus grand nombre, tout en laissant supposer un savoir bien plus vaste.

Soyez précis dans vos citations : connaissez au moins le nom de l’auteur, sa période, voire le titre de l’ouvrage duquel est extraite la citation. Mieux encore : connaître le numéro de la page en fonction de l’édition à partir de laquelle vous citez l’auteur en question ! Vous blufferez tout le monde.

Par bien des aspects, l’argument d’autorité consiste à étaler sa culture pour montrer aux autres qu’on en sait plus qu’eux, qu’ils n’ont rien à nous apprendre, que c’est à eux d’écouter…

En réalité l’argument d’autorité ne prouve rien, et l’on devrait pouvoir se passer de cette forme de pédanterie. Mais puisque la plupart des gens sont impressionnables, et que d’autres n’hésiteront donc pas à les impressionner, il faut soi-même pouvoir rivaliser.

Voici 3 astuces pour pallier quelques oublis ou lacunes en culture générale :

  • Répertoriez et apprenez par coeur quelques citations, une poignée seulement, mais qui portent sur des thèmes suffisamment généraux afin de pouvoir les ressortir sur quasiment tous les sujets. Retenez à chaque fois le nom de l’auteur, si possible l’origine et le contexte de la citation (extraite de tel ou tel ouvrage, tirée de tel ou tel discours) ainsi que sa date.

Par exemple j’aime bien citer Gandhi, car on en a fait une figure très respectable difficile à critiquer, alors qu’il était capable de vous faire avaler des couleuvres :
« C’est une erreur de croire nécessairement faux ce qu’on ne comprend pas » (à dire à quelqu’un qui refuse nos arguments en déclarant qu’ils sont tarabiscotés) ;
« L’erreur ne devient pas vérité en se multipliant » (à dire à quelqu’un qui prétend se ranger du côté de la majorité) ;
« Tout ce que tu feras sera dérisoire, mais il est essentiel que tu le fasses » (à dire à quelqu’un qui remet en cause l’utilité de certaines actions), etc.

  • De même, retenez quelques locutions latines, plus ou moins connues, mais adaptables à tout type de contexte.

Par exemple, parmi mes préférées :
Alea jacta est (« le sort en est jeté ») ;
Amicus Plato, sed magis amica veritas (« J’aime Platon, mais j’aime mieux la vérité » : pour contrer un argument d’autorité justement !) ;
Aquila non capit muscas (littéralement « l’aigle n’attrape pas les mouches », ce qui peut signifier : je n’ai pas à m’occuper de ce genre de détails) ;
Si vis pacem, para bellum (« si tu veux la paix, prépare la guerre »), etc. Préférez ce genre de formules paradoxales, pour dire tout et son contraire.

  • Enfin, préparez-vous constamment, renseignez-vous au préalable sur les sujets sur lesquels vous pouvez être amené à vous exprimer, dans tout type de situation. Faites des « fiches », comme les étudiants, et relisez-les régulièrement. Par exemple, juste avant une discussion, en fonction des sujets que vous aborderez probablement, consultez les fiches adéquates. Pour chaque idée ou argument, donnez 1 exemple, + 1 référence. Contentez-vous d’une locution latine par discussion.

Vous serez ainsi armé pour vous démarquer sur tous les sujets, dans tous les débats, en apparaissant comme quelqu’un de particulièrement cultivé.

En retour, ne soyez pas impressionné par les « petits professeurs », c’est-à-dire ces personnes qui s’expriment sans cesse à travers les idées des autres, untel à dit ceci, tel autre a dit cela, étalant leur culture autant que possible, noyant leurs interlocuteurs sous une avalanche de références, de citations, de noms d’auteurs et de titres d’ouvrages peu connus (qu’ils n’ont parfois eux-mêmes même pas lus !) :

La culture n’enseigne pas l’intelligence, encore moins la vérité… Être érudit est une chose, bien réfléchir en est une autre.

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Le trac : une maladie française ?

Depuis tout petit on nous dit de nous taire, de laisser parler les « grands »… Ce n’est pas exactement le silence qui est érigé en vertu, mais la retenue dans la parole. Être trop bruyant, trop parler lors d’un diner avec les parents, cela pouvait nous valoir une correction.

A l’école, c’était pire : les professeurs qui ne savaient pas nous captiver, trop souvent à cause de leur propre manque d’intérêt, s’excitaient par contre avec passion pour nous faire cesser de bavarder. Ils semblaient craintifs face aux levées de mains pour les questions, et dénigraient les plus embarrassantes, ce qui n’incitait pas à la participation.

Alors l’immense majorité finit par redouter de s’exprimer, ou de poser trop de questions. Peu sollicités à l’oral, exclusivement évalués à l’écrit, les élèves Français deviennent timides et redoutent de prendre la parole en public. Et ce stress est entretenu tout au long de la vie par les futurs supérieurs hiérarchiques et autres représentants de l’autorité, à la suite des maîtres et maîtresses d’école…

Les Français aiment à présenter leur pays comme celui de la révolution ; les étrangers sont d’autant plus stupéfaits d’en découvrir la situation de sclérose et le malaise social qui s’y impose. L’auteur anglophone Peter Gumbel, grand reporter à Time Magazine, a attaqué le système éducatif français dans un essai corrosif : On achève bien les écoliers

Depuis qu’il s’est installé à Paris en 2002, il s’est en effet heurté aux méfaits de l’Éducation nationale à travers la scolarisation de ses filles : il a remarqué chez elles une augmentation du stress, un manque de motivation, et des limitations dans les prises d’initiatives ou leur libre expression. Et, s’appuyant sur nombre d’enquêtes et de statistiques, il découvre que ce problème concerne en réalité tous les écoliers.

Il dénonce une approche éducative basée sur l’humiliation, la pression des notes, et le faible engouement des profs.

Lorsque Peter Gumbel devient lui-même enseignant, pénétrant ainsi l’envers du décors, il en découvre les ravages à tous les niveaux, même chez les étudiants jugés les plus brillants. Se confiant au Journal du Dimanche, il raconte : « J’ai commencé à enseigner, notamment à Sciences-Po, l’élite. J’ai été surpris par le fait que les étudiants français avaient un mal fou à participer, à prendre la parole. Depuis la petite école, le système rend les élèves français réticents à la participation. Ils n’ont pas confiance en eux. »

A partir d’un constat similaire, Stéphane André rapporte une anecdote significative dans son ouvrage Le secret des orateurs

Régulièrement sollicité pour donner des conférences sur l’art oratoire, il lui arrive lors de celles-ci d’inviter une personne du public à prendre sa place et à s’exprimer face aux autres le temps de quelques minutes. Néanmoins, habitué à un public français, il peine généralement à trouver un volontaire. Quasiment personne ne semble vouloir parler en public ; personne n’est prêt à s’exposer ainsi. Or, il eut un jour l’occasion de donner une conférence à un public fort différent, essentiellement composé de Nigérians…

…L’évènement se tenait dans l’amphithéâtre d’une grande école de commerce et s’adressait à de futurs cadres originaires d’Afrique. Au cours de son intervention, Stéphane André proposa à qui voulait parmi l’assemblée de venir le rejoindre au niveau du pupitre, et prit pour cela toutes les précautions d’usage – de politesse et de propos rassurants – afin de ne pas rebuter l’éventuel candidat. Quelle ne fût pas sa surprise de voir alors l’ensemble de l’amphi se lever en bloc, avide de se livrer à ce genre d’exercice !

Il explique ce moment : « Je compris tout d’un coup que ces gens-là ne ressentaient pas une once de trac à l’idée de parler en public, fût-ce devant cent personnes. Ces gens-là étaient des Africains. Ils s’avançaient joyeusement vers la tribune, lieu de tous les périls pour l’orateur européen. On ne leur avait jamais inculqué l’idée du danger qu’il pouvait y avoir à parler en public. Ils n’avaient pas été élevés comme les petits Français. »

Et ajoute un peu plus loin : « Tant que le milieu scolaire n’aura pas décidé de se pencher sérieusement sur le problème de la formation de nos orateurs, la culture française de l’oral restera ce qu’elle est »… Stéphane André déduit de cette expérience que le trac n’est pas naturel, et dépend en réalité d’un apprentissage culturel.

Le trac est cependant ancré en nous à un tel point qu’il devient comme une seconde nature. C’est un trait possible de ce que le sociologue Pierre Bourdieu désignait par habitus, c’est-à-dire quand un conditionnement culturel finit par se confondre avec une prédisposition naturelle.

L’habitus des Français serait de ne pas savoir parler sans trembler… Et ce qui pourrait expliquer ce phénomène, dans notre culture et tout particulièrement dans l’univers scolaire et universitaire, est la prédominance de l’écrit sur l’oral

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Comment lancer et développer une activité de conférencier à l’international ?

Aujourd’hui, le métier de conférencier se développe de plus en plus et attire de nombreuses personnes. Face à cette demande, un nombre important de conférenciers décident de devenir conférencier professionnel. Quelle est la différence entre un simple conférencier, et un conférencier professionnel ? Le conférencier professionnel est payé pour donner ses conférences, et en fait son activité principale et/ou sa source de revenus principale. Avec cela, devenir conférencier confère un véritable pouvoir d’influence, que ce soit sur l’auditoire, sur sa clientèle, ou encore pour augmenter sa réputation.

Petites précisions avant d’aller plus loin… Il faut souvent avoir déjà développé une véritable activité de conférencier professionnel avant de prétendre devenir conférencier international. Une stratégie, la plus fréquente et la moins risquée, consiste à developper son activité localement, s’assurer un fort ancrage régional ou national avant de projeter de se developper à l’international. C’est d’ailleurs cet ancrage local ou national qui se vend bien à l’étranger : on se présente comme « frenchie », comme « ambassadeur de la marque France », c’est tout un imaginaire culturel sur lequel on peut capitaliser. L’autre stratégie, plus risquée, est jouable si vous avez déjà un solide réseau international : il s’agit de developper dès le début une activité de conférencier professionnel dans une dimension internationale, c’est-à-dire donner ses premières conférences rémunérées dans plusieurs villes étrangères avant même de vendre vos conférences dans votre ville ou pays d’origine… Ce qui est bien sur plus délicat, puisque les premières opportunités de conférences rémunérées vous seront généralement données par des personnes qui vous connaissent déjà…

Quoi qu’il en soit, devenir conférencier international n’est pas un art maitrisé par tout le monde. Votre volonté à elle seule ne suffira pas pour trouver des clients et développer votre réseau. Obtenir un tel résultat demande un travail acharné, une élocution parfaite (dans votre langue mais aussi en anglais, ou mieux encore : dans les langues des pays dans lesquels vous intervenez…), des histoires passionnantes transmises avec une parfaite maitrise et une assurance sans failles. Savoir parler en public et impacter ceux qui vous écoutent est une tâche qui requiert une grande concentration. Dans cet article, nous allons voir plusieurs aspects importants pour devenir conférencier professionnel d’une part, et developper son activité de conférencier international d’autre part.

Suivre une formation professionnelle de conférenciers

Devenir conférencier international est une profession qui est à la portée de tous, pourvu que l’on s’en donne pleinement les moyens. Ce métier consiste à proposer et à réaliser une présentation des discours sur des domaines bien précis face à un public. L’objectif principal d’un conférencier est d’apporter de la motivation et de l’encouragement à ses auditeurs, bien plus que des connaissances. Le conférencier n’est pas un petit professeur… Mais un professeur peut developper une activité de conférencier professionnel, ce n’est bien évidemment pas contradictoire. Cependant, même si vous êtes dotés d’un talent d’orateur, il est nécessaire de l’approfondir, de le polir et d’en faire un véritable joyau à présenter à vos clients.

En premier lieu, vous gagnerez clairement à suivre une formation professionnelle de conférencier. Même quand on est convaincu d’avoir du talent, que l’on pense « savoir comment faire », et qu’on a lu de nombreux livres sur le sujet, suivre une formation permet toujours d’apprendre de nouvelles choses, et surtout cela permet de se mettre en situation. C’est une préparation à ne pas négliger dans votre cursus de professionnalisation. D’ailleurs, les participants à ce genre de formation regrettent rarement d’y avoir participé, le taux de satisfaction est toujours très élevé. Par ailleurs, il est généralement possible de bénéficier d’une aide à la formation professionnelle, que ce soit avec le CPF, Pole Emploi, etc.

Dans ce secteur de la formation de conférenciers, il existe plusieurs experts qui sont eux-mêmes conférenciers professionnels, et qui ont du succès aussi bien au plan national qu’international. Ces professionnels mettent leur savoir-faire et leur professionnalisme à disposition des personnes qui débutent dans le métier pour atteindre un jour le niveau qu’ils présentent aujourd’hui. Ils fournissent de nombreux trucs et astuces, leurs témoignages sont précieux et toujours instructifs.

Opter pour une formation de conférenciers professionnels est très important, car ce métier est totalement passionnant, en pleine croissance et surtout présente de nombreuses responsabilités à assumer. Certes, beaucoup de conférenciers ont commencé dans ce domaine en tant qu’autodidactes. Cependant, ils doivent faire face à de nombreuses contraintes, aux attentes de leur auditoire, aux exigences, mais également aux peurs et aux doutes qui composent la complexité de cette profession.

Une formation pour devenir conférencier professionnel vous permettra de bénéficier de l’expérience de spécialistes, de connaitre les bonnes pratiques, d’acquérir de la compétence et de faire partie d’un réseau de professionnels. Vous disposerez de toutes les armes nécessaires pour affronter tous les obstacles qui pourraient s’ériger pendant le développement de votre activité professionnelle. En savoir plus sur les formations de conférencier professionnel et de conférencier international

Apprenez à devenir un conférencier professionnel à tout moment

Malgré l’apport d’un coach, d’un formateur ou d’un mentor dans le cadre d’une formation de conférenciers professionnels, la grande partie du travail est toujours à votre niveau, et pour cela vous devez rester avant tout un « étudiant », en tout cas avoir cet état d’esprit d’ouverture et de curiosité, prêt a apprendre de nouvelles choses et a accepter d’être formé. Il ne faut pas s’arrêter d’étudier les meilleurs de la scène. Depuis de nombreuses années, le niveau d’exigence des auditeurs a augmenté considérablement et il est important de pouvoir les satisfaire à tous les niveaux.

Qu’il s’agisse donc d’humoriste, des discours de politiciens, des spécialistes en développement professionnels : vous devez vous imprégner des meilleures prestations existantes. De manière constante, vous devez vous demander comment améliorer votre style personnel en vous basant sur leurs diverses techniques. De cette façon, vous pourrez espérer conquérir les auditeurs de votre pays et traverser les frontières.

Avant de devenir conférencier professionnel, vous devez absolument comprendre que le plus important n’est pas le contenu de votre speech, mais votre personne. Généralement, de nombreux conférenciers font l’erreur de mettre toutes leurs forces pour perfectionner leur contenu au point d’oublier de se préparer eux-mêmes. Et pourtant, la réussite d’une conférence repose essentiellement sur la confiance du conférencier en ses propres capacités.

En montant sur la scène, vous ne devrez pas avoir pour premier objectif de faire une très bonne impression à vos interlocuteurs, mais plutôt avoir la volonté de leur apporter une aide, être pour eux une source d’énergie, d’espoir ou de motivation. Pour devenir conférencier international, vous devrez être en mesure de faire un don de votre personne… Lorsque vous montez sur l’estrade, votre premier désir doit être de partager à vos interlocuteurs des points qui les aideront à améliorer leur vie au quotidien. Toute votre connaissance, vos recherches avancées ainsi que la somme de vos expériences passées sont des éléments qui vont contribuer fortement à renforcer votre expertise et à apporter à votre auditoire, une réelle valeur ajoutée. Les effets de voix, de style, les formules ne sont là que pour mettre en valeur cela.

Exercez-vous à tout moment

Comme vous vous en doutez peut-être, la compétition sur ce marché est très rude surtout lorsqu’on prend en compte les différents conférenciers très talentueux. En effet, sur les scènes nationales et internationales, il y a déjà plusieurs conférenciers très compétents qui se perfectionnent de jour en jour. Alors, si vous désirez être un conférencier professionnel, vous devez mettre toutes les chances de votre côté. Et pour y arriver, vous devez avoir et créer des occasions d’investir.

En d’autres termes, vous devez avoir un temps de prestation même si vous n’êtes pas sur une scène. Faites du monde entier, de votre environnement, votre estrade. Lorsque vous êtes entourés de vos amis et même de votre famille, ayez toujours le réflexe de leur transmettre de la valeur, de les aider dans leur challenge et profitez de la même occasion également pour tester vos blagues. En vous exerçant régulièrement de cette façon, la pression face à un grand public diminuera considérablement lorsque vous serez sur scène et vous pourrez constater la véritable portée de vos propos.

Par ailleurs, vous ne devez pas perdre de vue que devenir conférencier vous expose de manière publique et cela peut vous rendre vulnérable. C’est la raison pour laquelle vous devez arrêter de vous soucier de ce que les autres pensent de vous… Faites fi des critiques acerbes des personnes qui n’ont aucune idée de ce que vous développez comme thème. Ne faites pas l’erreur de vous inquiéter de l’opinion des autres. Votre seule source d’énergie doit être l’ambition de devenir un conférencier.

Toutefois, même si vous devez rejeter les remarques blessantes, il est quand même important que vous sollicitiez les critiques constructives. À titre d’exemple, si lors de l’une de vos conférences un expert dans le domaine est présent, n’hésitez pas à lui demander son avis. Ce type de critiques vous permettra de corriger vos insuffisances et de vous améliorer considérablement.

Mettez vos compétences en valeur

Être un conférencier international demande des efforts constants et même si vous êtes établi sur le marché depuis un bon moment, vous devez quand même vous former de manière constante.

En premier, vous devez développer un portfolio de conférencier professionnel. Ou, plus simplement, une « plaquette commerciale », exactement comme pour tout autre type de produit ou d’entreprise… Sauf que la, le produit, c’est vous, vos conférences. Ce genre de document vous permettra de présenter de façon brève qui vous êtes et ce que vous faites. Il mentionnera également les différents avantages que tireront les participants de vos conférences. Autrement dit, ce portfolio représentera en quelque sorte votre CV de conférencier à chaque fois que vous voudriez vous proposer comme conférencier à l’international. Et bien évidemment, vous devez en avoir une version en anglais, ou bilingue…

Ensuite, vous devez proposer une vidéo professionnelle. Cette séquence vidéo permettra a vos prospects de se faire une idée plus précise de ce que vous savez faire sur une scène. C’est un élément à ne pas négliger si vous voulez recevoir des invitations provenant de l’étranger. Elle permettra de démontrer votre niveau d’expertise et votre maitrise de la scène. N’oubliez pas aussi d’insérer dans cette vidéo des témoignages d’auditeurs qui racontent les avantages de vos conférences dans leur quotidien. Ces preuves sociales sont des moyens qui vous permettront de trouver des clients.

N’hésitez pas également à demander des lettres de témoignages sur vos compétences ainsi que sur les résultats de vos formations. Pour les avoir, il suffira de demander à vos clients de faire des témoignages pour vous. Vous pouvez également préparer 3 excellentes références de clients pour un service que vous leur avez rendu. Pour pouvoir vous faire appel à l’étranger, les gens auront besoin d’avoir une confirmation de la réelle valeur ajoutée apportée par vos formations de conférencier.

Proposez des formations pour donner des solutions à un challenge

Si vous vous demandez comment vendre des conférences à l’étranger, vous devez avant tout asseoir votre réputation. Il est essentiel que tout le monde connaisse votre valeur et ait une idée de ce que vous pouvez réaliser. Pour obtenir ce résultat, concevez une vidéo pour votre client idéal pour solutionner un défi qu’il pourrait rencontrer. Avec une vidéo de quelques minutes, prouvez que vous êtes en mesure de résoudre un problème qu’il pourrait rencontrer sur le terrain. Ensuite, envoyez cette vidéo à des départements de ressources humaines et des responsables marketing de sociétés que vous aurez ciblées auparavant.

Pensez aussi à vous allier avec d’autres conférenciers talentueux dans d’autres domaines. Des occasions se présenteront peut-être au cours desquelles ils pourront vous recommander et vice-versa. Vous pouvez également organiser votre propre conférence à l’international si vous êtes sûrs d’avoir une base d’auditeurs prête à vous écouter. Si cette conférence est une réussite, vous pourrez être sûr d’être plus sollicité. Vous avez la possibilité de postuler à un bureau de conférencier. Ces organismes internationaux recherchent souvent des conférenciers professionnels pour les représenter auprès de leurs clients. Mais face à la forte concurrence, vous devez nécessairement vous démarquer pour sortir du lot.

Si vous ne faites pas des vidéos sur YouTube, c’est peut-être le moment de vous lancer ! Parmi vos abonnés, vous pourrez vous constituer une très bonne base de clients et vous faire remarquer des clients étrangers. Vous pourrez ensuite partager ces videos par e-mail et sur tous les réseaux sociaux, notamment pour trouver de nouveaux clients sur Linkedin.

Pour en savoir plus :

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Voltaire et le verlan (aurait-il porté la casquette à l’envers ?)

François-Marie Arouet, dit Voltaire, écrivain et philosophe français, figure emblématique des Lumières (1694-1778)

Le verlan, procédé qui consiste à inverser toute la structure syllabique d’un terme (verlan veut justement dire « à l’envers »), est souvent interprété comme un saccage de la langue.

La parole, la maîtrise du discours, c’est le pouvoir. En renversant les mots, le verlan renverse symboliquement l’ordre en place, alors perçu comme le langage d’une contre-culture, rebelle et subversive.

C’est un mode d’expression typiquement associé au hip hop, et les textes de rap sont truffés de termes construits de la sorte. Le « jeune des cités » (allons-y à fond dans les clichés…) qui se réfugie dans cette forme d’expression se met donc implicitement en opposition avec la culture et l’enseignement que ses professeurs du secondaire et supérieur essayent de lui transmettre.

Pourtant, n’est pas le plus rebelle qui croit !

En cours de français, et en prévision du bac, ses professeurs lui font notamment lire des auteurs du XVIIIe siècle, dont Voltaire, entre autres… Or, « Voltaire », comme nous l’avons tous appris lors de ces mêmes cours de français, est un pseudonyme.

Pourquoi ce pseudonyme ? Que veut-il dire et d’où vient-il ?

Une interprétation célèbre fait de ce pseudo une anagramme du vrai nom de l’auteur, François-Marie AROUET, ou AROVELTI en latin, le U étant représenté en majuscule par une lettre semblable au V (l’anagramme repose sur une figure de style consistant à permuter les lettres d’un mot pour en composer un nouveau, ici A-R-O-V-E-L-T-I pour écrire V-O-L-T-A-I-R-E.)

Mais une autre interprétation, moins répandue, rappelle que les parents de Voltaire sont originaires du village de Airvault, à partir duquel Voltaire aurait donc construit son pseudonyme… en verlan ! (Airvault > vaultAir)

Loin d’être un saccage de la langue française, les modes d’expression alternatifs et marginalisés s’inspirent en réalité sans le savoir de jeux littéraires très sophistiqués, qui occupaient les élites et autres érudits de la période des Lumières…

Vous aussi exercez-vous régulièrement à parler en verlan !

Parler en verlan est un excellent exercice pour apprendre à manier la langue, faire travailler son esprit, sa réactivité et sa créativité. C’est une véritable gymnastique intellectuelle. C’est aussi un bon moyen de mémoriser certains mots techniques ou complexes, en jouant avec.

Lépar en lanvére est un lenxélé cicérex pour prendra à niéma la gueulan, reufé vaillé-tra son priesse, sa tivitéréac et sa tivitécréac. C’est une bleutavéri sticknagym elletulékinte. C’est sisso un bon yen-moi de zérimémo taincére ôme niktek ou plexcom, en ouanje veka.

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L’art de l’éloquence en matière de séduction

Dans cet article, nous avons voulu aborder la question de l’éloquence dans le domaine particulier de la séduction. Comment appliquer l’art de l’éloquence à la séduction ? Comment utiliser les bonnes techniques de communication pour faire de belles rencontres ? Comment mettre en pratique l’éloquence, c’est à dire la façon de s’exprimer avec aisance mais aussi l’art d’émouvoir, dans sa vie sentimentale ?

Certains hommes politiques, journalistes ou avocats médiatiques possèdent cette faculté de prendre la parole en public avec un tel aplomb et une telle confiance que cela en est parfois surprenant. Dans la séduction, c’est un peu le même principe. Lorsque vous abordez une personne avec comme objectif d’obtenir un rendez-vous ou tout simplement de créer un lien, les mots que vous allez prononcer, tout comme la manière dont vous allez vous comporter, sont prépondérants… Voici nos meilleurs conseils pour utiliser la force de l’éloquence dans le contexte d’un rapport de séduction :

Ciblez immédiatement le point à travailler

Comme dans tous les domaines, l’éloquence peut se travailler et bien sûr s’améliorer grâce à un travail spécifique, idéalement dans le cadre d’un coaching ou d’un accompagnement.

Même si l’objectif est de séduire de manière plus efficace, il existe une multitude de points à travailler. L’art de dialoguer efficacement ne s’acquiert pas seulement par l’enrichissement du vocabulaire. Il faut savoir quoi dire, avoir les mots pour le dire, mais surtout savoir comment le dire – trouver le bon ton, joindre le bon geste… Il existe de nombreux domaines sur lesquels le travail peut être axé, et qui sont donc susceptibles de vous conduire à améliorer votre jeu de séduction. Il va de soi que le fait de connaitre un maximum de mots ne peut que vous êtes utile, mais ce n’est pas le seul facteur à prendre en considération. L’ éloquence en séduction c’est aussi savoir gérer des détails qui peuvent avoir une importance prépondérante : la voix, la posture…

Pour développer votre éloquence et surtout appliquer chacun de ces conseils à votre séduction je vous invite à déterminer un axe de travail spécifique. Il est essentiel d’avancer par petits objectifs afin de prendre en main votre évolution. Déterminez immédiatement : « Quel est votre premier axe de développement ? »

Exercice à mettre en place immédiatement :

La prochaine fois que vous serez en face d’une personne que vous pourriez chercher à séduire, je vous demande de bien penser à vous tenir droit, garder les épaules ouvertes, et ne pas laisser votre regard tomber ou fuir vers le bas. Cette position vous permettra de gagner en charisme et donc mieux transmettre votre discours . Essayez de le reproduire avec au moins 3 interlocuteurs dans la journée. Vous verrez que lorsque vous êtes moins droit et que votre regard est fuyant, votre interlocuteur(trice) ne vous accorde pas la même attention !

Pourquoi la séduction est un domaine à part ?

J’imagine que selon vous, l’éloquence n’est qu’une question de pratique et vous avez… à moitié raison. En réalité, il existe tellement de paramètres à maîtriser que la pratique ne peut pas tout régler. De plus, vous pouvez parfaitement être très éloquent dans un domaine précis, mais lorsque vous vous retrouvez dans un autre contexte, vous perdez pied. Il est évident que la séduction fait entièrement partie de ces domaines « à part » où la gestion du stress est une problématique centrale.
Devant une personne que vous appréciez, il vous sera plus difficile de garder votre naturel, d’être vraiment spontané, et c’est pourquoi je vous invite à travailler sur votre confiance personnelle.

En séduction, si vous prenez confiance en vous, vous serez en mesure de vaincre vos blocages et ainsi d’aborder la personne qui vous attire vraiment !

Pour développer votre éloquence en matière de séduction, je vous invite dans un premier temps à apprendre à mieux communiquer avec toutes les personnes qui vous entourent et ainsi développer votre capacité à « socialiser ». Vous ne pourrez que profiter de cette expérience pour être plus à l’aise dans tous vos rapports, établir de nouveaux liens et favoriser de belles rencontres, dont des rencontres amoureuses.

Exercice à mettre en place pour séduire rapidement :

Prenez quelques minutes dans votre journée pour aborder 3 personnes inconnues. L’objectif principal est de dialoguer et d’attirer l’attention. Si vous êtes capable d’intéresser des inconnus alors vous pourrez facilement séduire des personnes qui vous attirent !

Eloquence et séduction, les détails à connaitre !

L’éloquence en séduction ne consiste pas (seulement) à employer de jolis mots ou à faire de jolies phrases, car le risque est de passer pour un beau parleur ou un baratineur et vous savez probablement qu’en agissant de cette manière vous risquez de ne pas pouvoir conclure.

En réalité, l’art de communiquer est bien plus vaste et il ne faut pas se concentrer uniquement sur la parole. Il est indispensable de prendre plusieurs paramètres en considération et notamment le langage corporel, qui vous permet d’établir une connexion immédiate avec votre interlocuteur(trice).

Exercice à faire immédiatement :

Lorsque vous parlerez avec une personne, n’hésitez pas à lui toucher 3 fois le coude au cours de votre conversation (technique du « toucher cubital »). Vous vous rendrez compte que la connexion se crée rapidement et que votre pouvoir de séduction est renforcé !

Votre stratégie de séduction repose en partie sur votre éloquence. Tout n’est pas uniquement basé sur le physique, ni sur le fait d’avoir tissé un lien social préalablement à la rencontre. Et même si c’est le cas, le fait de mieux communiquer avec votre interlocutrice ou votre interlocuteur ne peut être qu’un avantage supplémentaire. Grâce à votre nouvelle façon de communiquer, vous ne passerez plus inaperçu. Vous dégagerez ce magnétisme indispensable lorsque l’on souhaite attirer une personne, et qui vous permettra de vous faire immédiatement remarquer par celui ou celle que vous souhaitez charmer. Vos mots et votre attitude seront désormais vos meilleurs atouts !

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