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Comment se faire connaître en tant que conférencier à l’étranger ?

Comment augmenter sa visibilité à l’international comme conférencier ? Que faut-il faire ? Quelle ligne de conduite adopter ? Mais surtout, par où commencer ? Avant d’entreprendre quoi que ce soit, il faut garder à l’esprit que chaque pays diffère d’un autre de par sa langue, sa culture et son environnement. Pour réussir dans un pays autre que le sien, il faut respecter ceux des autres pour pouvoir leur apporter des solutions adaptées. Dès lors, comment s’y prendre pour approcher une clientèle internationale ainsi qu’une audience étrangère ? Précédemment je vous avais donné 7 conseils pour développer votre activité de conférencier à l’international. Ci-après quelques conseils pour les conférenciers professionnels désireux d’étendre leur influence au-delà des frontières terres et mers.

Adapter son site web en fonction du pays, de la langue et de la culture 

Comment est-ce qu’internet s’est hissé parmi les meilleurs moyens pour développer son activité professionnelle de conférencier à l’étranger ? C’est simple. Ce réseau gigantesque qu’est le web permet à tous professionnels de créer des plateformes d’informations et d’échanges. 

De par ce fait, il est intéressant pour un conférencier de concevoir son site web pour promouvoir et exporter ses activités ainsi que ses services en Europe, en Asie, en Afrique ou en Amérique. Celui-ci a alors deux choix. Soit, il conçoit une plateforme multilingue sur laquelle les visiteurs pourront sélectionner directement la langue de lecture. Soit, il élabore un site dédié avec un nom de domaine et une extension adaptée au pays cible. 

En plus, il lui faudra établir ses pages web en tenant compte de la langue du pays ciblé mais aussi de sa culture. Pour créer des contenus authentiques, il peut faire appel à un traducteur local pour mieux approcher le marché à investir. 

Développer une offre de services et de conférences spécifiques en fonction de ses origines et du pays visé 

Pour se forger une réputation à l’international, il faut savoir se conformer aux mœurs du pays visé tout en se gardant de négliger ses racines. Pour ce faire, il suffit de proposer une offre de services et de conférences sur mesure. Cela signifie prendre le temps de travailler et d’adapter le contenu de cette offre suivant la situation du pays étranger. Il faudra parallèlement plancher sur sa mise en œuvre et sa promotion. Par la suite, on termine en faisant connaître cette offre via des supports publicitaires en cohérence avec la culture, les cibles et l’environnement cibles. 

Utiliser des moyens de communication propres au pays 

Avant les conférences et les déplacements, il est toujours utile de se mettre dans le bain et découvrir au préalable son auditoire et ses clients étrangers. Par quels moyens ? On communique avec ces derniers par le biais de réseaux sociaux comme Facebook, Linkedin et Discord. Pour une meilleure communication avec les internautes, on privilégiera toutefois les plateformes Twitter et Instagram. Il existe aussi des réseaux spécifiques à certains pays qui seraient intéressants d’investir : VKontakte pour la Russie, WeChat pour la Chine et Line pour le Japon. Il est important de connaître quels sont les moyens de communication en ligne les plus utilisés dans un pays. Cela permet de mettre toutes les chances de son côté pour devenir conférencier international plus rapidement.

Gérer la barrière de la langue

Lorsqu’il s’agit d’aller à l’encontre d’étrangers, le premier pas est toujours le plus difficile de par la barrière de la langue. Pour que la communication s’établisse, il faut donc outrepasser cette barrière. 

Pour ce faire, étudier les rudiments de la langue du pays cible est un indispensable pour pouvoir mieux s’intégrer à l’environnement du pays étranger une fois sur place. Cela signifie découvrir les expressions locales ainsi que les mots communs. Pour y parvenir, on peut s’y initier soi-même. Cependant, il serait plus judicieux de faire un bain de langue sous la tutelle d’une personne originaire du pays cible. C’est la meilleure garantie pour se positionner comme conférencier et formateur international

Dans tous les cas, préparer une version de vos conférences en anglais vous permettra de présenter celles-ci quasiment partout autour de la planète, ce sera toujours utile. Bien sûr vous pouvez anticiper en déclinant vos conférences dans toutes les langues des pays que vous visez – et que vous maîtrisez…

Utiliser ses origines étrangères comme une force

Une des erreurs à éviter quand on vise l’internationalisation est de prioriser les cultures étrangères au détriment de la sienne. Pour se faire remarquer, il faut au contraire savoir affirmer ses origines. C’est valable qu’il s’agisse de culture, de langage et d’expressions typiques. Savoir les mettre en avant auprès d’un public étranger apporte un sérieux plus-value à sa notoriété. On peut par exemple partager les anecdotes de sa terre natale afin de tenir en haleine son audience internationale. Ce qui fait que valoriser ses origines demeure une force, unique et peu commune.

Les pièges et les difficultés sont inévitables lorsqu’on développe son activité à l’international. Mais bien préparé et bien accompagné, on peut tout surmonter et tracer sa route vers le succès.

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Comment développer son activité de coach, formateur ou conférencier au-delà de la France ?

Après avoir passé le cap du conférencier professionnel en France, comment ne pas se laisser tenter par l’international ? Plusieurs paramètres sont à prendre en compte quand nous développons notre activité à l’étranger. D’abord, il y a le salaire. Ensuite viennent le dépaysement et la chance d’aider une plus large audience. Pour finir, se faire un nom à l’international ouvre sur de précieuses opportunités que l’on n’aurait jamais osé imaginer. Dès lors, que faire pour développer son activité au-delà de la France ? Nos réponses. 

Quels pays, privilégier pour se lancer à l’étranger ?

Quand nous sommes conférencier, formateurs ou coach français désirant exporter ses conseils, il faut savoir que certains pays sont à privilégier. 

Parmi ces pays, le Canada se positionne en tête de liste. La qualité de vie y est très appréciable et la culture se rapproche de celle de la France. Néanmoins, l’admission des étrangers s’y fait par tirage au sort et dépendamment d’un quota. 

Sinon, nous pouvons envisager l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Nous y trouvons facilement du travail. Dans ces pays, pour lancer son activité de conférencier ou de formateur international, il faut savoir parler anglais. 

Du côté de l’Asie, la Thaïlande plait également car toutes les branches sauf le tourisme y sont accessibles aux étrangers. S’ajoute à cela le Singapour plébiscité pour son dynamisme économique et son confort de vie. Autrement, il y a Taïwan. Ce pays est une vraie mine d’or pour les professionnels spécialisés dans le domaine de la communication, les métiers du web et ou le marketing. Partir en Amérique du Sud est aussi une option à envisager pour lancer son activité à l’étranger. 

Pour ceux qui ne veulent pas quitter l’Europe, ils peuvent poser l’Allemagne ou la Suisse et les pays francophones comme la Belgique ou le Luxembourg peuvent être de bonnes alternatives. 

Comment faire pour s’implanter dans un pays non francophone ? Non anglophone ? Est-ce possible ou risqué ?

Pour solutionner le dilemme de la barrière de langue quand nous sommes expatriés dans un pays étranger, le mieux est d’apprendre l’anglais. C’est la langue de référence et universelle pour se faire comprendre dans un pays non francophone. Avant de poser vos bagages, nous vous conseillons de perfectionner   Sinon, il suffit de se rapprocher d’un traducteur local dans les cas où l’on se retrouve dans un pays non francophone et, ou non anglophone. C’est aussi une bonne alternative pour vite s’intégrer mais cela revient plus cher que de se payer des cours de langue.

Vivre sur place, s’expatrier, ou se rendre régulièrement dans le pays ou la ville que l’on vise ?

Pour lancer sa carrière de conférencier ou de coach à l’étranger, on a deux options. Soit on s’expatrie, soit on s’y déplace régulièrement. Entre ces deux alternatives, laquelle semble la meilleure pour réussir à l’international ? Toutes les deux ont des avantages et des limites. D’une chose l’une, vivre sur place revient moins cher. On perd moins de temps et d’argent dans les longs déplacements

On s’imprègne mieux du pays étranger et de sa culture. L’inconvénient est que l’intégration de départ n’est pas toujours aisée. Il y a aussi les contraintes administratives liées à l’expatriation dont le départ, l’installation et le retour en France. D’une chose l’autre, se déplacer régulièrement dans la ville ou le pays cible permet de préserver son domicile en France. Néanmoins, il faudra consacrer des frais importants pour de tels va-et-vient.

Dans tous les cas, pour vous faire connaître en tant que conférencier à l’étranger, des rencontres en chair et en os sont souvent nécessaires pour nouer de solides relations qui déboucheront sur des opportunités business intéressantes. Vous pouvez participer à des événements de type networking, vous rendre à d’autres conférences et sympathiser avec les conférenciers et les organisateurs, ou encore organiser vos propres événements, d’abord modestes et de plus en plus ambitieux au fur et à mesure que se développent à la fois votre communauté et votre notoriété.

Enfin, il est aussi possible de commencer par déployer une stratégie de présence sur les réseaux sociaux résolument tournée vers l’international, en étant actif sur les réseaux privilégiés des pays concernés. Par exemple, si Linkedin, twitter et facebook sont très populaires en occident, ce n’est pas la même situation en Asie, où l’on utilise KakaoTalk en Corée du Sud, Line au Japon ou encore Wechat en Chine. Le ciblage initial va donc déterminer les médias à privilégier. C’est une étape clef pour commencer à chercher et trouver des clients à l’étranger.

Vers quels réseaux ou associations se tourner pour développer son réseau et se faire aider ?

Quand nous débarquons et sommes nouveaux dans un pays étranger et que l’on souhaite y lancer son entreprise, il faut être méthodique. Il faut connaître les contraintes administratives et sociales afin de mieux s’intégrer et de toucher une large audience. Pour faciliter cette intégration, on peut s’orienter auprès de l’Ambassade locale.

Sur place, vous aurez aussi besoin d’avoir un service bancaire adapté à votre croissance internationale, pour vos dépenses ou encore pour pouvoir encaisser ou facturer à l’étranger. L’utilisation d’une carte Amex Air France est très pratique pour les grands voyages et les entrepreneurs, coachs, formateurs et conférenciers ayant des ambitions planétaires.

Nous pouvons aussi nous rapprocher des réseaux français sur place comme les Associations d’accueil et d’entraide des Français à l’étranger. De plus, pour voir comment se trame la vie locale, pourquoi ne pas enquêter sur les réseaux sociaux comme Facebook et LinkedIn,e t bien sûr sur les réseaux propres aux pays où l’on souhaite développer son activité de conférencier ? Enfin, nous pouvons directement démarcher dans le pays choisi pour se frayer un chemin dans l’inconnu et à l’international.

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Les avantages de la communication relationnelle en entreprise

La vie d’une entreprise repose essentiellement sur les informations transmises et les relations professionnelles entre ses membres. Tout promoteur d’entreprises, chefs d’entreprise ou leader se doit d’avoir une bonne aisance relationnelle. Cela lui permet non seulement d’être un bon leader, mais également d’augmenter l’efficacité de son entreprise.

Les avantages d’une bonne communication relationnelle

La communication relationnelle offre des avantages certains non seulement pour celui qui le développe, mais aussi et surtout pour l’essor de l’entreprise.

Les avantages personnels

Avoir une aisance relationnelle est gage de deux choses. Elle permet de développer de façon naturelle un leadership inspirant. Une relation saine et contributive, presque familière dans un cadre professionnel, vous permet de gagner la confiance de vos collaborateurs. Ces deux avantages constituent le socle, des entrepreneurs à succès.

Les avantages pour l’entreprise

Les avantages d’une bonne communication relationnelle entre collègues sont nombreux pour une entreprise. Elle permet entre autres :

  • De faciliter la transmission des informations sensibles ;
  • D’éviter les retards ou les absences inventées ;
  • De réorienter rapidement les objectifs avec adhésion complète des collaborateurs ;
  • La résolution facile des conflits professionnels et interpersonnels ;
  • De mieux gérer les différents secteurs ;
  • De donner la possibilité aux employés de participer aux prises de décisions ;
  • D’inciter chaque membre pour œuvrer pour le bien-être de l’entreprise.

La communication relationnelle professionnelle est l’apanage des entreprises qui ont fidélisé leurs employés. Elle permet au chef d’entreprise d’être un bon leader et de diriger non seulement des équipes, mais plutôt une famille dévouée à la cause de son entreprise.

Les techniques pour une bonne communication relationnelle

Avoir une facilité dans la mise en place et l’entretien d’une bonne relation interpersonnelle est l’une des qualités des grands leaders. Loin d’être innée, elle peut être acquise par l’apprentissage de différentes techniques qu’il faudra approfondir avec une formation sur la communication relationnelle.

Être accessible

L’impression donnée joue un rôle important dans la communication relationnelle. L’ouverture d’esprit, la simplicité, l’empathie et un faciès heureux et accueillant constituent la base de l’aisance relationnelle. À tout cela s’ajoute la confiance en soi et la qualité du style vestimentaire. La confiance en soi génère toujours une attitude positive, une aisance charismatique dans le discours, et tout ceci, dans le respect de la personne humaine.

Le style vestimentaire est une composante qui, au-delà de contribuer à la confiance en soi, reflète le sens de la responsabilité et du respect de la personne. Un style soigné et toujours propre laisse une bonne impression auprès des interlocuteurs.

Installer un environnement d’écoute mutuelle

L’aisance relationnelle est basée en grande partie sur le type d’interactions entre collègues. Pour des relations saines et bénéfiques, l’écoute mutuelle est une obligation. Elle consiste à être empathique, prêt à écouter les inquiétudes de vos collègues sans les juger et dans le strict respect de leur personne.

L’écoute mutuelle impose également une observation attentive des collaborateurs afin de détecter le moindre changement d’humeur, de comportement. Cela permet de pouvoir les amener à se confier ou à trouver une solution pour les aider à faire le vide. L’objectif est d’améliorer leur efficacité en s’intéressant à la personne dans sa globalité.

Acquérir les mots justes

Après l’écoute, il faut mettre les collègues en confiance, des mots sincères et profonds. À cet effet, il est conseillé d’acquérir une très bonne éloquence. Avoir l’art de rassurer par vos dires tout en retenant l’attention et l’esprit de vos collaborateurs devient alors un devoir. Le discours se doit d’être clair, simple et compréhensible.

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Pourquoi préparer une version de vos conférences en anglais

La présentation d’une conférence joue un rôle important tant pour un entrepreneur que pour un leader d’association. Communiquer, passer un message au public, principalement à un public varié, demande une bonne préparation. Pour voir son projet grandir, le conférencier doit prévoir différentes versions de ses conférences : une version en français, une version en anglais ou en d’autres langues, lesquelles lui serviront durant ses déplacements.  

Les enjeux des conférences dans le développement de vos activités

Tous les secteurs d’activités font aujourd’hui face à une concurrence rude. Créer une entreprise ou une association, développer les activités qui s’y affèrent et surtout pouvoir maintenir l’attention du public et rester dans la concurrence, devient alors un défi continuel pour tous les leaders. Et faire des conférences constitue une des stratégies d’approche et de communication des plus efficaces pour se démarquer et se développer à l’international. Les conférences ont pour objet d’échanger avec différentes personnes sur un sujet ou un thème essentiel au conférencier. Ces dernières se trouvent être une plus-value dans la relation client. Plus le public sera nombreux à vos conférences, plus il vous sera possible d’atteindre vos objectifs et vous développer à l’international.  Dans cette optique, il faut savoir que parler anglais et parler français sont choses primordiales. Un conférencier doit pouvoir faire une conférence en anglais, viser un public anglophone, viser à effectuer des déplacements à l’étranger notamment voyager

Les solutions pour traduire ses conférences en anglais

Pour toute activité, la présentation de conférences facilite l’obtention d’un retour direct du public sur une offre bien précise. Qu’il s’agisse par exemple d’un produit, d’une enquête sur une politique ou de tout autre sujet, prévoir une conférence est un moyen de sensibiliser mais surtout de recueillir des informations différentes au vu de développement. Se développer à l’international c’est viser haut et se donner de nombreuses opportunités grâce aux échanges. 

Le conférencier est appelé indéniablement à se rendre dans de nombreux pays, à voyager et multiplier ses déplacements pour avoir le maximum d’interactions. Mais très souvent, la non maîtrise des langues comme  l’anglais se trouve être un fléau pour le conférencier ou formateur international. De nombreuses solutions sont envisageables pour traduire des conférences en anglais. 

Internationalisation : quelles solutions à privilégier ?

Dans un premier temps, certains se laissent tenter à recruter un anglophone bilingue apte à traduire les conférences dans sa langue en anglais. Cela aiderait à connaître les mots et expressions corrects qui seront refléter avec exactitude le contenu et objet-même de la conférence. Cette version traduite pourra être transportée par le conférencier ou formateur international durant tous ses déplacements. Dès lors, parler anglais ne constituera désormais plus un blocage pour les conférenciers de voyager et de se développer à l’international. 

Une seconde solution pour le formateur international serait de recourir à des services en ligne. Toutefois, sachez qu’un traducteur en ligne décrédibilise le travail du conférencier et sans conteste, son autorité. Aussi, la meilleure option pour vos conférences en anglais serait de vous former rapidement en anglais pour avoir les acquis essentiels pour votre présentation ou de requérir à un professionnel qui vous fournira une version de vos conférences en anglais. L’idée serait pour vous d’apprendre ce qu’il faut d’anglais pour être opérationnel en tant que conférencier à l’étranger et pouvoir vous manifester dans tous les lieux nécessaires à votre projet. 

D’autres langues pour vos conférences

Une question qui serait certainement posée par le conférencier est de savoir s’il lui serait utile de préparer ses conférences en d’autres langues. La préparation des conférences en d’autres langues peut s’avérer utile si un marché ou un client nécessite l’intervention d’un conférencier, expert dans son domaine et qui, pour un meilleur impact au sein du public doive effectuer une présentation une langue bien spécifique. 

En somme, un conférencier qui souhaite attiser l’attention au niveau international et devenir formateur international doit prévoir plusieurs déplacements dans des pays différents, parler anglais pour sensibiliser un public bien varié et obtenir des résultats plus concrets, faire une conférence en anglais dans le but principal de se développer à l’international. C’est fondamental. Puis, une fois que la question de votre première conférence en anglais sera réglée, vous pourrez passer aux détails plus pratiques et concrets tels que trouver vos premiers clients à l’étranger, optimiser vos déplacements internationaux (et la gestion de votre fatigue, qui en résultera inévitablement) et sélectionner le service bancaire le plus adapté à votre nouvelle vie à l’international !

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Les avantages de la carte American Express Platinum Air France – KLM

Pour les  grands voyageurs, surtout pour ceux qui effectuent des déplacements professionnels récurrents, effectuer les paiements pour ses dépenses peut parfois s’avérer compliqué. Si vous cherchez une solution de paiement rapide lors de vos voyages, la carte American Express Platinium Air France-KLM  offre de nombreux avantages, ne serait-ce qu’avec son application mobile qui permet de suivre toutes vos transactions en temps réel où que vous soyez.  

Qui est concerné ?

Pourquoi est-ce que cela pourrait vous intéresser en tant que conférencier international ? La carte American Express Platinium Air France-KLM est idéale pour toute personne effectuant des déplacements à l’international comme les conférenciers internationaux.  

De nombreux avantages s’offrent à vous si vous choisissez cette carte :

  • bénéficier d’une application pour gérer votre compte n’importe où,
  • réserver vos billets d’avion à l’aide de cette carte et des miles qui vous seront offerts lors de votre souscription et de tous vos éventuels achats,
  • réserver d’autres services comme la location d’une voiture, vos chambres d’hôtel ou encore une table dans votre restaurant favori,
  • effectuer des achats prolonge la validité de vos miles accumulés,
  • faire profiter de cette offre à vos proches en demandant des cartes supplémentaires.

Vous pouvez souscrire à cette carte au prix de 47,5 euros par mois, si toutefois, vous justifiez d’un revenu annuel de 65 000 euros minimum qui est détenu dans un compte bancaire en euros, si vous avez plus de 18 ans et si vous disposez d’un numéro de carte Flying Blue.

Utile pour les professionnels à l’international

C’est donc un moyen de paiement très utile pour les grands voyageurs mais aussi et surtout pour les professionnels qui se développent à l’international. En effet, si vous effectuez de nombreux voyages au cours de l’année, il est important que vous disposiez d’un moyen facile et efficace afin de prendre en charge vos dépenses une fois à destination.

Cette solution est très utile car elle est valable dans plusieurs pays et établissements à l’international. En plus, plusieurs privilèges vous seront offerts, comme profiter des salons Air France dans les aéroports, de bagages supplémentaires ou encore pouvoir choisir votre siège (attention, ces avantages ne découlent pas directement de la carte American Express Platinum Air France – KLM mais du statut Flying Blue, mais la carte permet justement d’obtenir et de maintenir plus facilement les plus hauts statuts Flying Blue comme le statut « Platinum »).

Des rewards en miles + un bonus de XP très intéressant

Lors de chaque achat effectué avec votre carte American Express Platinium Air France-KLM au cours de vos déplacements, on vous offre des miles en cadeau mais aussi des bonus XP.

Déjà, lors de votre souscription, vous allez recevoir 60 XP et 20 000 miles (et même un bonus beaucoup plus important en suivant ce lien de parrainage !). Des XP supplémentaires seront ajoutés à votre compte à chaque date anniversaire de votre carte.

Ces XP vont vous servir afin d’obtenir ou maintenir votre statut Flying Blue et le faire progresser.

Rappel sur les statuts Flying Blue : l’importance des XP pour renouveler un statut

Le statut Flying Blue est un programme de fidélisation sur des compagnies aériennes telles qu’Air France, Kenya Airways, Transavia, KLM, Aircalin ou encore Tarom. Grâce à cela, pour chaque voyage effectué vous allez en retour gagner des miles ainsi que des XP qui vont vous servir à couvrir vos dépenses pour vos vols, les options prises sur vos vols ou encore pour vos lieux de séjours.

Pour atteindre le statut Platinum, qui vous permet de très nombreux avantages tels qu’un enregistrement prioritaire, un parcours prioritaire à l’aéroport (« Sky priority » = coupe file et guichets d’enregistrement réservés), la possibilité de prendre davantage de bagages en cabine et en soute, accéder aux salons Air France & ses partenaires dans tous les aéroports du monde, miles supplémentaires convertibles en billets prime… Augmenter votre statut vous permettra donc d’augmenter les privilèges ainsi que les miles que vous pouvez recevoir.

Les avantages sont tellement nombreux et tellement intéressants qu’il n’est pas possible de tous les détailler ici. Gardez simplement en tête que ces avantages dépendant du statut Flying Blue, et que votre statut dépend quant à lui du nombre de XP que vous aurez gagné au cours de l’année en fonction du nombre et de la distance des voyages que vous aurez effectués. Le statut Platinum s’atteint avec 300 XP, ce qui représente tout de même un gros objectif. Grâce à la carte Amex Platinum Air France – KLM, vous obtenez automatiquement 60 XP chaque année soit 20% des XP nécessaires, ce qui vous donne une sacrée avance !

Service de conciergerie premium très utile pour la vie privée comme pour la vie pro

La carte offre par ailleurs un service de conciergerie premium très utile pour la vie privée, mais aussi et surtout pour la vie professionnelle ! Vous avez à votre disposition un numéro disponible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Ce service de conciergerie fera le nécessaire afin de vous satisfaire, quelles que soient vos demandes. Que ce soit pour une table dans un grand restaurant (places réservées aux meilleures tables de Paris pour les titulaires d’une carte American Express) ou une place pour un grand spectacle (offres spéciales, pré-réservation et vente de billets en avant-première, événements exclusifs…), vos réservations d’hôtel, etc. Vous passerez toujours en priorité.

Assurance premium indispensable pour les grands voyageurs

Vous vous sentirez comme un VIP où que vous soyez. Grâce à cette carte,  vous disposez de toutes sortes d’assurances telles que la garantie protection des achats, l’assurance annulation et report de voyage, la garantie incidents de voyage, l’assurance neige et montagne, la responsabilité civile à l’étranger, la garantie véhicule de location, la garantie effets personnels et l’assistance médicale et frais médicaux.

Versions pro des cartes American Express Air France

Créées surtout pour les dirigeants de TPE ou ceux qui exercent des professions libérales, les versions pro des cartes American Express Air France offrent beaucoup d’autres d’avantages, spécifiquement pour la gestion des comptes au sein d’une entreprise. A ne citer que les 20 000 miles et les 450 euros remboursés sur vos achats quand vous allez y souscrire. Le programme de fidélité Flying Blue vous réserve encore plus de profits. Les services de conciergerie et la gestion de votre compte seront plus optimaux. Et d’autres services d’assurance supplémentaire garantiront votre sécurité.

La cotisation annuelle est de 650 euros. Les seules conditions de souscription :  être un dirigeant ou un professionnel de TPE,  justifier d’un revenu annuel de 80 000 euros. Votre société doit également réaliser un chiffre d’affaires d’au moins 5 millions d’euros, doit avoir existé depuis plus d’un an et posséder un compte bancaire domicilié en France.

Pour conclure

Si vous réunissez toutes les conditions et que vous envisagez sérieusement de développer votre activité à l’international, souscrivez à la carte American Express Platinum Air France – KLM sans tarder. Si vous êtes déjà un grand voyageur, qu’attendez-vous ? En suivant ce lien vous profiterez d’un bonus de miles exceptionnel. Pourquoi souscrire au plus vite ? De cette manière vous recevrez votre carte rapidement et vous pourrez commencer à explorer toutes ses fonctionnalités et possibilités avant d’avoir besoin de vous en servir lors de vos prochains déplacements dans toute la France et dans le monde entier.

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Les principales difficultés lorsqu’on développe son activité à l’international

Certes, préparer une version de vos conférences en anglais est en soi une bonne étape en vue de devenir conférencier international. Mais le conférencier qui veut développer son activité de conférences à l’international international doit aussi envisager son activité comme une véritable entreprise et mettre en place une authentique stratégie de conquête de nouveaux marchés à l’étranger. Pour accroître la notoriété d’une entreprise à l’international et lui permettre de développer son chiffre d’affaires, le porteur de projet est tenu de se préparer. Les difficultés et les pièges sont nombreux, certains inévitables. Le développement à l’international comporte de nombreux risques qu’il convient de minimiser au préalable. 

Les premiers risques à considérer

Déjà, étendre une activité à l’international signifie se déplacer assez fréquemment. Ce qui nécessite une coordination et une organisation de ces déplacements. Bien que les préparatifs puissent être pris en charge par un assistant, l’entrepreneur pour sa part est tenu de faire face au stress, au jetlag. En arrivant dans un autre pays, la baisse d’énergie due aux décalages horaires est parfois insurmontable. Cependant, aucune perte de temps n’est permise. D’où l’importance de gérer sa fatigue.  

En outre, un entrepreneur qui cherche à développer sa marque à l’international est tenu à la gestion de son budget. Effectivement, il ne faut pas oublier que les prix varient selon le pays. De même, le porteur de projet doit encore tenir compte de la fiscalisation et des taxes applicables à son statut d’entrepreneur.

Pour ceux qui veulent faire connaitre leurs nouveaux produits, le problème est d’une tout autre ampleur. En effet, en plus de fidéliser les nouveaux clients, il convient d’entretenir la relation avec les anciens habitués. Dans ce cas, il convient de transmettre des emails personnalisés ou encore des newsletters sur l’organisation de vidéo-conférence dans le but de présenter les nouvelles promotions. Ici, le recrutement d’un conférencier doit accompagner cette étape du projet.

De surcroît, l’entrepreneur doit entretenir et développer son réseau à l’international. De ce fait, il est tenu de se faire entourer des meilleurs commerciaux capables de vanter les mérites des produits qu’il propose. L’expatriation revient à trouver de nouveaux clients dans divers pays du monde. Dans cette optique, il est important de concevoir un réseau et d’y rester actif. Pour faire des rencontres et optimiser le networking, il est préconisé de s’inscrire à des événements ou encore d’organiser des rencontres à thème. Encore que visiter un autre pays pour y étendre une activité signifie tenir compte de l’importance de la communication interculturelle. Il est alors capital de développer la communication pour divers pays et pour différentes sortes de public.

Etudier et comprendre le pays ciblé

Voici un autre problème de taille que toute personne cherchant à développer son activité doit examiner de près. Bien qu’il soit facile d’assimiler les cultures d’un autre pays, il n’est pas évident d’étudier la langue utilisée ni de cerner chaque zone géographique. Pourtant, ce sont là des prérequis fondamentaux à l’expansion d’une activité à l’international. Il est capital d’étudier le marché avant de songer à s’installer. Aussi, le porteur de projet doit absolument se renseigner sur l’activité économique du pays. Ce qui porte sur la moyenne de croissance annuelle de ce dernier ou encore du nombre d’impayés et des dispositions légales en matière de pratiques commerciales. Quid des types de contrats et des délais de paiement ? Ce sont autant de données qui doivent être passées en revue et qui nécessitent pourtant la vision d’un expert. 

Le chef d’entreprise doit encore se rendre dans le ou les pays concernés par l’extension pour analyser les différentes possibilités d’organisation de sa nouvelle activité. Comment constituer un réseau et de quelle manière procéder pour obtenir le soutien des partenaires locaux ? Ce sont des questions qui demandent des réponses dans les plus brefs délais. 

Encore que la détermination du pays cible ne suffit pas toujours. Il est aussi important de se poser des questions quant à la valeur ajoutée du produit sur le marché cible. Si cette dernière n’est pas plus élevée que celle d’un produit local, l’investissement n’en vaut peut-être pas la peine. Dans ce cas, il faut s’assurer de ne proposer qu’un produit innovant qui fasse réellement la différence. Dès lors que l’offre correspond aux attentes des clients, l’entrepreneur doit encore édifier un plan marketing qui s’adapte aux coutumes et à la langue du pays. Aussi, il est nécessaire de définir une bonne stratégie commerciale. 

La problématique du financement

Il est faux de penser qu’un entrepreneur dispose de toutes les finances nécessaires pour étendre son projet dans le monde. Il est tenu de mettre en place un business plan pour tenter de trouver toutes les options de financement de son projet ainsi que les coûts. Le chef d’entreprise doit déposer différentes demandes d’aides pour avoir une idée des différents leviers existants. Il peut bénéficier d’aides financières, de fonds propres ou encore de prêts exports. Encore qu’il est plus qu’important de démontrer les bénéfices que dégage le projet avant de pouvoir prétendre à un quelconque financement.

Quoi qu’il en soit, et cela est aussi lié au financement, il vous faut une solution bancaire adaptée à une activité se déployant à l’international. Dans un précédent article nous avions abordé la question en nous demandant : quels services bancaires lorsqu’on développe son activité à l’international ? Et parmi les solutions existantes à ce jour, il apparait clairement que la carte American Express platinum Air France – KLM est une excellente solution présentant des avantages non négligeables aux personnes régulièrement amenées à se déplacer à l’étranger.

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Quels services bancaires lorsqu’on développe son activité à l’international ?

Si vous souhaitez développer votre activité à l’international, il est important que vous connaissiez les services bancaires alternatifs qui seront plus avantageux pour vous. Comme, il n’est pas toujours aisé de s’y retrouver avec les innombrables options proposées sur le marché bancaire, voici quelques informations qui devraient vous être utiles pour vos déplacements

Les comptes bancaires multi-devises

En tant que conférencier ou formateur international, il est primordial de développer son activité à l’étranger. Il est donc préférable de s’entourer des partenaires financiers les plus avantageux pour sécuriser ses opérations commerciales à l’international. Parmi les services bancaires alternatifs existants, vous avez les comptes multi-devises, tels que Revolut et N26. Ces services sont considérés comme de vraies banques et vous font jouir d’un gain de temps considérable. 

Le plus intéressant dans les comptes multi-devises se trouve au niveau des tarifs appliqués. Réglez relativement peu de frais bancaires et gérez facilement vos opérations à distance durant vos déplacements. Si l’on prend par exemple Revolut et N26, les cartes bancaires sont comprises dans le tarif de départ qui est très intéressant. Vous disposez d’un grand nombre de devises disponibles, le taux de change est réel et aucune commission ne sera appliquée. 

L’avantage des néo-banques

Une banque en ligne est une structure bancaire qui est instaurée à partir d’une banque traditionnelle. Elle proposera les mêmes services et prestations, à des tarifs plus concurrentiels. L’objectif des services bancaires alternatifs est d’être en mesure de vous offrir un service dématérialisé, idéal donc pour vos déplacements à l’international. Une néo-banque ou banque en ligne vous offre la possibilité de gérer votre compte bancaire sur internet, où que vous soyez. Effectuez toutes sortes d’opérations bancaires directement depuis votre écran. 

Un compte en euro à l’étranger

Les virements non SEPA peuvent s’avérer particulièrement onéreux, notamment lorsque vous possédez un compte français alors que vous vous trouvez à l’étranger. Un compte multi-devises vous permettra d’obtenir un compte en euros à l’international. Vous aurez également la possibilité d’ouvrir des sous-comptes et leur attribuer à chacun une monnaie différente. Vous obtiendrez une carte bancaire qui vous permettra de voyager sans régler le moindre frais supplémentaire pour vos retraits ou paiements à l’étranger, même si vous sortez de la zone euro. Voilà de quoi ravir les conférenciers, formateurs international et autres globetrotteurs.

L’utilité d’une carte bancaire internationale

Si vous voyagez souvent, vous aurez besoin d’une carte bancaire internationale, telle qu’American Express. Nombreuses sont les différentes prestations proposées, en fonction de cette carte bancaire internationale. Aussi est-il très important de prendre en considération les différentes garanties offertes par chacune d’elles. Certaines cartes bancaires telles qu’American Express sont plus avantageuses que d’autres et donnent accès à une indemnisation lorsqu’un imprévu survient. Pensez à toujours lire les conditions du contrat du service bancaire alternatif que vous choisissez afin d’en apprendre davantage sur le type d’abonnement et fees dont il s’agit. Renseignez-vous également sur les frais appliqués par retraits ou paiements ainsi que sur le nombre de retraits autorisés sur votre carte bancaire internationale. 

La carte American Express Air France – KLM

Si vos déplacements sont fréquents, adoptez la carte American Express Air France – KLM. Dans un précédent article nous avons détaillé les incroyables avantages de la carte Amex Platinum Air France – KLM pour les grands voyageurs et pour tous les professionnels, coach, formateurs et conférenciers qui se développent à l’international. Cette carte de paiement internationale vous offre la possibilité de différer le débit jusqu’à un mois. Ainsi, vous pourrez voyager plus souvent et payer vos billets d’avion AIR FRANCE et KLM en 3 fois sans frais. De plus, vous jouirez d’un programme de fidélité intéressant basé sur un ingénieux système de points convertibles en cadeaux. 

Comment fonctionne Crypto.com ?

Il existe d’autres sortes de services bancaires alternatifs plus innovants et encore assez peu connus du grand public, tels que Crypto.com et Curve. Vous pouvez également vous servir du crypto monnaies pour simplifier vos transactions à l’international. Il s’agit de monnaies virtuelles émises et transférées via une chaîne de blocs internationale. Renseignez-vous à ce sujet si vous souhaitez en apprendre davantage. Il faut savoir qu’aujourd’hui, l’entreprise Crypto.com est en partenariat avec Visa comme fournisseur de carte et avec Payrnet Limited pour les diverses transactions. La principale offre de Crypto.com est de fournir des cartes de paiement métalliques qui sont actuellement considérées comme étant les meilleures du marché. 

N’oubliez pas votre assurance voyage

Pensez à souscrire une assurance voyage si vous partez pour un séjour de moins de 12 mois à travers le monde. Outre votre développement à l’international ou vos conférences et formations, ce type de produit d’assurance est valable dans le cadre d’un séjour linguistique, ou encore si vous souhaitez faire de longues vacances. Toutefois, si votre séjour ne devait pas durer plus de 3 mois, vous pourrez jouir de l’assurance voyage qui est comprise dans votre carte bancaire.

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La nouvelle épreuve du Grand Oral du bac en France

Dès 2021, le Grand Oral du bac sera l’épreuve qui viendra conclure les années de lycée des jeunes Français. Plus qu’un simple test de contrôle de connaissances, celui-ci est conçu pour tester les capacités argumentatives et orales des futurs bacheliers. Pour mieux en appréhender le concept, focus sur son principe, son déroulement et ce qu’il faut faire pour s’y préparer. 

Qu’est-ce que cette nouvelle épreuve du bac ?

Il s’agit d’une épreuve faisant partie des nouvelles réformes du baccalauréat français. Celle-ci rentre en vigueur dès les sessions de 2021. Cette épreuve s’adresse tant aux terminales générales que technologiques. Son principe est simple : elle vise à inculquer l’art oratoire aux lycéens de dernière année. 

Durant 20 minutes, les candidats au Grand Oral Blanc du bac devront s’exprimer en public et argumenter sur 2 sujets de leur choix. Ces sujets auront un lien avec leurs spécialités et leurs centres d’intérêt. 

Ainsi, cette nouvelle épreuve consiste à évaluer, d’une part, les connaissances des élèves de terminales et, d’autre part, leur aisance à l’oral et leur capacité à convaincre. Elle fait partie des 5 épreuves finales du bac qui équivalent aux 3/5 de leur note finale au bac. Pour la voie générale, cette épreuve compte pour un coefficient 10. Pour la voie technologique, c’est un coefficient 14. Autant le dire tout de suite : cette épreuve peut être un moyen de gagner facilement de précieux points qui feront monter la moyenne ! A condition de s’y être correctement préparé, et de ne pas être surpris par son déroulement le jour J…

Bacheliers, ne vous inquiétez pas : avec la bonne méthode et les bonnes techniques d’art oratoire, et pourquoi pas avec l’aide d’un coach en éloquence pour préparer cette épreuve si particulière, il n’est pas déraisonnable de viser un 20 sur 20 au grand oral du bac !

Comment se déroule l’épreuve du Grand Oral blanc ?

Comme le site de l’Éducation nationale l’explique, cet examen se fait en 3 temps :

En amont, le candidat devra traiter 2 questions avec ses professeurs durant ses heures de cours. Ces questions se rapportent à 2 spécialités ou matières préalablement choisies par l’élève. Pour la voie générale, elles doivent se référer à l’une de ces spécialités ou aux 2 en même temps. Pour la voie technologique, ces questions renvoient à l’une des spécialités de la série de l’élève. Le jour J, le jury pourra choisir entre les 2 questions proposées. Par la suite, le candidat an20 minutes pour se préparer et créer un support de présentation. Ce support peut être une carte, un schéma ou un graphique. Passé ce délai, le candidat dispose de 5 minutes pour présenter la raison derrière le choix de la question. Il devra également y répondre et argumenter ses dires.

Dans un second temps, le jury se réservera 10 minutes pour interroger l’élève sur sa présentation. Celui-ci devra répondre sans notes. Il devra développer sa pensée de sorte à mettre en valeur ses connaissances sur les spécialités choisies ainsi que ses capacités à convaincre. 

Dans un dernier temps, le candidat aura 5 minutes pour exposer l’intérêt de sa question quant à ses projets de poursuite d’études et éventuellement, de ses orientations professionnelles. Ici, on jaugera sa motivation personnelle et sa manière d’exprimer un point de vue personnel. 

Comment s’y préparer en tant que lycéen ?

Pour garantir leur réussite au bac, les candidats devront s’exercer. Cela signifie apprendre les bonnes postures et gestuelles. Les terminales auront besoin de travailler leur élocution et surtout, d’être capable d’enchaîner les arguments de façon logique. Pour cela, ils doivent s’entrainer dès la classe de première. Ils auront à se documenter et à s’exercer en cours ou durant leur temps libre. Cette préparation peut se faire tant individuellement qu’en collectif. S’y mettre à plusieurs permettra toutefois de travailler son discours en public, de parfaire les détails de son exposé et de le mettre en scène. 

Grosso modo, cette épreuve teste les compétences orales, la capacité à prendre la parole en continu, la qualité des connaissances, la qualité des interactions et les aptitudes à argumenter de l’élève. Pour la réussir haut-la-main, il faut savoir captiver son auditoire et parler sans notes tout en maîtrisant son sujet. 

Comment suivre les progrès et accompagner son enfant en tant que parents ?

Pour accompagner son enfant dans cette nouvelle aventure, les parents doivent les mettre en confiance. Pour ce faire, ils peuvent l’aider à travailler ses capacités oratoires en lui servant d’auditoire. Sinon, ils peuvent se contenter de l’assister pour mieux faire face au stress. Ils peuvent aussi les stimuler de sorte à garder leur motivation. 

Et si votre jeune bachelier d’enfant prend du plaisir à préparer cette épreuve et que cela se révèle être un succès, alors qui sait, peut-être que cela suscitera une vocation comme devenir conférencier professionnel !

Ce que vous devez retenir :

Le Grand Oral blanc du bac se réalise en trois étapes : présentation, échanges avec le jury et intérêt des questions vis-à-vis des projets d’avenir de l’élève. Cette épreuve vise à évaluer les capacités oratoires du futur bachelier. Elle est rentrée en vigueur à partir des sessions de 2021. Cet examen oral se centre sur 2 questions établies par le candidat et gravitant autour 2 spécialités choisies par ses soins. L’épreuve se passe en 20 minutes d’évaluation et 20 minutes de préparation. 

Le déroulement et les modalités de cette épreuve, encore quelque peu « expérimentale » à l’heure où nous écrivons ces lignes, vont certainement être amenés à évoluer au fil des années qui suivent. Quoi qu’il en soit, pour bien s’y préparer, il faudra toujours du travail et de la rigueur, et ce dès la classe de première !

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Comment développer son activité de conférencier à l’international ?

Quand on est conférencier professionnel, que signifie développer son activité à l’international ? Que faire et ne pas faire ? Quels atouts faut-il cultiver et acquérir pour y parvenir ? En abord, il faut une bonne dose de détermination. Cependant, savoir développer son réseau et avoir un certain talent oratoire s’avèrent tout aussi vitaux. S’ajoutent à cela une abnégation totale au travail et une grande maitrise des langues à l’écrit comme à l’oral. Cela dit, il faut bien plus pour devenir un conférencier international accompli. Ci-après les autres indispensables à connaître. 

Pièges et difficultés lorsque l’on tente de développer son activité à l’international

Quand on est conférencier professionnel, quels avantages y a-t-il à passer à l’international ? Déjà, on est mieux payé. On gagne en notoriété, en influence et en crédibilité. Ce qui s’avère utile pour développer son réseau et trouver plus facilement des clients. Cela aide aussi à asseoir sa réputation afin d’intéresser plus d’invités et d’intervenants de renom à ses rencontres. Cela peut même permettre de développer des compétences de formateur international.

Cependant, universaliser ainsi son activité n’est pas sans écueils. Tenter de se développer à l’international en tant que conférencier revient à s’exposer à de nombreux pièges et tout autant d’épineuses difficultés. Par exemple, beaucoup se leurrent en pensant qu’il faut se focaliser davantage sur le contenu de son discours plutôt que sur son expression scénique. Or être un bon conférencier, c’est savoir donner de soi pour espérer toucher autrui et les aider à améliorer leur quotidien

Quand on veut jouer dans la cour des grands, les barrières de langage peuvent également mettre au pied du mur. Il s’agit d’un problème majeur et récurrent quand on organise dans un pays étranger. 

Aussi, les escroqueries ne manquent pas dans le milieu. Il arrive qu’en souscrivant à une offre en ligne, il s’agisse d’une entourloupe. Il se peut aussi qu’en organisant une conférence à l’étranger, les accords de départ n’aient pas été respectés une fois sur place. Quand on souhaite passer de conférencier professionnel à international, il faut également se renseigner sur les législations des pays de destination. 

Idées pour adapter ses conférences à l’international 

Une fois qu’on a les idées claires sur le métier de conférencier à l’international, il faut passer au travail du contenu. Pour ce faire, on privilégie les discours avec moins de texte. En s’étalant moins et en faisant des discours concis, capter l’attention du public s’avère plus aisé. En ce sens, il faut étayer ses propos avec des projections vidéo et des illustrations pour mieux se faire comprendre. 

Si on ne maitrise pas la langue locale, on peut traduire ses contenus et les afficher à travers des sous-titres. Ces sous-titres s’affichent généralement sur un support numérique tel que PowerPoint ou sur un support papier de type livret manuel. Pour ce qui est de dépasser la barrière de langue, le mieux serait d’apprendre et de maitriser l’anglais. Autrement, rien n’empêche d’utiliser des supports aux contenus traduits ou d’apprendre la langue locale. 

Au début ou au terme de la conférence, on peut remercier ses visiteurs en leur offrant un cadeau. C’est une pratique très courante en Chine. 

Problème de la langue lorsque l’on veut donner des conférences à l’étranger 

Devenir conférencier à l’international revient à faire face aux problèmes de langue. Se faire comprendre dans une langue autre que la sienne n’est pas chose facile. Dès lors, que faire pour que ses messages, ses réponses et son point de vue passent durant sa conférence ? Plusieurs alternatives existent. 

Déjà, on peut faire une conférence en anglais. C’est la langue universelle la plus parlée au monde. Sinon, pour qui doivent assurer plusieurs conférences dans un même pays, le mieux est d’apprendre la langue locale. Sinon, on peut tout aussi bien embaucher un traducteur mais cela revient plus cher. Dès lors, on peut se contenter de faire simple en s’adressant aux expatriés français et francophones. On peut espérer ainsi que ces derniers traduisent ses propos aux natifs. On peut aussi s servir d’un système de sous-titrage sur support papier ou numérique. 

Dans tous les cas, la question de la langue se pose à tous les niveaux de toutes les interactions envisageables avec la population locale, et pas seulement dans le cadre d’une conférence. Cela commence par le grand défi de se faire connaître en tant que conférencier à l’étranger, parallèlement aux actions entreprises pour trouver des clients dans ce nouveau pays.

Prendre en compte les contraintes légales et administratives

Quand on veut rejoindre la scène internationale comme conférencier, on passe obligatoirement par la case de l’expatriation. Cela signifie toutefois se conformer aux contraintes légales et administratives des pays de destination. 

Pour faciliter les procédures, on suffit d’acquérir un statut d’auto-entrepreneur et une couverture maladie en France. Cela facilite le rapprochement avec les institutions étrangères ou avec la caisse des Français de l’étranger. Il existe une seconde option consistant à un détachement en tant que travailleur indépendant ou micro-entrepreneur. Cela ne renvoie à aucune distinction de loi au sein de l’Union Européenne, de l’Islande, de la Norvège, de la Suisse et du Lichtenstein. 

Hors du territoire de l’UE, les déplacements internationaux se font avec un visa. On peut en disposer en en requérant auprès du consulat ou de l’ambassade du pays de destination. Il peut s’agir d’un visa d’affaire, touristique ou de travail. 

Il faudra acquérir en plus une carte de séjour (ou carte de résident) temporaire ou permanente auprès du consulat ou de l’ambassade du pays d’accueil. En cas de séjour dans un pays de l’UE, l’obtention de ce document est obligatoire en cas de séjour excédant les 3 mois. En plus de la carte de résident, il faut en général un permis de travail. 

En cas d’expatriation par détachement, l’auto-entrepreneur peut requérir un séjour d’une durée de 24 mois ou moins. Son statut doit exister au moins 2 mois avant son départ. Il devra préserver sa structure en France : adresse siège de l’entreprise, même mission, acquittement des impôts français et statut toujours en règle avec la CFE (Centre des formalités des entreprises). Passés les 24 mois de détachement, il faut clarifier sa situation chez la CFE et l’URSSAF.

Dans tous les cas, vous pouvez d’ores et déjà passer en revue les possibilités d’ouvrir un compte sur place, ou vous renseigner sur les solutions bancaires qui pourront vous accompagner dans votre déploiement à l’international. Ne serait-ce que pour être en mesure d’encaisser vos premiers clients à l’étranger. Avoir une carte telle qu’une Amex Air France pourra se révéler fort utile si vous projetez de nombreux déplacements à l’étranger, je ne peux que vous recommander d’y souscrire sans tarder. Votre Amex pourrait bien devenir un véritable sésame sur votre chemin vous menant vers un succès mondial !

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