Inspiration

Steve Jobs : « Si aujourd’hui était le dernier jour de ma vie… »

Citation Steve Jobs se regarder dans un miroir

Se regarder dans un miroir* ? En se posant une question… Steve Jobs raconte cette anecdote :

« A 17 ans, j’ai lu une citation qui disait à peu près ceci : « Si vous vivez chaque jour comme si c’était le dernier, vous finirez un jour par avoir raison. » Ça m’a marqué. Et depuis, chaque matin, je regarde dans le miroir en me demandant : « Si aujourd’hui était le dernier jour de ma vie, est-ce que j’aimerais faire ce que je vais faire aujourd’hui ? » Si la réponse est « non » plusieurs jours de suite, alors je sais que je dois changer quelque chose. »

* I want you to look in a mirror = Je veux que tu te regardes dans un miroir… L’image ci-dessus est une parodie de la fameuse affiche pour le recrutement américain pendant la Première Guerre Mondiale représentant Oncle Sam le doigt pointé en direction du lecteur avec les mots « I want you for U.S. Army »

Affiche Uncle Sam I want you

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Technique de leadership et créativité : l’art de la « pensée parallèle »

Dites-moi… Avez-vous remarqué le goût prononcé des Français, jeunes et moins jeunes, pour l’argumentation ? Les étudiants de notre beau pays semblent de plus en plus intéressés par les techniques d’éloquence et de rhétorique. Dans certaines écoles (de commerce, notamment…) on organise même des concours de rhétorique qui permettent aux participants de se confronter sur n’importe quel sujet, simplement pour la beauté de l’exercice, pour le plaisir de l’art oratoire et la joie des joutes verbales. Merveilleux, n’est-ce pas ? Ces étudiants maîtrisent toujours plus la forme, mais bien souvent au détriment du fond…

Cela provient en partie d’une croyance assez partagée dans notre culture qui veut que l’on progresse grâce à la confrontation, au « débat contradictoire », grâce au fameux trio thèse / antithèse / synthèse. C’est d’ailleurs sur ce modèle que nous pensons avoir bâti notre démocratie. Nous confondons hélas un peu vite confrontation ou contradiction et… délibération… Nuance.

Le réflexe de faire appel au « débat contradictoire » présente beaucoup d’avantages et nous permet notamment d’appréhender à peu près correctement les risques et problèmes liés à un nouveau projet quel qu’il soit. En confrontant nos points de vue on se donne l’impression de faire le tour du sujet et ainsi de le maîtriser totalement. Mais ce n’est bien souvent qu’une impression, et nous pensons de considérer qu’à l’issu d’une joute verbale il y a donc un vainqueur… et un perdant. Qu’en pense le perdant ?

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Ce goût pour l’argumentation finit en fait bien souvent par devenir un obstacle à la créativité et au changement dans notre vie quotidienne. Combien de fois avez-vous vu l’une de vos idées tuée dans l’œuf par une critique immédiate et définitive, et ce au nom même du « débat » ou de la « discussion » ? Que ce soit clair : certains individus sont de véritables bulldozers avec lesquels il est en réalité impossible de débattre, et même impensable de simplement discuter sérieusement.

Dans son incroyable livre Les six chapeaux de la réflexion, le stimulant Edward de Bono propose une méthode vraiment innovante et même amusante permettant aux idées de mieux germer et d’exprimer tout leur potentiel : c’est ce qu’il appelle la « pensée parallèle ».

Le principe de la pensée parallèle est simple : alterner successivement et de manière consciente et organisée notre approche d’un sujet donné, et ce quel que soit ce sujet. Chacun des « six chapeaux » représente une approche différente, et la méthode nous invite à les utiliser successivement. On imagine donc six couvre-chefs de couleurs différentes, et on se place tour à tour sur chacun d’entre eux :

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  • Chapeau Blanc : Objectivité. Observer uniquement les faits et les chiffres ;
  • Chapeau Rouge : Émotion. Écouter son intuition ;
  • Chapeau Noir : Prudence. Se méfier, identifier les risques ;
  • Chapeau Jaune : Optimisme. Identifier les bénéfices et opportunités ;
  • Chapeau Vert : Créativité. Trouver de nouvelles idées ;
  • Chapeau Bleu : Organisation. Définir les moyens et bâtir le plan d’action.

Deux principes clairement de quoi vous séduire dans cette méthode. Tout d’abord, principe numéro 1, cette méthode permet de faire soit même le tour d’un sujet de manière relativement exhaustive – plutôt que de ne l’étudier que sous l’angle « critique » du chapeau noir. Ensuite, principe numéro 2, cela permet de mieux animer une discussion de groupe en invitant parallèlement l’ensemble des personnes présentes à étudier une question avec un angle commun (ex. optimisme, prudence, créativité) puis de passer tous ensemble à un autre angle d’approche.

On fait ainsi la somme des énergies et des connaissances des personnes présentes plutôt que de les confronter. On oblige aussi certaines personnes à dépasser leurs vieux réflexes qui les enferment bien souvent dans une seule approche (comme par exemple le pseudo expert à la con qui ne fait que critiquer… vous en connaissez forcément n’est-ce pas ?).

Je vous invite donc vivement à commander et à lire (puis à mettre en pratique aussi souvent que possible, chaque fois que l’enjeu compte pour vous) Les six chapeaux de la réflexion d’Edward de Bono. Grâce à ce livre incroyablement stimulant, vous ferez le plein de bonnes idées pour mieux réfléchir et mieux fédérer les énergies de votre entourage. Vous gagnerez donc en capacité d’innovation, et donc d’influence et de leadership pour prendre les meilleures décisions tout en motivant chaque personne concernée.

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Technique de leadership : commencer par se libérer…

C’est probablement la meilleure résolution que vous pourriez prendre depuis des années… Depuis les années 2000 probablement, pour être plus précis : depuis ces années où le web est entré dans nos vies et il n’en est toujours pas ressorti. Il se faufile dèsormais à travers nos téléphones, qui sait si un jour il ne nous rattrapera pas directement par la pensée (réseaux sociaux télépathiques, comme l’a évoqué le fondateur de Facebook…). Voici donc la résolution que je vous invite à prendre, une proposition qui n’a l’air de rien, un petit rien comme un vrai bol d’air pour l’esprit !

Un jour par semaine sans internet. Tout simplement.

Quel jour choisir ? Evidemment, ça dépend de votre métier. Si vous avez besoin de votre ordinateur de votre téléphone toute la journée pour travailler, ça ne peut pas tomber un jour de travail. Mais dans ce cas, pourquoi pas le samedi ? Pourquoi pas le dimanche ? Pourquoi pas le jour vraiment libre de votre semaine ? Souvent, el seul jour vraiment que nous avons dans la semaine, nous le passons majoritairement sur le web… Quel gâchis !

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Un jour sans internet, c’est d’abord l’occasion de réaliser combien nous sommes tous aujourd’hui « cyberdépendants » sans même nous en rendre compte (ce qui est précisément le principe d’une addiction ou d’une dépendance, soit dit en passant). Une vraie pause de 24 heures sans e-mail, sans vidéos youtube, sans connerie sur facebook, sans faux débat sur twitter ni même simplement regarder les horaires des séances allociné, sans rien de rien ! Pas si facile de rompre avec les habitudes, vous allez voir. Et justement : plus c’est difficile, plus c’est la preuve que vous devez arrêter, ou du moins limiter votre consommation de contenus généralement merdiques et inutiles sur internet.

Un jour par semaine sans internet, c’est bien sûr aussi l’occasion de chercher à mieux utiliser son temps pour faire toutes ces nombreuses choses pour lesquelles on se plaint habituellement d’en manquer ! Comme quoi ? Eh bien : lire, sortir, faire du sport, jouer d’un instrument de musique, apprendre une nouvelle langue, etc. Pour ma part, j’ai par exemple décidé de troquer l’ordinateur pour réviser mes partitions de piano chaque samedi, je redécouvre Franz Lizst et l’univers délicieux de ses sonates, quel bonheur, quel envoûtement…

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Mon samedi sans internet, c’est enfin et surtout l’occasion de passer plus de temps auprès de ma fille, qui fait battre mon cœur et pour laquelle je vis. C’est le moment de se retrouver tous les deux, sortir et faire des activités, prévoir de nombreux projets. Quelle magie ! Et pourtant, c’est à portée de main. Le temps qu’on passe chacun derrière son écran, c’est du temps qui nous éloigne l’un de l’autre, et plus généralement les uns des autres…

Certes, le point délicat est que vos proches doivent aussi jouer le jeu, c’est plus facile à mettre en place quand on vit seul ou à deux seulement, que quand on vit à quatre ou cinq. Vous devez aussi prévenir vos amis et votre famille que allez être moins disponible ce jour-ci de la semaine, pour ne pas qu’ils s’énervent en cherchant à vous joindre à tout prix par e-mail ou via une messagerie de réseaux sociaux !

Bref, tentez l’expérience, et si vous y trouvez autant de bonheur que moi, vous adopterez peut-être vous aussi le « off-net-day » ! Votre vie s’en trouvera complétement modifiée, dans le bon sens du terme, et vos proches apprécieront tout autant, vous finirez probablement par les convertir.

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La Conférence Berryer : jeux de mots, effets de manche et coups bas à l’honneur !

Le mercredi se tient à Paris un événement méconnu du grand public : la Conférence Berryer.

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Prenant place au sein du Palais de justice de Paris, la conférence Berryer est un événement oratoire quasi-hebdomadaire mettant en scène les douze avocats lauréats du concours de la Conférence du barreau de Paris + un invité (le plus souvent une personnalité) + de deux à six candidats + un ancien secrétaire… + les spectateurs bien sûr !

Le principe ? A chaque conférence, deux thèmes/problématiques sont abordées. Cela peut être des sujets sérieux comme « tout est-il négociable ? » ou « le cerveau est-il une prison ? », mais cela peut être aussi des sujets plus décalés (« Les écrits sont-ils vains ? », « Peut-on sortir debout des Assises? ») !

Le plus souvent, les thèmes sont en concordance avec l’invité, dont le nom est alors généralement détourné de façon humoristique (« Veni, Vidi, Vivendi » lors de la venue de Jean-Marie Messier… « Ne reste-t-il aux Pagny percés que la liberté de penser ? » lors de la venue de Florent Pagny… Le 5 décembre 2014 était invitée Claudia Tagbo, donnant l’occasion de former le sujet suivant : « Vous a-t-on déjà dit ‘Tagbo’ yeux tu sais ? »).

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Sur un des deux sujets au choix, les candidats préparent un discours en rapport. Enfin en théorie, car en pratique l’esprit se rapproche du Tribunal des Flagrants Délires de Desproges et Rego, le candidat ayant pouvoir de donner la direction qu’il veut à son discours (sérieuse, humoristique, ou carrément cynique). La plupart des candidats en profitent pour placer nombre de jeux de mots, d’envolées lyriques et d’effets de style pertinents, tous plus différents et agréables pour les oreilles les uns que les autres.

Lors de la fin du passage de tous les candidats, c’est au tour des secrétaires de mener une critique du discours du candidat (ou même de critiquer le candidat lui-même en versant sans vergogne dans les attaques ad hominem et ad personam), en s’efforçant toutefois de rester dans un registre juste, cinglant mais humoristique. Et c’est là que l’on voit que prendre la parole avec brio est véritablement un véritable art !

Une fois les discours des secrétaires finis, il peut arriver qu’entre en scène un ancien secrétaire – dont le discours va cibler ses pairs, les mêmes qui ont éminemment critiqué le candidat juste avant…. Et de façon similaire, jeux de mots, coups bas et art lyrique sont à l’honneur !

Vous passerez donc un excellent moment (nombreuses références culturelles, et bon si vous aimez l’art oratoire, allez-y !) dans un endroit atypique au centre de Paris (Palais de justice) à deux pas des quartiers animés (St Michel, St Germain, Châtelet).

Combien ça coûte ? Figurez-vous que l’entrée est gratuite : donc aucune excuse pour ne pas y assister au moins une fois ! Pensez juste à venir un peu à l’avance pour avoir de bonnes places… Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site officiel de la Conférence !

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N’y a-t-il donc que le style qui compte ?

« Dans les choses de peu d’importance, c’est le style qui compte, non la sincérité. Dans les choses d’importance, aussi. » Cette citation d’Oscar Wilde a de quoi faire réfléchir ! Alors, posons-nous la question : n’y a-t-il donc que le style qui compte ? Est-ce que cela revient à dire que nous privilégions surtout les apparences par rapport à une certaine réalité ? Et surtout… Pourquoi cela serait-il si choquant ?

Relisons plus attentivement la citation d’Oscar Wilde : il commence par contextualiser « dans les choses de peu d’importance… » Ce a quoi nous pouvons souscrire. En effet, on peut refuser que le style ne supplante pas le fond en toute chose, mais uniquement dans les domaines peu profonds, inintéressants, anecdotiques… Comme la télé-réalité par exemple… Ou le pur divertissement…

Pour éviter d’être soumis au dictat du style, le premier principe serait donc de s’engager pour « une chose importante », dans un « domaine qui compte ». Bref, de privilégier le fond des le début, pour ne pas se faire rattraper par le raz-de-marée de la superficialité. Mais ironiquement, Oscar Wilde nous dit qu’en réalité le style compte davantage que la sincérité pour les choses importantes aussi !

Mais en quoi la sincérité serait-elle donc un critère de valeur ? Le fait qu’une personne nous semble sincère n’est jamais qu’une apparence, potentiellement trompeuse. Le problème de la majorité des personnes convaincues d’avoir la vérité pour eux, est de ne pas chercher a soigner leur style, qui, lui, peut malheureusement susciter de la méfiance. La sincérité d’un orateur ou de tout autre type de locuteur compte donc bien peu, en effet, et la maitrise du style est finalement avant tout la preuve d’une intelligence pratique.

Les personnes qui prétendent ne pas être superficielles ou ne pas se fier aux apparences font pourtant la même chose que les autres : lorsqu’elles offrent un cadeau a quelqu’un, elles prennent soin de bien l’emballer, avec un joli papier ou un beau ruban, car elles savent que le style de l’emballage compte de façon décisive dans la réception du cadeau, quel que soit le cadeau en question. Et c’est bien cette forme d’intelligence pratique et sociale qu’il convient de transposer dans tous les domaines de la vie humaine, ni plus ni moins.

Derrière le cynisme revendiqué du facétieux Oscar Wilde, on peut donc relever un principe d’action déterminant : oui, le style compte, d’autant plus pour quiconque serait convaincu d’agir au nom d’une cause particulièrement « importante ». Et allons plus loin dans le cynisme : c’est précisément l’attachement au style d’une présentation que l’on pourra espère faire advenir l’objet de celle-ci comme « important »…

Conclusion : plus ce que vous avez a dire est important, plus il vous incombe de soigner votre style et le style de vos présentations.

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Et, surtout… N’oubliez pas d’être vous-même…

Dans tous vos discours, vous devez laisser transparaître le vrai « vous »… Facile a dire. Pourtant, beaucoup d’entre nous, en prenant la parole, cherchent à se « créer un rôle ». Nous essayons d’affirmer un style qui n’est pas vraiment le notre mais celui de nos modèles. Un style tantôt « cool », tantôt « intellectuel », ou « rebelle », selon les personnes que l’on admire.

Le plus souvent, nous essayons de tenir celui du « bon orateur »… Nous exagérons notre façon de faire, de bouger, de déclamer, nous déformons notre voix sans pour autant la rendre plus puissante, nous prenons un accent plus ou moins volontairement… Le résultat est souvent un immense gâchis. Jouer un rôle, quel qu’il soit, est une erreur : car cela nous enlève notre bien le plus précieux : notre authenticité !

Quel que soit le contexte, laissez toujours une part de vous paraître. C’est un pre-requis pour que l’on vous accorde davantage de confiance. Voici comment faire en 3 points :

1. Revendiquez vos origines, honorez vos racines

Soyez la personne que vous avez toujours été, vous êtes le produit de votre vie passée. Ne la laissez pas entièrement derrière vous auquel cas vous perdriez contact avec une part importante de vous. Honorer ses racines ce n’est pas nécessairement rappelez à chacun que vous êtes le fils de votre père célèbre ou que vos parents sont immigrés. Honorer ses racines c’est dire dans les faits ce que vous avez vécu, et pourquoi cela vous a influencé.

2. Assumez et partagez vos valeurs et vos croyances

Le plus important n’est pas d’être apprécié mais d’être vrai, en accord avec ce que vous êtes. Partager vos valeurs est un moyen efficace de construire un pont. Préfère-t-on un leader qui dit ce que les autres veulent entendre, ou un leader qui a le courage de parler de ses vraies convictions ? Cela se vérifie en affaires comme en politiques. Exprimez vos valeurs. Agissez selon elles.

Ce qui est authentique est ce que vous croyez réellement. Pour que cela fonctionne, vous devenez être enthousiaste lorsque vous en parlez. Ce n’est pas seulement l’idée mais l’émotion derrière l’idée qui fera de vous une personne sincère. Un auditoire reconnaît une personne qui parle d’une croyance en laquelle elle croit. De temps en temps, prenez la plume et écrivez les choses qui vous importent réellement (je conseille à ce sujet l’excellent livre Devenez ce que vous êtes, de Nicolas Proupain). Ce que vous croyez est le noyau de votre personnalité, lorsque vous permettez à d’autres de le voir, vous gagnez des amis et de la confiance. Partager vos croyances est une des choses les plus authentiques.

3. Parlez de vos défis professionnels, de vos difficultés, de vos réussites

Un moyen de paraître sincère aux yeux de votre auditoire consiste à leur raconter en détails les leçons que vous avez apprises des obstacles que vous avez rencontrés. Lorsque vous parlez, l’auditoire veut que vous les inspiriez, il veut connaître la vérité pratique et comment l’interpréter.

Cependant, ne jouez pas les grands savants. Ne faites pas comme si vous compreniez tout mieux que tout le monde. Ne vous mettez pas dans la peau du petit professeur auto-satisfait et prescripteur. Un peu de naïveté est essentiel. Dites de ce que vous pensez, exprimez vos opinions sans politiquement correct ni mot surjoué. L’authenticité est la vérité et la vérité demande de la naïveté. Ne l’évitez pas. Ayez de la naïveté, mais ne soyez pas uniquement candide

Un dernier conseil…

Amusez-vous ! S’amuser est l’un des meilleures moyens d’obtenir une connexion avec votre public ! Cela attirera les autres dans votre vie, donnez de l’énergie et vous en recevez en retour. Vous vous créerez des relations importantes en honorant votre personnalité et votre singularité, en le partageant avec autrui. N’ayez pas peur de perdre un peu de votre splendeur, vous y gagnez en confiance, en respect et en authenticité.

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