Toutes les Publications De Coach Eloquence

Pour vous lancer dans un débat contradictoire, ayez l’ESTOMAC bien accroché !

Nous l’avons souvent répété sur ce blog : le débat est un combat. Du moins faut-il se placer dans cette perspective belliqueuse lorsqu’un contradicteur nous apostrophe et nous prend à parti. Dans cet étrange combat qu’est le débat, les mots deviennent des armes, et c’est pourquoi il faut apprendre à les manier comme on manie une lame tranchante. Une lame affûtée peut tout autant pourfendre l’adversaire que se retourner contre nous si on l’utilise mal…

Quand on s’engage dans un débat, il faut donc avoir l’esprit guerrier et garder en tête les objectifs qui en découlent : au minimum, maintenir sa position (ne pas se faire déstabiliser ou ridiculiser par son adversaire) ; au mieux, retourner son interlocuteur, le mettre face à ses contradictions, ou convaincre le public qui nous entoure peut-être lors de cette joute verbale.

Se préparer à un débat contradictoire est donc un exercice particulier, tout aussi important que le débat en lui-même. A vrai dire, le débat tournera court pour celui qui ne s’y est pas préparé, ou mal préparé. Voici donc un moyen mnémotechnique inspiré du domaine militaire pour se préparer à un débat « en mode combat » : E.S.T.O.M.A.C.

On dit de quelqu’un qu’il a « l’estomac bien accroché » s’il est solide mentalement, capable de supporter des situations difficiles, en un mot : résistant. C’est justement cette attitude qu’il faut avoir quand on part au combat.

Dans l’armée française, l’acronyme « ESTOMAC » est un moyen mnémotechnique utilisé au combat pour designer dans l’ordre : Ennemi / Secteur de surveillance / Terrain à surveiller / Ouverture du feu / Moyen d’alerte / Amis / Chef. Explications :

Quand on poste un soldat quelque part, on peut définir les éléments clefs de sa mission en récapitulant les points successifs E.S.T.O.M.A.C : quelle est la nature de l’ennemi à identifier, quelles sont les limites du secteur à surveiller, par quoi se caractérise le terrain ainsi surveillé, dans quelles conditions faut-il être prêt à ouvrir le feu, par quels moyens est-il possible de passer l’alerte (radio, fréquence, moyens de substitution s’il y a une panne, fumigène, fusée de détresse…), et enfin un rappel des « amis » ou alliés (qui pourraient par exemple traverser le secteur surveillé, mais qu’il ne faudrait pas confondre avec des ennemis et ne surtout pas leur tirer dessus !), et enfin le chef, ou l’autorité à laquelle rendre compte des mouvements suspects et de l’évolution de la situation.

De même, le débatteur qui s’engage dans un débat contradictoire à la manière d’un combattant peut faire sienne cette formule, en l’adaptant bien évidemment à la configuration spécifique de la joute verbale, dont la violence est surtout symbolique et bien éloignée de la violence réelle du terrain militaire. Exemple d’un homme politique invité à une table ronde sur un plateau télé, qui pourrait ainsi récapituler les points clefs de la situation :

Ennemi : qui sont réellement ses contradicteurs ? Même si le journaliste ne lui est pas forcement sympathique, ce n’est pas lui son véritable opposant, et ce n’est pas non plus lui qu’il peut convaincre. De même, les membres des partis différents du sien ne sont pas tous ses ennemis, il peut miser sur un appui de circonstance pour contrer un invité en particulier. Il doit donc être très au clair sur qui est véritablement un ennemi frontal et direct pour lui.

Secteur : Il s’agira ici des thèmes et sujets abordés, sur fond de l’actualité. Notre homme politique doit clairement délimiter ses positions et domaines d’interventions, et ne pas se laisser embarquer au-delà par le journaliste ou un contradicteur. Des que le sujet dérive, il doit s »efforcer de recentrer le débat. Eventuellement, refuser de répondre à certaines questions qu’il qualifiera alors de hors sujet, ou totalement déplacées.

Terrain : la « nature » du terrain sera ici l’angle d’approche des différents thèmes et sujets. S’agit-il de privilégier une approche strictement économique ? Purement statistique ? Précisément chiffrée ? Ou s’ouvrir à des considérations plus « philosophiques, plus « humanistes » ? En fonction, préparer ses dossiers, c’est-à-dire rassembler les chiffres et/ou citations que l’on compte exploiter.

« Ouverture du feu » : fixer à l’avance les « points chauds » sur lesquels on montera tout de suite au créneau. Des que notre contradicteur aborde l’un de ces points, on ne le laisse pas passer, on réagit vivement et on le démonte immédiatement.

Moyens d’alerte : si nécessaire, prévoir quelques stratagèmes de détournement, en espérant ne pas avoir à les utiliser… Si le conseiller en communication de l’homme politique est présent dans le public, s’assurer de pouvoir établir avec lui un contact visuel afin de se transmettre des infos (par exemple, le conseiller peut mettre un doigt sur sa bouche pour indiquer qu’il ne faut pas en dire davantage sur tel ou tel sujet, etc., ainsi c’est plutôt lui qui donne l’alerte).

Amis : en écho au premier point « ennemis », identifier à l’avance et pendant le débat les appuis et alliances de circonstance. Il est préférable d’éviter de se mettre tout le monde à dos, même si on a toujours du mal à ne pas être en total désaccord avec quiconque n’est pas de notre parti…

Chef : bien identifier les différentes autorités qui régissent le débat. En premier lieu : le journaliste. C’est lui qui donne la parole, la reprend, pose un sujet, passe à un autre, et tente de faire respecter le temps de parole de chaque invité. Il faut se plier à ses règles, au risque de s’en faire un ennemi très malvenu. Autorité supérieure au journaliste : la production, ou pour le dire ainsi la chaine de télé elle-même. Bien se rappeler qu’on ne passe pas à la télé pour réellement faire avancer un débat, mais avant tout pour offrir une sorte de spectacle aux téléspectateurs afin de les retenir entre deux pages de publicités. Le but pour les invités est donc de « jouer leur rôle » du mieux possible, et accepter de servir avant tout une entreprise de divertissement, donc ne pas trop se prendre au sérieux non plus.

Partagez sur vos réseaux

Conférenciers, coachs, formateurs : le monde est a portée de main !

Travailler à l’étranger est un rêve pour de nombreuses personnes, surtout pour ceux qui cherchent à élargir leur horizon et à acquérir de nouvelles expériences professionnelles. Pour les conférenciers, les coachs et les formateurs, cette opportunité est encore plus excitante, car elle leur permet de partager leurs connaissances et leur expertise avec des publics internationaux. Mais comment trouver des opportunités de travail à l’étranger ? Dans cet article, nous allons explorer les différentes options qui s’offrent à vous en tant que conférenciers, coachs et formateurs, et vous donner des conseils pratiques pour maximiser vos chances de trouver un travail à l’étranger.

1. Trouver des emplois à l’étranger en ligne

Internet reste une ressource inestimable pour trouver des opportunités professionnelles à l’étranger, même en temps que conférencier. La logique des coachs et formateurs ou conférenciers est souvent de tout miser sur leur propre marketing, faire leur publicité en espérant que les clients viennent les trouver et les solliciter. Mais il existe de nombreux sites web qui publient des offres d’emploi pour les conférenciers, les coachs et les formateurs à l’étranger. Ces sites web vous permettent de rechercher des emplois en fonction de votre emplacement préféré et de votre domaine d’expertise. Ce qui ne vous empêche pas de développer en parallèle votre propre site web et plus globalement votre marque personnelle !

Lors de votre recherche d’emploi en ligne, il est important de vous assurer que le site web est fiable et qu’il publie des offres d’emploi authentiques. Vous pouvez également vous inscrire à des alertes d’emploi pour recevoir des mises à jour par courriel sur les offres d’emploi correspondant à vos critères.

2. Faire appel à une agence de recrutement

Les agences de recrutement sont une autre option pour trouver des emplois à l’étranger. Les agences de recrutement ont des relations établies avec des entreprises et des organisations à l’étranger, ce qui leur permet de trouver des opportunités d’emploi pour les conférenciers, les coachs et les formateurs.

Lorsque vous travaillez avec une agence de recrutement, il est important de leur fournir des informations détaillées sur votre expérience professionnelle et vos compétences, le profil de vos précédents clients, etc. Cela les aidera à trouver des offres d’emploi qui correspondent à vos qualifications. Mais cela implique aussi que vous ayez déjà des références et une certaine expérience, pour ne pas dire une solide expérience, avant d’essayer de vous lancer à l’étranger.

Vous pouvez également discuter avec l’agence de recrutement de vos préférences de travail, comme le pays ou la région où vous souhaitez travailler.

3. Utiliser les réseaux professionnels

C’est peut-être le meilleur moyen de trouver rapidement des contacts et des partenaires où que vous soyez dans le monde ! En plus des sites d’annonces et des agences locales de recrutement, les réseaux professionnels sont également une excellente ressource pour trouver des emplois à l’étranger. Les conférenciers, les coachs et les formateurs peuvent rejoindre des groupes professionnels en ligne pour établir des contacts avec d’autres professionnels de leur domaine et découvrir des opportunités d’emploi.

Il est également important de se connecter avec des professionnels de votre domaine sur les réseaux sociaux professionnels comme LinkedIn. Ces connexions peuvent vous aider à trouver des emplois à l’étranger et vous donner des conseils sur la façon de maximiser vos chances de trouver un emploi.

4. Participer à des conférences et des événements internationaux

Les conférences et les événements internationaux sont une excellente occasion de rencontrer des personnes de votre domaine et de découvrir des opportunités d’emploi à l’étranger. Les conférences internationales attirent des professionnels du monde entier, ce qui en fait un excellent moyen de réseauter et d’apprendre sur de nouvelles opportunités.

Une fois que vous avez trouvé des offres d’emploi à l’étranger, il est important de préparer votre candidature de manière professionnelle. Assurez-vous que votre CV et votre lettre de motivation sont adaptés aux exigences de l’emploi et à la culture du pays où vous postulez. Il est également important de bien comprendre les normes et les coutumes du pays où vous postulez pour maximiser vos chances de réussite.

En outre, il est important de se préparer à vivre à l’étranger en faisant des recherches sur la culture, la langue et le mode de vie du pays. Cela peut vous aider à vous adapter à votre nouvel environnement plus facilement.

5. Se préparer à une rude concurrence !

De nos jours, de plus en plus de personnes cherchent à élargir leurs horizons en travaillant à l’étranger. Cela peut être une expérience enrichissante, mais pour les conférenciers, coachs et formateurs, cela peut également représenter une opportunité de développement professionnel. Mais si cette perspective est attractive, elle attire en conséquence beaucoup de monde, donc une large concurrence. La concurrence est d’autant plus rude que ce sont souvent les meilleurs profils qui se projettent dans une carrière à l’international ! Voici donc quelques clés supplémentaires pour réussir à travailler en tant que conférencier, coach ou formateur à l’étranger :

Comment se préparer pour l’étranger

Pour réussir à travailler à l’étranger en tant que conférencier, coach ou formateur, il est important de se préparer. Voici quelques conseils pour vous aider :

  1. Développez votre réseau professionnel. Il est important de se connecter avec d’autres professionnels de votre secteur dans le pays où vous souhaitez travailler. Vous pouvez le faire en participant à des événements professionnels, en rejoignant des groupes en ligne ou en établissant des contacts avec des entreprises locales.
  1. Améliorez vos compétences linguistiques. Si vous souhaitez travailler dans un pays où la langue est différente de la vôtre, il est important de développer vos compétences linguistiques. Vous pouvez le faire en prenant des cours de langue ou en pratiquant avec des locuteurs natifs.
  2. Étudiez le marché du travail local. Il est important de connaître les tendances du marché du travail dans le pays où vous souhaitez travailler. Cela vous permettra de mieux comprendre les opportunités disponibles et de vous préparer à répondre aux besoins des entreprises locales.
  3. Soyez flexible. Travailler à l’étranger peut impliquer des ajustements importants, il est donc important d’être ouvert d’esprit et flexible. Cela peut inclure des ajustements tels que la façon dont vous travaillez ou la façon dont vous vous connectez avec les clients.

Comment trouver des clients à l’étranger

Pour trouver des clients à l’étranger, il est important de développer une stratégie de marketing efficace. Voici quelques conseils pour vous aider :

  1. Utilisez les réseaux sociaux. Les réseaux sociaux peuvent être un outil puissant pour atteindre un public plus large. Il est important de développer une présence en ligne solide et de publier régulièrement du contenu qui montre vos compétences et votre expertise.
  2. Créez un site web professionnel. Avoir un site web professionnel peut vous aider à vous faire connaître auprès des clients potentiels. Il est important de veiller à ce que votre site web soit bien conçu et facile à naviguer.
  3. Participez à des événements professionnels. Les événements professionnels peuvent être un excellent moyen de rencontrer des clients potentiels et de développer votre réseau. Il est important de participer à des événements pertinents pour votre secteur d’activité.

Comment réussir à travailler à l’étranger

Pour réussir à travailler à l’étranger en tant que conférencier, coach ou formateur, il est important de suivre ces conseils :

  1. Soyez professionnel. Il est important de se comporter de manière professionnelle à tout moment. Cela inclut la façon dont vous vous habillez, la façon dont vous vous présentez et la façon dont vous communiquez avec les clients.
  2. Soyez à l’écoute de vos clients. Il est important de comprendre les besoins de vos clients et de leur fournir un service

En conclusion : les avantages et les défis d’un travail à l’étranger

Il y a de nombreux avantages à travailler à l’étranger en tant que conférencier, coach ou formateur. Tout d’abord, cela vous permet de découvrir de nouvelles cultures et de nouveaux marchés. Cela peut également vous aider à développer votre carrière en vous permettant de travailler avec des entreprises et des clients de différents pays.

De plus, travailler à l’étranger peut également vous permettre de développer vos compétences linguistiques. Cela peut être particulièrement utile pour les conférenciers, coachs et formateurs qui peuvent ainsi s’adresser à un public plus large.

Toutefois, travailler à l’étranger peut également présenter des défis. Par exemple, il peut être difficile de trouver des clients potentiels dans un pays étranger. Il peut également être difficile de s’adapter à une nouvelle culture et à une nouvelle façon de travailler.

Il est donc important de bien se préparer avant de se lancer dans un travail à l’étranger. Il est également important de connaître les différences culturelles et les lois du pays dans lequel vous souhaitez travailler.

C’est un incroyable défi, mais croyez-moi, le jeu en vaut la chandelle !

Partagez sur vos réseaux

Relooking au masculin : 5 critères pour votre garde-robe professionnelle

Messieurs, pourquoi devriez-vous accorder un soin tout particulier à votre garde-robe professionnelle ? Tout simplement parce que votre image est aussi celle de l’entreprise : vous êtes le miroir de la société qui vous emploie. C’est pourquoi vous devez faire preuve, pour ainsi dire, d’éloquence vestimentaire

En ce qui concerne les managers et les dirigeants, la prudence s’impose concernant la couleur des vêtements. Plus vous montez dans l’échelle sociale, plus vous gravissez les échelons de la hiérarchie de votre entreprise, et plus votre image sera exposée… Vous devrez alors être d’autant plus prudent sur le choix des couleurs que vous portez, afin d’éviter les excentricités et tout ce qui pourrait être source de commentaires critiques et désobligeants… Voici donc 5 conseils utiles pour choisir les différentes pièces qui constitueront votre garde-robe professionnelle :

1 – Les épaules de vos vestes : ni trop larges, ni trop étroites. Les épaulettes ne doivent pas apparaitre de façon inesthétique. Quand vous essayez une veste, n’oubliez pas de vous regarder de dos. Mettez vos mains dans vos poches afin de vérifier si la tenue de votre veste reste impeccable.

2 – Les manches : vous ne devez surtout pas vous sentir à l’étroit lorsque vous bougez vos bras. Vos bras doivent pouvoir prendre toutes les positions sans que vous vous sentiez inconfortable.

3 – La taille : évitez les vestes trop cintrées. Ayez toujours la bonne longueur de veste afin de ne pas paraitre « tassé ». Les fentes de côté ou centrales sont idéales.

4 – Les pantalons : essayez toujours votre pantalon avec vos chaussures, car la hauteur du talon conditionnera l’ourlet. Placez bien la taille à sa place et de façon confortable. Vérifiez l’entrejambe (ni trop serré, ni trop lâche). Gardez en tête qu’une légère cassure sur la chaussure est harmonieuse.

5 – le col : il doit épouser votre nuque, laissant apparaitre le haut de votre chemise. Attention aux cols trop larges, trop lâches, ou trop hauts, qui font disparaitre la chemise…

La garde-robe professionnelle idéale :

Pour constituer votre garde-robe professionnelle, voici quelques-uns des vêtements indispensables à vous procurer :

  • Un blazer marine ou camel (droit ou croisé)
  • Trois pantalons : gris clair, anthracite, bleu marine (ou marron ou vert foncé, selon la couleur qui vous correspond)
  • Un costume bleu foncé (croisé de préférence)
  • Un costume gris fonce ou marron fondu
  • Un costume beige ou mastic (pour l’été)
  • 4 chemises unies à manches longues
  • 3 chemises à raies fines ou moyennes
  • 3 chemises à manches courtes unies ou rayées
  • Un cardigan boutonné
  • Des pulls
  • Un gilet sans manche (à ne porter qu’avec une veste !
  • 2 paires de chaussures lacées (noires et marrons)
  • Une paire de mocassin classique

Le soin à apporter dans le choix de chaque pièce d’une garde-robe est décisif pour toute personne souhaitant s’inscrire dans une approche véritablement professionnelle de son activité. On a coutume de dire que « l’habit ne fait pas le moine »… Certes, mais « l’habit permet d’entrer dans le monastère » ! C’est pourquoi le choix des vêtements et la façon de s’habiller ne sont jamais à négliger. Surtout dans la perspective d’une évolution de carrière. De la même manière que l’on cherche à mettre en forme son CV pour le rendre le plus attractif possible pour les recruteurs, s’habiller avec soin revient à rendre son image plus attractive. Les cadres, managers et dirigeants sont directement concernés.

Mais c’est aussi le cas de tous les professionnels dont l’activité les amène à se présenter régulièrement face à un public. Tous les métiers de la représentation (politique, syndicat, associatif…) mais également tous les métiers de la relation (tels que les coachs et les formateurs professionnels). C’est d’autant plus important si vous êtes un coach ou formateur spécialisé sur des thématiques telles que le leadership et l’efficacité professionnelle, qui intéresseront justement les managers et dirigeants, futurs ou actuels.

Pensons aussi aux conférenciers, qui exposent de facto leur image à un vaste public. Surtout aux conférenciers qui souhaitent se professionnaliser pour faire de leurs conférences une activité à part entière et surtout en faire une véritable source de revenus complémentaire voire principale. Leur « look » et donc plus largement la composition de leur garde-robe est un aspect décisif de leur succès, car directement lié à leur personal branding.

Partagez sur vos réseaux

Coachs, formateurs, conférenciers : faites du monde votre terrain de jeu !

Le monde d’aujourd’hui offre d’innombrables opportunités pour les coachs, les formateurs et les conférenciers qui souhaitent partager leurs connaissances et leur expertise. Dans cet article, nous allons explorer les meilleures pratiques et les stratégies pour réussir dans ce domaine passionnant.

Pour devenir un professionnel reconnu :

1. Développez vos compétences et votre expertise

Pour exceller en tant que coach, formateur ou conférencier, il est essentiel de développer constamment vos compétences et votre expertise. Prenez le temps de suivre des formations, participez à des conférences, lisez des livres et des articles sur les sujets qui vous intéressent. N’hésitez pas à investir dans votre développement personnel et professionnel.

2. Construisez votre marque personnelle

Votre marque personnelle est votre image de marque, celle qui vous permet de vous démarquer et d’attirer l’attention des clients potentiels. Travaillez sur votre présence en ligne, créez un site web professionnel, soignez votre présence sur les réseaux sociaux et publiez régulièrement du contenu de qualité pour vous positionner en tant qu’expert dans votre domaine.

3. Élargissez votre réseau professionnel

Un réseau professionnel solide est crucial pour le succès des coachs, des formateurs et des conférenciers. Participez à des événements, des salons, des conférences et des ateliers pour rencontrer d’autres professionnels et échanger des idées. N’oubliez pas de suivre les contacts que vous faites et de maintenir des relations durables avec eux.

4. Proposez des offres et des services adaptés à votre audience

Pour réussir en tant que coach, formateur ou conférencier, il est important de proposer des offres et des services qui répondent aux besoins et aux attentes de votre audience. Écoutez attentivement les retours de vos clients et adaptez votre offre en conséquence. Vous pourrez ainsi proposer des solutions sur mesure qui répondent précisément à leurs besoins.

5. Exploitez les nouvelles technologies pour toucher un public plus large

Les technologies numériques offrent d’énormes opportunités pour les coachs, les formateurs et les conférenciers. Profitez des outils en ligne pour proposer des webinaires, des formations à distance, des podcasts et des vidéos. Cela vous permettra de toucher un public plus large et d’élargir votre terrain de jeu à l’échelle internationale.

6. Apprenez à gérer votre temps et à prioriser vos tâches

La gestion du temps est un élément clé pour réussir dans votre activité. Apprenez à hiérarchiser vos tâches et à organiser votre emploi du temps de manière optimale. Cela vous permettra de vous concentrer sur les actions les plus importantes et d’atteindre vos objectifs plus rapidement.

7. Soyez attentif aux tendances et aux évolutions du marché

Le marché des coachs, des formateurs et des conférenciers est en constante évolution. Restez informé des dernières tendances et des innovations dans votre domaine pour vous adapter rapidement et rester compétitif.

8. Cultivez votre passion et votre motivation

La passion et la motivation sont essentielles pour réussir en tant que coach, formateur ou conférencier. Nourrissez votre passion pour votre domaine d’expertise et restez motivé pour continuer à apprendre et à évoluer. Cela vous aidera à maintenir un haut niveau d’énergie et à inspirer votre audience.

9. Maîtrisez l’art de la communication et de la présentation

Les compétences en communication et en présentation sont cruciales pour les coachs, les formateurs et les conférenciers. Apprenez à transmettre efficacement vos messages, à capter l’attention de votre audience et à adapter votre discours en fonction des besoins et des préférences de vos interlocuteurs.

10. Adoptez une approche orientée résultats

Pour être un coach, formateur ou conférencier performant, il est important d’adopter une approche orientée résultats. Mettez en place des objectifs clairs et mesurables pour vous-même et vos clients, et suivez régulièrement les progrès réalisés. Cela vous permettra de démontrer la valeur ajoutée de vos services et de construire une réputation solide.

11. Sachez vous adapter aux différentes cultures et aux différents contextes

Le monde est un terrain de jeu diversifié et complexe, avec des cultures et des contextes variés. Pour réussir en tant que coach, formateur ou conférencier, il est essentiel de savoir s’adapter aux différences culturelles et de comprendre les spécificités de chaque contexte. Cela vous permettra de créer des relations durables avec vos clients et de répondre à leurs besoins de manière personnalisée.

12. Mesurez et analysez les retours de votre audience

Pour améliorer continuellement votre performance en tant que coach, formateur ou conférencier, il est important de mesurer et d’analyser les retours de votre audience. Utilisez des outils d’évaluation et de suivi pour recueillir des informations précieuses sur l’efficacité de vos interventions et pour identifier les domaines dans lesquels vous pouvez progresser.

En suivant ces conseils et en mettant en œuvre les meilleures pratiques, les coachs, les formateurs et les conférenciers peuvent transformer le monde en un véritable terrain de jeu. Grâce à l’expertise, la passion et la persévérance, il est possible de bâtir une carrière florissante et de contribuer positivement au développement de nombreuses personnes à travers le monde.

Mais il est aussi possible d’envisager de passer à un autre niveau, de franchir les frontières locales ou nationales pour développer son activité à l’étranger, dans de nouveaux pays, au sein d’une nouvelle culture. La perspective d’une vie professionnelle à l’international est exaltante, c’est la promesse d’une vie riches d’aventures et de rencontres, de découvertes surprenantes et de défis inattendus en continu !

Pour cela il faudra vous concentrer sur d’autres types de connaissances et compétences en plus de toutes celles requises pour être bon dans votre métier. Se développer à l’international est presque un deuxième métier ! Il faut des connaissances particulières, des compétences spécifiques, une excellente maîtrise technique mais aussi un savoir-être unique, une façon de s’adapter, de comprendre rapidement sone environnement, d’être en alerte constamment et surtout de toujours garder l’esprit ouvert…

Pour celles et ceux qui veulent conquérir le monde :

13. Apprenez les langues étrangères

Maîtriser plusieurs langues étrangères vous permettra d’accéder à un public plus large et de faciliter la communication avec des clients internationaux. Investissez du temps dans l’apprentissage de nouvelles langues pour étendre votre portée et vous ouvrir à de nouvelles opportunités.

14. Collaborez avec des partenaires locaux

Travailler avec des partenaires locaux peut vous aider à vous implanter sur de nouveaux marchés et à mieux comprendre les spécificités culturelles de chaque pays. Cherchez des partenariats avec des entreprises, des institutions ou des professionnels qui partagent vos valeurs et peuvent vous soutenir dans votre expansion internationale.

15. Participez à des événements internationaux

Assister à des événements internationaux tels que des conférences, des salons ou des ateliers vous permettra de rencontrer des professionnels du monde entier et d’élargir votre réseau. C’est également une excellente occasion de promouvoir vos services et d’apprendre des meilleures pratiques dans votre domaine.

16. Adaptez vos offres aux spécificités de chaque marché

Chaque marché a ses propres particularités, ses besoins et ses attentes. Prenez le temps d’étudier les spécificités de chaque marché sur lequel vous souhaitez vous implanter et adaptez vos offres en conséquence pour répondre aux attentes des clients locaux.

17. Créez du contenu multilingue

Pour toucher un public international, il est important de proposer du contenu dans différentes langues. Traduisez votre site web, vos articles de blog, vos vidéos et vos supports de formation pour rendre votre contenu accessible à un public plus large et attirer des clients étrangers.

18. Utilisez les outils de marketing digital

Le marketing digital est un levier puissant pour promouvoir votre activité à l’international. Utilisez les réseaux sociaux, le référencement naturel (SEO), le marketing par e-mail et la publicité en ligne pour toucher un public étranger et générer des leads qualifiés.

19. Proposez des formations et des certifications internationales

Les certifications et les formations reconnues internationalement ont une grande valeur aux yeux des clients étrangers. En proposant des programmes de formation et des certifications adaptés aux normes internationales, vous renforcerez votre crédibilité et attirerez des clients du monde entier.

20. Offrez un support client multilingue

Un support client multilingue est essentiel pour répondre aux besoins de vos clients internationaux. Assurez-vous de disposer d’une équipe capable de communiquer dans différentes langues pour offrir un service client de qualité et gérer efficacement les demandes de renseignements provenant de l’étranger.

21. Étudiez les réglementations locales

Les réglementations varient d’un pays à l’autre et peuvent affecter votre activité de coaching, de formation ou de conférencier. Informez-vous sur les lois et les régulations locales pour vous assurer que vous êtes en conformité et éviter d’éventuels problèmes juridiques.

22. Mettez en place une logistique adaptée

Si vous proposez des formations ou des ateliers à l’étranger, il est important de mettre en place une logistique adaptée pour faciliter l’organisation et la gestion de vos événements. Travaillez avec des prestataires locaux pour la location de salles, l’équipement audiovisuel, le transport et l’hébergement afin de garantir le bon déroulement de vos interventions.

23. Utilisez des plateformes d’e-learning internationales

Les plateformes d’e-learning internationales vous permettent de proposer vos formations et vos programmes de coaching à un public mondial. En vous associant à des plateformes reconnues, vous bénéficierez d’une visibilité accrue et pourrez toucher un public plus large, sans barrières géographiques.

24. Cultivez une mentalité globale

Pour réussir en tant que coach, formateur ou conférencier à l’international, il est crucial d’adopter une mentalité globale. Soyez ouvert aux différentes cultures, aux perspectives et aux approches, et apprenez à apprécier et à tirer parti de la diversité que vous rencontrerez dans votre activité internationale.

En suivant ces conseils et en adoptant une approche proactive, les coachs, formateurs et conférenciers peuvent étendre leur activité à l’étranger et tirer parti des opportunités offertes par le marché mondial. L’expansion internationale peut être un défi passionnant et enrichissant, qui vous permettra de développer votre activité, d’accroître votre notoriété et de contribuer au développement de personnes et d’organisations du monde entier.

Partagez sur vos réseaux

S’ouvrir de nouveaux horizons en tant que formateur ou conférencier

Dans le monde professionnel, il est essentiel de toujours chercher à s’améliorer et à se développer. Pour cela, il est nécessaire de s’ouvrir de nouveaux horizons en tant que formateur ou conférencier. Les métiers de la formation et de la conférence offrent de nombreuses opportunités pour enrichir sa carrière et partager ses connaissances avec un public varié.

Etape 1 : Professionnaliser son activité

Avant de chercher à vous développer à l’international, pensez « local » et national : essayez de devenir un formateur ou un conférencier professionnel reconnu à votre niveau. C’est la base à partir de laquelle vous développer à des niveaux toujours plus hauts. Si cette base n’est pas solide, tôt ou tard tout ce que vous tentez de construire risque de s’écrouler violemment… Donc avant de voir comment devenir un formateur international ou un conférencier de stature mondial, rappelons les fondamentaux de ces métiers si particuliers :

Les compétences clés pour réussir en tant que formateur ou conférencier

  • La maîtrise du sujet: Que vous soyez formateur ou conférencier, la maîtrise de votre sujet est essentielle pour inspirer confiance et transmettre efficacement vos connaissances. Continuez à vous former et à vous informer pour rester à jour sur les dernières tendances et avancées dans votre domaine.
  • La pédagogie: Pour être un bon formateur, il est crucial de savoir adapter sa méthode d’enseignement en fonction de son public et de ses besoins. Utilisez des techniques pédagogiques variées pour rendre votre formation interactive et stimulante.
  • L’éloquence et la communication: Un conférencier doit être capable de captiver son auditoire et de communiquer clairement ses idées. Travaillez sur votre élocution, votre gestuelle et votre manière de structurer votre discours pour être un orateur efficace.

Les avantages de la profession de formateur ou conférencier

  1. L’autonomie: En tant que formateur ou conférencier indépendant, vous avez la possibilité de gérer votre emploi du temps et de choisir les missions qui vous intéressent le plus. Cette autonomie vous permet de concilier vie professionnelle et vie personnelle selon vos besoins.
  2. Le réseau professionnel: Évoluer dans le domaine de la formation ou de la conférence vous donne l’opportunité de rencontrer des professionnels de différents secteurs et de nouer des relations enrichissantes. Cela peut également vous ouvrir de nouvelles perspectives de carrière.
  3. La satisfaction personnelle: Contribuer au développement des compétences et des connaissances d’autrui est une source de satisfaction personnelle pour de nombreux formateurs et conférenciers. C’est l’occasion de partager votre passion et de vous sentir utile.

Comment se lancer en tant que formateur ou conférencier

  • Se former: Il est important de se former aux techniques de formation et de prise de parole en public pour devenir un formateur ou un conférencier efficace. De nombreux organismes proposent des formations professionnelles adaptées à vos besoins.
  • Se spécialiser: Choisissez un domaine de compétence dans lequel vous excellez et spécialisez-vous pour vous démarquer de la concurrence. Une spécialisation vous permettra de proposer des formations et des conférences de qualité et d’attirer un public spécifique.
  • Promouvoir ses services: Pour vous faire connaître en tant que formateur ou conférencier, il est essentiel de mettre en place une stratégie de communication efficace. Utilisez les réseaux sociaux, les plateformes spécialisées et les événements professionnels pour promouvoir vos services et nouer des partenariats.

Étape 2 : étendre son activité à l’international

Se développer à l’international est une excellente façon d’élargir son audience et d’accroître sa notoriété en tant que conférencier ou formateur. Cela permet de diversifier ses sources de revenus, d’échanger avec des professionnels de différents horizons et de s’enrichir sur le plan culturel. Voici quelques conseils pour développer votre activité à l’étranger.

Les étapes clés pour une expansion internationale

  1. Évaluer ses compétences linguistiques: Pour intervenir en tant que conférencier ou formateur à l’étranger, il est essentiel de maîtriser la langue du pays cible ou de travailler avec un interprète. Pensez à vous former en langues étrangères et à adapter vos supports de communication en conséquence.
  2. Se renseigner sur les réglementations locales: Chaque pays a ses propres règles en matière de formation et de conférences. Renseignez-vous sur les exigences légales, les certifications requises et les modalités d’obtention de visas pour exercer votre activité à l’étranger.
  3. Adapter son offre: Adaptez vos formations et conférences aux spécificités culturelles et professionnelles du pays cible. Prenez en compte les besoins locaux, les compétences recherchées et les attentes du public pour proposer une offre pertinente et attractive.
  4. Développer un réseau international: Pour réussir à l’étranger, il est crucial de se constituer un réseau professionnel solide. Participez à des événements internationaux, rejoignez des associations professionnelles et utilisez les réseaux sociaux pour nouer des contacts et échanger avec des acteurs clés du secteur.

Quels pays privilégier pour se développer à l’international ?

Le choix du pays dans lequel étendre son activité dépend de nombreux facteurs, tels que la langue, la culture, les opportunités professionnelles et la demande en formation ou conférences. Voici quelques pays qui offrent de bonnes perspectives pour les conférenciers et formateurs :

  • Les pays anglophones: Les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande sont des marchés porteurs pour les conférenciers et formateurs. La maîtrise de l’anglais est un atout majeur pour travailler dans ces pays.
  • Les pays européens: La France, l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie sont des pays avec une forte demande en formations et conférences, notamment dans les domaines de la technologie, de l’innovation et du développement durable. La maîtrise des langues locales est un avantage pour se démarquer.
  • Les pays émergents: Les pays en développement, tels que le Brésil, l’Inde, la Chine ou l’Afrique du Sud, offrent des opportunités intéressantes pour les conférenciers et formateurs. Les besoins en compétences et en formations y sont importants, et la concurrence peut y être moins intense qu’ailleurs.

En somme, se développer à l’international en tant que conférencier ou formateur nécessite une bonne préparation et une connaissance approfondie des marchés cibles. Il est important de bien choisir les pays dans lesquels s’implanter en fonction de ses compétences, de ses objectifs et des opportunités offertes.

Ne pas sous-estimer les difficultés

La perspective de se développer à l’international est très excitante et motvante, et cela peut conduire à un excès d’optimisme… Les déceptions et désillusions seront d’autant plus dévastatrices. Car partir à la conquête du monde n’est pas donné à tout le monde, surtout pas aux personnes mal formées et mal préparées ! Attention à ne pas sous-estimer les difficultés pour développer son activité dans certains pays, notamment :

  1. Les barrières linguistiques: Dans certains pays, la maîtrise de la langue locale est indispensable pour réussir en tant que conférencier ou formateur. Les barrières linguistiques peuvent rendre l’adaptation de votre offre plus complexe et limiter vos opportunités professionnelles.
  2. Les différences culturelles: Les spécificités culturelles de chaque pays peuvent influencer les attentes du public et les pratiques professionnelles. Il est important de bien connaître la culture locale pour adapter votre offre et éviter les malentendus.
  3. La concurrence: Dans certains pays, la concurrence dans le secteur de la formation et des conférences peut être particulièrement intense. Il est alors nécessaire de se démarquer en proposant des formations et conférences innovantes et de qualité, et en développant un réseau professionnel solide.
  4. Les contraintes réglementaires: Les règles en matière de formation et de conférences peuvent varier d’un pays à l’autre. Les procédures pour obtenir les certifications ou les visas requis peuvent être complexes et coûteuses, ce qui peut freiner votre développement à l’étranger.

Soyez stratégique : visez les pays les plus faciles d’accès

Vous pouvez envisagez une stratégie de développement à l’international en ciblant d’abord les pays les plus faciles d’accès pour vous. Les pays les plus accessibles pour les conférenciers et formateurs sont ceux qui présentent des opportunités professionnelles intéressantes, une demande en formation et conférences, et des contraintes réglementaires moins strictes. Parmi ces pays, on retrouve :

  1. Les pays anglophones: Comme mentionné précédemment, les pays anglophones tels que les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande offrent un environnement favorable pour les conférenciers et formateurs. La maîtrise de l’anglais facilite grandement l’accès à ces marchés, et les opportunités professionnelles y sont nombreuses.
  2. Les pays européens voisins: Si vous êtes basé en Europe, il peut être plus facile d’étendre votre activité dans les pays voisins, en raison de la proximité géographique et des accords de libre circulation au sein de l’espace Schengen. Les pays tels que la Belgique, les Pays-Bas, le Luxembourg ou la Suisse offrent des opportunités intéressantes pour les conférenciers et formateurs.
  3. Les pays avec des accords de coopération et d’échange: Certains pays ont des accords de coopération et d’échange avec votre pays d’origine, ce qui facilite l’accès à leur marché et simplifie les démarches administratives. Renseignez-vous sur les accords en vigueur entre votre pays et les pays cibles pour identifier les opportunités qui s’offrent à vous.

En conclusion, pour réussir à développer son activité de conférencier ou formateur à l’international, il est essentiel de bien choisir les pays dans lesquels s’implanter, en tenant compte des opportunités professionnelles, des barrières linguistiques et culturelles, ainsi que des contraintes réglementaires. La clé du succès réside dans une préparation minutieuse, une adaptation constante de votre offre et un travail de réseautage efficace.

Surmonter les difficultés et réussir à l’international

Pour faire face aux défis liés au développement de votre activité de conférencier ou formateur à l’international, voici quelques stratégies à adopter :

  1. Se former en langues étrangères: La maîtrise des langues est cruciale pour réussir à l’étranger. Investissez du temps et des ressources pour apprendre la langue du pays cible, ou travaillez avec des interprètes professionnels pour faciliter la communication avec votre public.
  2. S’adapter aux spécificités culturelles: Informez-vous sur la culture locale et adaptez votre offre en conséquence. Tenez compte des coutumes, des valeurs et des attentes du public pour proposer des formations et conférences pertinentes et respectueuses des spécificités culturelles.
  3. Collaborer avec des partenaires locaux: Pour faciliter votre implantation à l’étranger, il peut être judicieux de collaborer avec des partenaires locaux, tels que des organismes de formation, des universités ou des entreprises. Ces partenariats vous permettront de bénéficier de leur expertise et de leur réseau, et de mieux comprendre les besoins du marché local.
  4. Se tenir informé des réglementations et des tendances: Restez à jour sur les exigences légales et les tendances du secteur dans le pays cible. Cette veille vous permettra d’anticiper les évolutions du marché et d’adapter votre offre en conséquence.
  5. Se démarquer par la qualité et l’innovation: Pour réussir à l’étranger, il est essentiel de proposer des formations et conférences de qualité, qui répondent aux besoins du public et se démarquent de la concurrence. Investissez dans la recherche et le développement pour proposer des solutions innovantes et adaptées aux spécificités du marché.

En somme, développer son activité de conférencier ou formateur à l’international demande de la préparation, de la persévérance et de l’adaptabilité. En adoptant les stratégies mentionnées et en choisissant judicieusement les pays dans lesquels s’implanter, vous augmenterez vos chances de réussir et d’élargir votre audience à l’échelle internationale.

Bonus : 6 astuces pour se lancer à l’étranger

Lancer son activité de conférencier dans un nouveau pays peut représenter un défi de taille. Voici quelques astuces auxquelles on ne pense pas toujours immédiatement pour faciliter cette étape cruciale de votre développement professionnel.

  1. Utiliser des plateformes en ligne pour organiser des événements-tests : Avant de vous lancer pleinement dans un nouveau pays, testez votre offre et votre discours en organisant des événements en ligne à destination du public local. Utilisez des plateformes de streaming ou de webinaires pour évaluer l’intérêt du public et recueillir des retours d’expérience.
  2. Participer à des événements culturels locaux : Pour mieux comprendre la culture et les attentes du public dans le pays cible, assistez à des événements culturels locaux, tels que des expositions, des spectacles ou des conférences. Cela vous permettra d’établir des contacts, d’échanger avec les habitants et de vous imprégner de la culture locale.
  3. Collaborer avec des influenceurs locaux : Les influenceurs locaux peuvent être des alliés précieux pour promouvoir votre activité de conférencier dans un nouveau pays. Identifiez des influenceurs pertinents dans votre domaine d’expertise et proposez-leur des collaborations, comme des interviews, des articles invités ou des vidéos conjointes.
  4. S’inscrire à des concours et des prix internationaux : Pour gagner en visibilité et en notoriété, participez à des concours et des prix internationaux dans votre secteur d’activité. Une nomination ou une récompense peut constituer un atout majeur pour attirer l’attention du public et des professionnels du pays cible.
  5. Utiliser la gamification pour impliquer le public : Surprenez votre public en utilisant des techniques de gamification pour rendre vos conférences et formations plus interactives et attrayantes. Intégrez des éléments ludiques, tels que des quiz, des sondages en direct ou des jeux de rôle pour capter l’attention et faciliter l’apprentissage.
  6. Créer des partenariats avec des écoles et des universités locales : Les établissements d’enseignement supérieur sont souvent à la recherche de conférenciers et de formateurs pour enrichir leur programme académique. Proposez des interventions sur des sujets pertinents pour les étudiants et les enseignants, et profitez de cette expérience pour vous faire connaître auprès du public local.

Ces astuces peuvent vous sembler surprenantes et innovantes, en tout cas pensez-y car elles vous aideront à faciliter le lancement de votre activité de conférencier dans un nouveau pays, en vous permettant de mieux comprendre le marché local, de gagner en visibilité et de créer des liens avec le public et les professionnels du secteur.

Partagez sur vos réseaux

Vivre à l’international : (ré)apprendre à dormir avec des horaires décalées

Quand on cherche à développer son activité à l’international et que l’on passe de plus en plus fréquemment d’un pays à l’autre, d’un continent à l’autre, pour des durées toujours plus courte, le jetlag et la fatigue se font vite sentir. Cela peut d’autant plus vous être préjudiciable selon que votre activité relève du coaching ou de la formation. Vous vous devez en effet de cultiver votre charisme et votre leadership afin d’être performant en tant que coach, or il y a un lien inversement proportionnel entre le charisme et le manque de sommeil.

Lire aussi : Technique de leadership : mieux maîtriser son sommeil pour décupler son influence et son pouvoir d’action

Beaucoup d’autres métiers, certains très localisés sont également concernées par ces décalages horaires : activité de maintenance, militaires, sécurité et sûreté… Ces métiers imposent des horaires décalées qui entrainent des perturbations du sommeil. Cela a des conséquence non négligeables sur l’organisme, voyons donc comment gérer au mieux ces perturbations à travers 3 chiffres qui révèlent tous les méfaits du manque de sommeil :

Lire aussi : 6 choses à connaître pour mieux maîtriser son sommeil

Attention à la 26e heure…

« 26 » : le manque de sommeil entraine une dégradation des performances physiques et mentale dès la 26e heure de privation de sommeil. Lorsqu’on est debout depuis 8h, si les circonstances ne permettent pas de se reposer pendant la nuit qui arrive, il faut impérativement se ménager la possibilité de faire au moins une petite sieste à partir de 9 ou 10h le lendemain matin ! Pour les grands voyageurs, il est impératif de maitriser des techniques de récupération rapide et notamment le Power Nap.

Attention aux nuits de moins de 6 heures

« 28% » : un chiffre qui a de quoi inquiéter ! En effet. c’est le pourcentage d’augmentation du risque de diabète de type 2 quand on dort moins de 6 heures par nuit. Bref, l’idéal est de se ménager des nuits de 8 heures minimum chaque fois que possible. Si vous arrivez d’un vol long-courrier et que vous n’avez pas pu vous reposer correctement dans l’avion, allez vous coucher directement, ne cherchez pas à sortir à tout prix.

Lire aussi : Les 7 clefs d’un bon sommeil : comment mieux dormir, mieux récupérer, mieux se reposer pour mieux profiter !

Vous avez 1 chance sur 3 d’être concernés…

« 1/3 » : en France, 1 personne sur 3 souffre d’un trouble du sommeil. Oui, une personne sur trois ! Essayez donc d’être l’une des deux autres en suivant nos recommandations. Le sommeil est rythmé par une horloge biologique interne qui peut se dérégler, notamment en cas de travail de nuit ou de travail posté, ou encore de longs voyages. Le décalage horaire n’altère pas seulement la durée de la nuit ou la longueur du temps d’éveil, mais également les temps de repos, qui se voient considérablement raccourcis

Lire aussi : Fatigue V.S. Leadership : attention à la « dette de sommeil » et aux somnolences !

Partagez sur vos réseaux

Comment développer votre éloquence en anglais (et pourquoi cela fera décoller votre activité de conférencier)

L’importance de l’éloquence en anglais…

L’éloquence en anglais est un atout majeur pour toute personne souhaitant réussir en tant que conférencier et développer son activité à l’international. Que vous soyez entrepreneur, coach ou expert dans votre domaine, maîtriser l’art de la prise de parole en public en anglais vous permettra de toucher un public plus large et d’augmenter votre crédibilité à la fois au niveau national mais aussi bien évidemment sur la scène internationale. Vous connaissez le dicton : visez la lune, au moins vous finirez dans les étoiles… De la même manière, visez le monde : au moins cela boostera votre activité au niveau national ! Dans cet article, nous vous proposons des conseils pratiques pour développer votre éloquence en anglais et ainsi booster votre activité de conférencier.

Étape 1 : Améliorez vos compétences linguistiques

Apprenez le vocabulaire spécifique à votre domaine

Pour être un conférencier éloquent en anglais, il est essentiel de maîtriser le vocabulaire spécifique de votre domaine d’expertise. Cela vous permettra de vous exprimer avec précision et d’engager efficacement votre audience. Prenez le temps de vous familiariser avec les termes techniques et les expressions courantes en anglais liés à votre sujet.

Pratiquez régulièrement l’anglais

Pour améliorer votre éloquence en anglais, la pratique régulière est indispensable. Impliquez-vous dans des conversations en anglais, participez à des débats et des discussions en ligne, et n’hésitez pas à rejoindre des clubs de conversation ou des groupes d’échange linguistique.

Étape 2 : Maîtrisez les techniques de prise de parole en public

Travaillez sur votre posture et votre gestuelle

Une bonne éloquence ne se limite pas aux mots que vous prononcez, mais englobe également votre posture et votre gestuelle. Adoptez une posture confiante et ouverte, utilisez des gestes naturels pour appuyer vos propos et maintenez un contact visuel avec votre public. Vous allez voir que certains gestes évidents pour marquer certains points lorsque vous vous exprimez en français deviennent bien moins évidents ni même faciles lorsque vous exprimez des idées similaires mais en anglais ! La langue a donc un impact sur la communication de votre corps tout entier, cet aspect n’est surtout pas à négliger.

Entraînez-vous à gérer votre stress

Le trac peut nuire à votre éloquence en anglais. Apprenez à gérer votre stress en pratiquant des techniques de relaxation, comme la respiration profonde ou la méditation. S’entraîner régulièrement à parler en public vous aidera également à gagner en confiance et à réduire votre anxiété. Autant dire que parler en public dans une autre langue que votre langue natale peut considérablement augmenter votre stress… Une préparation poussée est donc d’autant plus importante si vous devez faire une intervention en anglais.

Étape 3 : Développez votre style personnel

Trouvez votre propre voix

Chaque conférencier a un style unique qui le distingue des autres. Pour être un orateur éloquent en anglais, il est important de trouver votre propre voix et de l’affirmer. Écoutez des conférenciers anglophones que vous admirez et analysez les éléments de leur discours qui vous plaisent. Utilisez ces éléments pour créer votre propre style de prise de parole.

Racontez des histoires captivantes

Les histoires sont un excellent moyen de captiver votre public et de rendre votre discours mémorable. Utilisez des anecdotes personnelles et des exemples concrets pour illustrer vos propos et susciter l’émotion de votre audience.

Étape 4 : Préparez soigneusement vos interventions

Structurez votre discours

Un discours bien structuré est essentiel pour captiver votre audience et faciliter la compréhension de vos propos. Organisez vos idées de manière claire et logique, en introduisant votre sujet, en développant vos arguments et en concluant avec une synthèse ou une invitation à l’action.

Répétez et peaufinez votre présentation

La répétition est la clé pour développer votre éloquence en anglais. Répétez votre discours à voix haute, en prêtant attention à votre diction, votre intonation et votre rythme. Entraînez-vous devant un miroir ou filmez-vous pour analyser et améliorer votre posture et votre gestuelle.

Étape 5 : Interagissez avec votre public

Encouragez la participation de l’audience

Un conférencier éloquent en anglais sait engager son public et l’impliquer activement dans sa présentation. Posez des questions, sollicitez les opinions de votre audience et encouragez les réactions pour créer une atmosphère dynamique et interactive.

Gérez les questions et les objections

Être capable de répondre aux questions et aux objections de votre public en anglais est un élément clé de l’éloquence. Préparez-vous en anticipant les questions potentielles et en formulant des réponses claires et concises. Lorsque vous répondez aux questions, restez calme et diplomate, même si vous êtes en désaccord avec l’interlocuteur.

Conclusion : L’impact de l’éloquence en anglais sur votre activité de conférencier

En développant votre éloquence en anglais, vous augmenterez votre crédibilité et votre visibilité sur la scène internationale. Cela vous permettra d’élargir votre public, d’accroître votre influence et de booster votre activité de conférencier. En suivant les étapes et les conseils présentés dans cet article, vous serez en mesure de maîtriser l’art de la prise de parole en public en anglais et de vous démarquer en tant que conférencier de renom.

Partagez sur vos réseaux

Les quatre phases d’un discours éloquent selon Cicéron

Selon Cicéron, un bon discours s’articule en quatre grandes parties : l’exordium (introduction), la narratio (exposition des faits), la confirmatio (présentation des arguments) et la peroratio (conclusion).

Ces différentes parties font à leur tour l’objet de nouvelles divisions. La confirmatio, par exemple, se décompose en propositio (définition du point à débattre), l’argumentatio (déroulement de l’argumentation logique et développement des raisons probantes), la refutatio (où l’on réfute les arguments de l’adversaire), l’altercatio (où l’on provoque par une série de questions rhétoriques), l’amplificatio (où l’on cherche à élever le débat), et la disgressio (considérations annexes par rapport au point du débat).

Tout au long du discours et de chacune de ses parties et sous-parties, l’orateur éloquent doit également veiller à trouver le bon style oratoire, tout en joignant le geste à la parole.

Cette façon de décomposer le discours en parties clairement identifiées a évidemment un grand avantage méthodologique, en fournissant ainsi à l’orateur un canevas à respecter pour produire plus facilement ses allocutions. Mais le risque est aussi de limiter l’orateur dans sa créativité, le contraindre dans sa façon de penser, et, en révélant un même schéma pour toutes ses argumentations, amoindrir l’effet de celles-ci aux yeux de ceux qui l’auront trop nettement identifié…

Nous ne nous attacherons donc pas trop à ce découpage du discours, et prenons-le simplement ici comme un exemple de « l’obsession taxinomique » qui semble animer les grands théoriciens de la rhétorique… L’orateur moderne trouvera toujours un intérêt à se tourner vers la tradition, ne serait-ce que pour sa culture culture générale, mais il gagnera tout autant à chercher à les combiner avec de nouvelles inspirations en explorant des modes de communication plus contemporains, comme le storytelling.

Image en illustration de cet article : Cicéron dénonçant Catilina (CC Perkins, Bridgeman Art Library).

Partagez sur vos réseaux

Pourquoi nous avons peur de parler en public

Être à l’aise à l’oral est une nécessité. Ceci est d’autant plus vrai pour tous ceux qui veulent s’engager pour leurs idées ou promouvoir un projet.

Que ce soit dans le monde de l’entreprise, en politique ou dans le milieu associatif, il faut oser prendre la parole en public, animer une réunion, débattre ou négocier, intervenir sur un plateau télé, répondre à des journalistes…

Ces situations sont à chaque fois des épreuves, où même les personnes les plus expérimentées doivent bien souvent faire face à leur trac.

Les manifestations du trac sont nombreuses et variées, mais tenter de les contrôler ne sert à rien tant que leur véritable cause subsiste à un niveau plus profond.

Une première façon de surmonter le trac est précisément d’en comprendre la cause. Celle-ci est généralement triple :

  • La peur liée à l’enjeu de la situation
  • La peur de ne pas être suffisamment compétent
  • La peur d’être jugé en tant que personne

Voyons plus en détail en quoi consiste ces peurs, et comment prendre du recul par rapport à chacune d’entre elles pour être plus à l’aise en public :

La peur liée à l’enjeu de la situation est typique des examens, concours, passages à l’oral devant un jury, entretiens d’embauche et autres tests de sélection… Plus l’objectif visé est important (nouveau travail, entrée dans une école prestigieuse, etc.), plus le stress est grand.

La peur de l’incompétence caractérise celui qui ne se sent pas à la hauteur en termes de reconnaissance, d’importance ou de statut. Cela peut-être dû à l’absence de diplôme universitaire ou des titres nécessaires pour être officiellement reconnu comme spécialiste de tel ou tel domaine, et conférant une certaine légitimité pour intervenir sur certains sujets.

Enfin, la peur d’être jugé en tant que personne est la peur de déplaire, d’être critiqué, de se faire huer voire insulter, que l’on se moque de vous et que l’on parle dans votre dos.

Ces peurs ne concernent pas seulement la prise de parole en public, mais toutes les situations du quotidien où il s’agit de s’exprimer face à certaines personnes, répondre à des inconnus, aborder des gens que l’on ne connaît pas très bien, etc.

Avoir conscience de ces différentes peurs permet déjà de prendre un certain recul par rapport à l’une ou l’autre…

Partagez sur vos réseaux