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Pourquoi préparer une version de vos conférences en anglais

La présentation d’une conférence joue un rôle important tant pour un entrepreneur que pour un leader d’association. Communiquer, passer un message au public, principalement à un public varié, demande une bonne préparation. Pour voir son projet grandir, le conférencier doit prévoir différentes versions de ses conférences : une version en français, une version en anglais ou en d’autres langues, lesquelles lui serviront durant ses déplacements.  

Les enjeux des conférences dans le développement de vos activités

Tous les secteurs d’activités font aujourd’hui face à une concurrence rude. Créer une entreprise ou une association, développer les activités qui s’y affèrent et surtout pouvoir maintenir l’attention du public et rester dans la concurrence, devient alors un défi continuel pour tous les leaders. Et faire des conférences constitue une des stratégies d’approche et de communication des plus efficaces pour se démarquer et se développer à l’international. Les conférences ont pour objet d’échanger avec différentes personnes sur un sujet ou un thème essentiel au conférencier. Ces dernières se trouvent être une plus-value dans la relation client. Plus le public sera nombreux à vos conférences, plus il vous sera possible d’atteindre vos objectifs et vous développer à l’international.  Dans cette optique, il faut savoir que parler anglais et parler français sont choses primordiales. Un conférencier doit pouvoir faire une conférence en anglais, viser un public anglophone, viser à effectuer des déplacements à l’étranger notamment voyager

Les solutions pour traduire ses conférences en anglais

Pour toute activité, la présentation de conférences facilite l’obtention d’un retour direct du public sur une offre bien précise. Qu’il s’agisse par exemple d’un produit, d’une enquête sur une politique ou de tout autre sujet, prévoir une conférence est un moyen de sensibiliser mais surtout de recueillir des informations différentes au vu de développement. Se développer à l’international c’est viser haut et se donner de nombreuses opportunités grâce aux échanges. 

Le conférencier est appelé indéniablement à se rendre dans de nombreux pays, à voyager et multiplier ses déplacements pour avoir le maximum d’interactions. Mais très souvent, la non maîtrise des langues comme  l’anglais se trouve être un fléau pour le conférencier ou formateur international. De nombreuses solutions sont envisageables pour traduire des conférences en anglais. 

Internationalisation : quelles solutions à privilégier ?

Dans un premier temps, certains se laissent tenter à recruter un anglophone bilingue apte à traduire les conférences dans sa langue en anglais. Cela aiderait à connaître les mots et expressions corrects qui seront refléter avec exactitude le contenu et objet-même de la conférence. Cette version traduite pourra être transportée par le conférencier ou formateur international durant tous ses déplacements. Dès lors, parler anglais ne constituera désormais plus un blocage pour les conférenciers de voyager et de se développer à l’international. 

Une seconde solution pour le formateur international serait de recourir à des services en ligne. Toutefois, sachez qu’un traducteur en ligne décrédibilise le travail du conférencier et sans conteste, son autorité. Aussi, la meilleure option pour vos conférences en anglais serait de vous former rapidement en anglais pour avoir les acquis essentiels pour votre présentation ou de requérir à un professionnel qui vous fournira une version de vos conférences en anglais. L’idée serait pour vous d’apprendre ce qu’il faut d’anglais pour être opérationnel en tant que conférencier à l’étranger et pouvoir vous manifester dans tous les lieux nécessaires à votre projet. 

D’autres langues pour vos conférences

Une question qui serait certainement posée par le conférencier est de savoir s’il lui serait utile de préparer ses conférences en d’autres langues. La préparation des conférences en d’autres langues peut s’avérer utile si un marché ou un client nécessite l’intervention d’un conférencier, expert dans son domaine et qui, pour un meilleur impact au sein du public doive effectuer une présentation une langue bien spécifique. 

En somme, un conférencier qui souhaite attiser l’attention au niveau international et devenir formateur international doit prévoir plusieurs déplacements dans des pays différents, parler anglais pour sensibiliser un public bien varié et obtenir des résultats plus concrets, faire une conférence en anglais dans le but principal de se développer à l’international. C’est fondamental. Puis, une fois que la question de votre première conférence en anglais sera réglée, vous pourrez passer aux détails plus pratiques et concrets tels que trouver vos premiers clients à l’étranger, optimiser vos déplacements internationaux (et la gestion de votre fatigue, qui en résultera inévitablement) et sélectionner le service bancaire le plus adapté à votre nouvelle vie à l’international !

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Les avantages de la carte American Express Platinum Air France – KLM

Pour les  grands voyageurs, surtout pour ceux qui effectuent des déplacements professionnels récurrents, effectuer les paiements pour ses dépenses peut parfois s’avérer compliqué. Si vous cherchez une solution de paiement rapide lors de vos voyages, la carte American Express Platinium Air France-KLM  offre de nombreux avantages, ne serait-ce qu’avec son application mobile qui permet de suivre toutes vos transactions en temps réel où que vous soyez.  

Qui est concerné ?

Pourquoi est-ce que cela pourrait vous intéresser en tant que conférencier international ? La carte American Express Platinium Air France-KLM est idéale pour toute personne effectuant des déplacements à l’international comme les conférenciers internationaux.  

De nombreux avantages s’offrent à vous si vous choisissez cette carte :

  • bénéficier d’une application pour gérer votre compte n’importe où,
  • réserver vos billets d’avion à l’aide de cette carte et des miles qui vous seront offerts lors de votre souscription et de tous vos éventuels achats,
  • réserver d’autres services comme la location d’une voiture, vos chambres d’hôtel ou encore une table dans votre restaurant favori,
  • effectuer des achats prolonge la validité de vos miles accumulés,
  • faire profiter de cette offre à vos proches en demandant des cartes supplémentaires.

Vous pouvez souscrire à cette carte au prix de 47,5 euros par mois, si toutefois, vous justifiez d’un revenu annuel de 65 000 euros minimum qui est détenu dans un compte bancaire en euros, si vous avez plus de 18 ans et si vous disposez d’un numéro de carte Flying Blue.

Utile pour les professionnels à l’international

C’est donc un moyen de paiement très utile pour les grands voyageurs mais aussi et surtout pour les professionnels qui se développent à l’international. En effet, si vous effectuez de nombreux voyages au cours de l’année, il est important que vous disposiez d’un moyen facile et efficace afin de prendre en charge vos dépenses une fois à destination.

Cette solution est très utile car elle est valable dans plusieurs pays et établissements à l’international. En plus, plusieurs privilèges vous seront offerts, comme profiter des salons Air France dans les aéroports, de bagages supplémentaires ou encore pouvoir choisir votre siège (attention, ces avantages ne découlent pas directement de la carte American Express Platinum Air France – KLM mais du statut Flying Blue, mais la carte permet justement d’obtenir et de maintenir plus facilement les plus hauts statuts Flying Blue comme le statut « Platinum »).

Des rewards en miles + un bonus de XP très intéressant

Lors de chaque achat effectué avec votre carte American Express Platinium Air France-KLM au cours de vos déplacements, on vous offre des miles en cadeau mais aussi des bonus XP.

Déjà, lors de votre souscription, vous allez recevoir 60 XP et 20 000 miles (et même un bonus beaucoup plus important en suivant ce lien de parrainage !). Des XP supplémentaires seront ajoutés à votre compte à chaque date anniversaire de votre carte.

Ces XP vont vous servir afin d’obtenir ou maintenir votre statut Flying Blue et le faire progresser.

Rappel sur les statuts Flying Blue : l’importance des XP pour renouveler un statut

Le statut Flying Blue est un programme de fidélisation sur des compagnies aériennes telles qu’Air France, Kenya Airways, Transavia, KLM, Aircalin ou encore Tarom. Grâce à cela, pour chaque voyage effectué vous allez en retour gagner des miles ainsi que des XP qui vont vous servir à couvrir vos dépenses pour vos vols, les options prises sur vos vols ou encore pour vos lieux de séjours.

Pour atteindre le statut Platinum, qui vous permet de très nombreux avantages tels qu’un enregistrement prioritaire, un parcours prioritaire à l’aéroport (« Sky priority » = coupe file et guichets d’enregistrement réservés), la possibilité de prendre davantage de bagages en cabine et en soute, accéder aux salons Air France & ses partenaires dans tous les aéroports du monde, miles supplémentaires convertibles en billets prime… Augmenter votre statut vous permettra donc d’augmenter les privilèges ainsi que les miles que vous pouvez recevoir.

Les avantages sont tellement nombreux et tellement intéressants qu’il n’est pas possible de tous les détailler ici. Gardez simplement en tête que ces avantages dépendant du statut Flying Blue, et que votre statut dépend quant à lui du nombre de XP que vous aurez gagné au cours de l’année en fonction du nombre et de la distance des voyages que vous aurez effectués. Le statut Platinum s’atteint avec 300 XP, ce qui représente tout de même un gros objectif. Grâce à la carte Amex Platinum Air France – KLM, vous obtenez automatiquement 60 XP chaque année soit 20% des XP nécessaires, ce qui vous donne une sacrée avance !

Service de conciergerie premium très utile pour la vie privée comme pour la vie pro

La carte offre par ailleurs un service de conciergerie premium très utile pour la vie privée, mais aussi et surtout pour la vie professionnelle ! Vous avez à votre disposition un numéro disponible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Ce service de conciergerie fera le nécessaire afin de vous satisfaire, quelles que soient vos demandes. Que ce soit pour une table dans un grand restaurant (places réservées aux meilleures tables de Paris pour les titulaires d’une carte American Express) ou une place pour un grand spectacle (offres spéciales, pré-réservation et vente de billets en avant-première, événements exclusifs…), vos réservations d’hôtel, etc. Vous passerez toujours en priorité.

Assurance premium indispensable pour les grands voyageurs

Vous vous sentirez comme un VIP où que vous soyez. Grâce à cette carte,  vous disposez de toutes sortes d’assurances telles que la garantie protection des achats, l’assurance annulation et report de voyage, la garantie incidents de voyage, l’assurance neige et montagne, la responsabilité civile à l’étranger, la garantie véhicule de location, la garantie effets personnels et l’assistance médicale et frais médicaux.

Versions pro des cartes American Express Air France

Créées surtout pour les dirigeants de TPE ou ceux qui exercent des professions libérales, les versions pro des cartes American Express Air France offrent beaucoup d’autres d’avantages, spécifiquement pour la gestion des comptes au sein d’une entreprise. A ne citer que les 20 000 miles et les 450 euros remboursés sur vos achats quand vous allez y souscrire. Le programme de fidélité Flying Blue vous réserve encore plus de profits. Les services de conciergerie et la gestion de votre compte seront plus optimaux. Et d’autres services d’assurance supplémentaire garantiront votre sécurité.

La cotisation annuelle est de 650 euros. Les seules conditions de souscription :  être un dirigeant ou un professionnel de TPE,  justifier d’un revenu annuel de 80 000 euros. Votre société doit également réaliser un chiffre d’affaires d’au moins 5 millions d’euros, doit avoir existé depuis plus d’un an et posséder un compte bancaire domicilié en France.

Pour conclure

Si vous réunissez toutes les conditions et que vous envisagez sérieusement de développer votre activité à l’international, souscrivez à la carte American Express Platinum Air France – KLM sans tarder. Si vous êtes déjà un grand voyageur, qu’attendez-vous ? En suivant ce lien vous profiterez d’un bonus de miles exceptionnel. Pourquoi souscrire au plus vite ? De cette manière vous recevrez votre carte rapidement et vous pourrez commencer à explorer toutes ses fonctionnalités et possibilités avant d’avoir besoin de vous en servir lors de vos prochains déplacements dans toute la France et dans le monde entier.

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Les principales difficultés lorsqu’on développe son activité à l’international

Certes, préparer une version de vos conférences en anglais est en soi une bonne étape en vue de devenir conférencier international. Mais le conférencier qui veut développer son activité de conférences à l’international international doit aussi envisager son activité comme une véritable entreprise et mettre en place une authentique stratégie de conquête de nouveaux marchés à l’étranger. Pour accroître la notoriété d’une entreprise à l’international et lui permettre de développer son chiffre d’affaires, le porteur de projet est tenu de se préparer. Les difficultés et les pièges sont nombreux, certains inévitables. Le développement à l’international comporte de nombreux risques qu’il convient de minimiser au préalable. 

Les premiers risques à considérer

Déjà, étendre une activité à l’international signifie se déplacer assez fréquemment. Ce qui nécessite une coordination et une organisation de ces déplacements. Bien que les préparatifs puissent être pris en charge par un assistant, l’entrepreneur pour sa part est tenu de faire face au stress, au jetlag. En arrivant dans un autre pays, la baisse d’énergie due aux décalages horaires est parfois insurmontable. Cependant, aucune perte de temps n’est permise. D’où l’importance de gérer sa fatigue.  

En outre, un entrepreneur qui cherche à développer sa marque à l’international est tenu à la gestion de son budget. Effectivement, il ne faut pas oublier que les prix varient selon le pays. De même, le porteur de projet doit encore tenir compte de la fiscalisation et des taxes applicables à son statut d’entrepreneur.

Pour ceux qui veulent faire connaitre leurs nouveaux produits, le problème est d’une tout autre ampleur. En effet, en plus de fidéliser les nouveaux clients, il convient d’entretenir la relation avec les anciens habitués. Dans ce cas, il convient de transmettre des emails personnalisés ou encore des newsletters sur l’organisation de vidéo-conférence dans le but de présenter les nouvelles promotions. Ici, le recrutement d’un conférencier doit accompagner cette étape du projet.

De surcroît, l’entrepreneur doit entretenir et développer son réseau à l’international. De ce fait, il est tenu de se faire entourer des meilleurs commerciaux capables de vanter les mérites des produits qu’il propose. L’expatriation revient à trouver de nouveaux clients dans divers pays du monde. Dans cette optique, il est important de concevoir un réseau et d’y rester actif. Pour faire des rencontres et optimiser le networking, il est préconisé de s’inscrire à des événements ou encore d’organiser des rencontres à thème. Encore que visiter un autre pays pour y étendre une activité signifie tenir compte de l’importance de la communication interculturelle. Il est alors capital de développer la communication pour divers pays et pour différentes sortes de public.

Etudier et comprendre le pays ciblé

Voici un autre problème de taille que toute personne cherchant à développer son activité doit examiner de près. Bien qu’il soit facile d’assimiler les cultures d’un autre pays, il n’est pas évident d’étudier la langue utilisée ni de cerner chaque zone géographique. Pourtant, ce sont là des prérequis fondamentaux à l’expansion d’une activité à l’international. Il est capital d’étudier le marché avant de songer à s’installer. Aussi, le porteur de projet doit absolument se renseigner sur l’activité économique du pays. Ce qui porte sur la moyenne de croissance annuelle de ce dernier ou encore du nombre d’impayés et des dispositions légales en matière de pratiques commerciales. Quid des types de contrats et des délais de paiement ? Ce sont autant de données qui doivent être passées en revue et qui nécessitent pourtant la vision d’un expert. 

Le chef d’entreprise doit encore se rendre dans le ou les pays concernés par l’extension pour analyser les différentes possibilités d’organisation de sa nouvelle activité. Comment constituer un réseau et de quelle manière procéder pour obtenir le soutien des partenaires locaux ? Ce sont des questions qui demandent des réponses dans les plus brefs délais. 

Encore que la détermination du pays cible ne suffit pas toujours. Il est aussi important de se poser des questions quant à la valeur ajoutée du produit sur le marché cible. Si cette dernière n’est pas plus élevée que celle d’un produit local, l’investissement n’en vaut peut-être pas la peine. Dans ce cas, il faut s’assurer de ne proposer qu’un produit innovant qui fasse réellement la différence. Dès lors que l’offre correspond aux attentes des clients, l’entrepreneur doit encore édifier un plan marketing qui s’adapte aux coutumes et à la langue du pays. Aussi, il est nécessaire de définir une bonne stratégie commerciale. 

La problématique du financement

Il est faux de penser qu’un entrepreneur dispose de toutes les finances nécessaires pour étendre son projet dans le monde. Il est tenu de mettre en place un business plan pour tenter de trouver toutes les options de financement de son projet ainsi que les coûts. Le chef d’entreprise doit déposer différentes demandes d’aides pour avoir une idée des différents leviers existants. Il peut bénéficier d’aides financières, de fonds propres ou encore de prêts exports. Encore qu’il est plus qu’important de démontrer les bénéfices que dégage le projet avant de pouvoir prétendre à un quelconque financement.

Quoi qu’il en soit, et cela est aussi lié au financement, il vous faut une solution bancaire adaptée à une activité se déployant à l’international. Dans un précédent article nous avions abordé la question en nous demandant : quels services bancaires lorsqu’on développe son activité à l’international ? Et parmi les solutions existantes à ce jour, il apparait clairement que la carte American Express platinum Air France – KLM est une excellente solution présentant des avantages non négligeables aux personnes régulièrement amenées à se déplacer à l’étranger.

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Quels services bancaires lorsqu’on développe son activité à l’international ?

Si vous souhaitez développer votre activité à l’international, il est important que vous connaissiez les services bancaires alternatifs qui seront plus avantageux pour vous. Comme, il n’est pas toujours aisé de s’y retrouver avec les innombrables options proposées sur le marché bancaire, voici quelques informations qui devraient vous être utiles pour vos déplacements

Les comptes bancaires multi-devises

En tant que conférencier ou formateur international, il est primordial de développer son activité à l’étranger. Il est donc préférable de s’entourer des partenaires financiers les plus avantageux pour sécuriser ses opérations commerciales à l’international. Parmi les services bancaires alternatifs existants, vous avez les comptes multi-devises, tels que Revolut et N26. Ces services sont considérés comme de vraies banques et vous font jouir d’un gain de temps considérable. 

Le plus intéressant dans les comptes multi-devises se trouve au niveau des tarifs appliqués. Réglez relativement peu de frais bancaires et gérez facilement vos opérations à distance durant vos déplacements. Si l’on prend par exemple Revolut et N26, les cartes bancaires sont comprises dans le tarif de départ qui est très intéressant. Vous disposez d’un grand nombre de devises disponibles, le taux de change est réel et aucune commission ne sera appliquée. 

L’avantage des néo-banques

Une banque en ligne est une structure bancaire qui est instaurée à partir d’une banque traditionnelle. Elle proposera les mêmes services et prestations, à des tarifs plus concurrentiels. L’objectif des services bancaires alternatifs est d’être en mesure de vous offrir un service dématérialisé, idéal donc pour vos déplacements à l’international. Une néo-banque ou banque en ligne vous offre la possibilité de gérer votre compte bancaire sur internet, où que vous soyez. Effectuez toutes sortes d’opérations bancaires directement depuis votre écran. 

Un compte en euro à l’étranger

Les virements non SEPA peuvent s’avérer particulièrement onéreux, notamment lorsque vous possédez un compte français alors que vous vous trouvez à l’étranger. Un compte multi-devises vous permettra d’obtenir un compte en euros à l’international. Vous aurez également la possibilité d’ouvrir des sous-comptes et leur attribuer à chacun une monnaie différente. Vous obtiendrez une carte bancaire qui vous permettra de voyager sans régler le moindre frais supplémentaire pour vos retraits ou paiements à l’étranger, même si vous sortez de la zone euro. Voilà de quoi ravir les conférenciers, formateurs international et autres globetrotteurs.

L’utilité d’une carte bancaire internationale

Si vous voyagez souvent, vous aurez besoin d’une carte bancaire internationale, telle qu’American Express. Nombreuses sont les différentes prestations proposées, en fonction de cette carte bancaire internationale. Aussi est-il très important de prendre en considération les différentes garanties offertes par chacune d’elles. Certaines cartes bancaires telles qu’American Express sont plus avantageuses que d’autres et donnent accès à une indemnisation lorsqu’un imprévu survient. Pensez à toujours lire les conditions du contrat du service bancaire alternatif que vous choisissez afin d’en apprendre davantage sur le type d’abonnement et fees dont il s’agit. Renseignez-vous également sur les frais appliqués par retraits ou paiements ainsi que sur le nombre de retraits autorisés sur votre carte bancaire internationale. 

La carte American Express Air France – KLM

Si vos déplacements sont fréquents, adoptez la carte American Express Air France – KLM. Dans un précédent article nous avons détaillé les incroyables avantages de la carte Amex Platinum Air France – KLM pour les grands voyageurs et pour tous les professionnels, coach, formateurs et conférenciers qui se développent à l’international. Cette carte de paiement internationale vous offre la possibilité de différer le débit jusqu’à un mois. Ainsi, vous pourrez voyager plus souvent et payer vos billets d’avion AIR FRANCE et KLM en 3 fois sans frais. De plus, vous jouirez d’un programme de fidélité intéressant basé sur un ingénieux système de points convertibles en cadeaux. 

Comment fonctionne Crypto.com ?

Il existe d’autres sortes de services bancaires alternatifs plus innovants et encore assez peu connus du grand public, tels que Crypto.com et Curve. Vous pouvez également vous servir du crypto monnaies pour simplifier vos transactions à l’international. Il s’agit de monnaies virtuelles émises et transférées via une chaîne de blocs internationale. Renseignez-vous à ce sujet si vous souhaitez en apprendre davantage. Il faut savoir qu’aujourd’hui, l’entreprise Crypto.com est en partenariat avec Visa comme fournisseur de carte et avec Payrnet Limited pour les diverses transactions. La principale offre de Crypto.com est de fournir des cartes de paiement métalliques qui sont actuellement considérées comme étant les meilleures du marché. 

N’oubliez pas votre assurance voyage

Pensez à souscrire une assurance voyage si vous partez pour un séjour de moins de 12 mois à travers le monde. Outre votre développement à l’international ou vos conférences et formations, ce type de produit d’assurance est valable dans le cadre d’un séjour linguistique, ou encore si vous souhaitez faire de longues vacances. Toutefois, si votre séjour ne devait pas durer plus de 3 mois, vous pourrez jouir de l’assurance voyage qui est comprise dans votre carte bancaire.

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La nouvelle épreuve du Grand Oral du bac en France

Dès 2021, le Grand Oral du bac sera l’épreuve qui viendra conclure les années de lycée des jeunes Français. Plus qu’un simple test de contrôle de connaissances, celui-ci est conçu pour tester les capacités argumentatives et orales des futurs bacheliers. Pour mieux en appréhender le concept, focus sur son principe, son déroulement et ce qu’il faut faire pour s’y préparer. 

Qu’est-ce que cette nouvelle épreuve du bac ?

Il s’agit d’une épreuve faisant partie des nouvelles réformes du baccalauréat français. Celle-ci rentre en vigueur dès les sessions de 2021. Cette épreuve s’adresse tant aux terminales générales que technologiques. Son principe est simple : elle vise à inculquer l’art oratoire aux lycéens de dernière année. 

Durant 20 minutes, les candidats au Grand Oral Blanc du bac devront s’exprimer en public et argumenter sur 2 sujets de leur choix. Ces sujets auront un lien avec leurs spécialités et leurs centres d’intérêt. 

Ainsi, cette nouvelle épreuve consiste à évaluer, d’une part, les connaissances des élèves de terminales et, d’autre part, leur aisance à l’oral et leur capacité à convaincre. Elle fait partie des 5 épreuves finales du bac qui équivalent aux 3/5 de leur note finale au bac. Pour la voie générale, cette épreuve compte pour un coefficient 10. Pour la voie technologique, c’est un coefficient 14. Autant le dire tout de suite : cette épreuve peut être un moyen de gagner facilement de précieux points qui feront monter la moyenne ! A condition de s’y être correctement préparé, et de ne pas être surpris par son déroulement le jour J…

Bacheliers, ne vous inquiétez pas : avec la bonne méthode et les bonnes techniques d’art oratoire, et pourquoi pas avec l’aide d’un coach en éloquence pour préparer cette épreuve si particulière, il n’est pas déraisonnable de viser un 20 sur 20 au grand oral du bac !

Comment se déroule l’épreuve du Grand Oral blanc ?

Comme le site de l’Éducation nationale l’explique, cet examen se fait en 3 temps :

En amont, le candidat devra traiter 2 questions avec ses professeurs durant ses heures de cours. Ces questions se rapportent à 2 spécialités ou matières préalablement choisies par l’élève. Pour la voie générale, elles doivent se référer à l’une de ces spécialités ou aux 2 en même temps. Pour la voie technologique, ces questions renvoient à l’une des spécialités de la série de l’élève. Le jour J, le jury pourra choisir entre les 2 questions proposées. Par la suite, le candidat an20 minutes pour se préparer et créer un support de présentation. Ce support peut être une carte, un schéma ou un graphique. Passé ce délai, le candidat dispose de 5 minutes pour présenter la raison derrière le choix de la question. Il devra également y répondre et argumenter ses dires.

Dans un second temps, le jury se réservera 10 minutes pour interroger l’élève sur sa présentation. Celui-ci devra répondre sans notes. Il devra développer sa pensée de sorte à mettre en valeur ses connaissances sur les spécialités choisies ainsi que ses capacités à convaincre. 

Dans un dernier temps, le candidat aura 5 minutes pour exposer l’intérêt de sa question quant à ses projets de poursuite d’études et éventuellement, de ses orientations professionnelles. Ici, on jaugera sa motivation personnelle et sa manière d’exprimer un point de vue personnel. 

Comment s’y préparer en tant que lycéen ?

Pour garantir leur réussite au bac, les candidats devront s’exercer. Cela signifie apprendre les bonnes postures et gestuelles. Les terminales auront besoin de travailler leur élocution et surtout, d’être capable d’enchaîner les arguments de façon logique. Pour cela, ils doivent s’entrainer dès la classe de première. Ils auront à se documenter et à s’exercer en cours ou durant leur temps libre. Cette préparation peut se faire tant individuellement qu’en collectif. S’y mettre à plusieurs permettra toutefois de travailler son discours en public, de parfaire les détails de son exposé et de le mettre en scène. 

Grosso modo, cette épreuve teste les compétences orales, la capacité à prendre la parole en continu, la qualité des connaissances, la qualité des interactions et les aptitudes à argumenter de l’élève. Pour la réussir haut-la-main, il faut savoir captiver son auditoire et parler sans notes tout en maîtrisant son sujet. 

Comment suivre les progrès et accompagner son enfant en tant que parents ?

Pour accompagner son enfant dans cette nouvelle aventure, les parents doivent les mettre en confiance. Pour ce faire, ils peuvent l’aider à travailler ses capacités oratoires en lui servant d’auditoire. Sinon, ils peuvent se contenter de l’assister pour mieux faire face au stress. Ils peuvent aussi les stimuler de sorte à garder leur motivation. 

Et si votre jeune bachelier d’enfant prend du plaisir à préparer cette épreuve et que cela se révèle être un succès, alors qui sait, peut-être que cela suscitera une vocation comme devenir conférencier professionnel !

Ce que vous devez retenir :

Le Grand Oral blanc du bac se réalise en trois étapes : présentation, échanges avec le jury et intérêt des questions vis-à-vis des projets d’avenir de l’élève. Cette épreuve vise à évaluer les capacités oratoires du futur bachelier. Elle est rentrée en vigueur à partir des sessions de 2021. Cet examen oral se centre sur 2 questions établies par le candidat et gravitant autour 2 spécialités choisies par ses soins. L’épreuve se passe en 20 minutes d’évaluation et 20 minutes de préparation. 

Le déroulement et les modalités de cette épreuve, encore quelque peu « expérimentale » à l’heure où nous écrivons ces lignes, vont certainement être amenés à évoluer au fil des années qui suivent. Quoi qu’il en soit, pour bien s’y préparer, il faudra toujours du travail et de la rigueur, et ce dès la classe de première !

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Comment développer son activité de conférencier à l’international ?

Quand on est conférencier professionnel, que signifie développer son activité à l’international ? Que faire et ne pas faire ? Quels atouts faut-il cultiver et acquérir pour y parvenir ? En abord, il faut une bonne dose de détermination. Cependant, savoir développer son réseau et avoir un certain talent oratoire s’avèrent tout aussi vitaux. S’ajoutent à cela une abnégation totale au travail et une grande maitrise des langues à l’écrit comme à l’oral. Cela dit, il faut bien plus pour devenir un conférencier international accompli. Ci-après les autres indispensables à connaître. 

Pièges et difficultés lorsque l’on tente de développer son activité à l’international

Quand on est conférencier professionnel, quels avantages y a-t-il à passer à l’international ? Déjà, on est mieux payé. On gagne en notoriété, en influence et en crédibilité. Ce qui s’avère utile pour développer son réseau et trouver plus facilement des clients. Cela aide aussi à asseoir sa réputation afin d’intéresser plus d’invités et d’intervenants de renom à ses rencontres. Cela peut même permettre de développer des compétences de formateur international.

Cependant, universaliser ainsi son activité n’est pas sans écueils. Tenter de se développer à l’international en tant que conférencier revient à s’exposer à de nombreux pièges et tout autant d’épineuses difficultés. Par exemple, beaucoup se leurrent en pensant qu’il faut se focaliser davantage sur le contenu de son discours plutôt que sur son expression scénique. Or être un bon conférencier, c’est savoir donner de soi pour espérer toucher autrui et les aider à améliorer leur quotidien

Quand on veut jouer dans la cour des grands, les barrières de langage peuvent également mettre au pied du mur. Il s’agit d’un problème majeur et récurrent quand on organise dans un pays étranger. 

Aussi, les escroqueries ne manquent pas dans le milieu. Il arrive qu’en souscrivant à une offre en ligne, il s’agisse d’une entourloupe. Il se peut aussi qu’en organisant une conférence à l’étranger, les accords de départ n’aient pas été respectés une fois sur place. Quand on souhaite passer de conférencier professionnel à international, il faut également se renseigner sur les législations des pays de destination. 

Idées pour adapter ses conférences à l’international 

Une fois qu’on a les idées claires sur le métier de conférencier à l’international, il faut passer au travail du contenu. Pour ce faire, on privilégie les discours avec moins de texte. En s’étalant moins et en faisant des discours concis, capter l’attention du public s’avère plus aisé. En ce sens, il faut étayer ses propos avec des projections vidéo et des illustrations pour mieux se faire comprendre. 

Si on ne maitrise pas la langue locale, on peut traduire ses contenus et les afficher à travers des sous-titres. Ces sous-titres s’affichent généralement sur un support numérique tel que PowerPoint ou sur un support papier de type livret manuel. Pour ce qui est de dépasser la barrière de langue, le mieux serait d’apprendre et de maitriser l’anglais. Autrement, rien n’empêche d’utiliser des supports aux contenus traduits ou d’apprendre la langue locale. 

Au début ou au terme de la conférence, on peut remercier ses visiteurs en leur offrant un cadeau. C’est une pratique très courante en Chine. 

Problème de la langue lorsque l’on veut donner des conférences à l’étranger 

Devenir conférencier à l’international revient à faire face aux problèmes de langue. Se faire comprendre dans une langue autre que la sienne n’est pas chose facile. Dès lors, que faire pour que ses messages, ses réponses et son point de vue passent durant sa conférence ? Plusieurs alternatives existent. 

Déjà, on peut faire une conférence en anglais. C’est la langue universelle la plus parlée au monde. Sinon, pour qui doivent assurer plusieurs conférences dans un même pays, le mieux est d’apprendre la langue locale. Sinon, on peut tout aussi bien embaucher un traducteur mais cela revient plus cher. Dès lors, on peut se contenter de faire simple en s’adressant aux expatriés français et francophones. On peut espérer ainsi que ces derniers traduisent ses propos aux natifs. On peut aussi s servir d’un système de sous-titrage sur support papier ou numérique. 

Dans tous les cas, la question de la langue se pose à tous les niveaux de toutes les interactions envisageables avec la population locale, et pas seulement dans le cadre d’une conférence. Cela commence par le grand défi de se faire connaître en tant que conférencier à l’étranger, parallèlement aux actions entreprises pour trouver des clients dans ce nouveau pays.

Prendre en compte les contraintes légales et administratives

Quand on veut rejoindre la scène internationale comme conférencier, on passe obligatoirement par la case de l’expatriation. Cela signifie toutefois se conformer aux contraintes légales et administratives des pays de destination. 

Pour faciliter les procédures, on suffit d’acquérir un statut d’auto-entrepreneur et une couverture maladie en France. Cela facilite le rapprochement avec les institutions étrangères ou avec la caisse des Français de l’étranger. Il existe une seconde option consistant à un détachement en tant que travailleur indépendant ou micro-entrepreneur. Cela ne renvoie à aucune distinction de loi au sein de l’Union Européenne, de l’Islande, de la Norvège, de la Suisse et du Lichtenstein. 

Hors du territoire de l’UE, les déplacements internationaux se font avec un visa. On peut en disposer en en requérant auprès du consulat ou de l’ambassade du pays de destination. Il peut s’agir d’un visa d’affaire, touristique ou de travail. 

Il faudra acquérir en plus une carte de séjour (ou carte de résident) temporaire ou permanente auprès du consulat ou de l’ambassade du pays d’accueil. En cas de séjour dans un pays de l’UE, l’obtention de ce document est obligatoire en cas de séjour excédant les 3 mois. En plus de la carte de résident, il faut en général un permis de travail. 

En cas d’expatriation par détachement, l’auto-entrepreneur peut requérir un séjour d’une durée de 24 mois ou moins. Son statut doit exister au moins 2 mois avant son départ. Il devra préserver sa structure en France : adresse siège de l’entreprise, même mission, acquittement des impôts français et statut toujours en règle avec la CFE (Centre des formalités des entreprises). Passés les 24 mois de détachement, il faut clarifier sa situation chez la CFE et l’URSSAF.

Dans tous les cas, vous pouvez d’ores et déjà passer en revue les possibilités d’ouvrir un compte sur place, ou vous renseigner sur les solutions bancaires qui pourront vous accompagner dans votre déploiement à l’international. Ne serait-ce que pour être en mesure d’encaisser vos premiers clients à l’étranger. Avoir une carte telle qu’une Amex Air France pourra se révéler fort utile si vous projetez de nombreux déplacements à l’étranger, je ne peux que vous recommander d’y souscrire sans tarder. Votre Amex pourrait bien devenir un véritable sésame sur votre chemin vous menant vers un succès mondial !

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Conférencier, coach, formateur : comment trouver des clients à l’étranger ?

Pour toute activité professionnelle, il est important d’élargir son réseau et de mettre au point des stratégies efficaces en vue d’atteindre les sommets. Aujourd’hui, se développer à l’international est une solution majeure, notamment lorsque vous exercez dans le secteur de l’auto-entreprenariat. Et les métiers de conférencier, de coach et de formateur en font partie. Mais pour se faire une place privilégiée dans ce secteur mais aussi pour redoubler de revenus, il faudrait savoir se démarquer en ayant les bonnes méthodes pour trouver des clients. Ce n’est pas uniquement au niveau national ou notamment dans d’autres pays européens, mais aussi, et pour ce domaine précisément, prospecter et intervenir dans d’autres continents.

Plus vous élargissez vos horizons, plus vous vous ouvrez à de nouvelles opportunités. C’est pourquoi, trouver des clients à l’international constitue un atout. Pour cela, vous devez savoir cibler les pays où vous pensez vous rendre en vous informant sur le développement de votre activité dans ces lieux étrangers. A part cela, il est essentiel de profiter de l’avancée technologique et de vous assurer une grande visibilité sur les réseaux sociaux.  En tant que conférencier, coach ou formateur français, voici quelques astuces et conseils à suivre pour concrétiser votre projet de coaching à l’international.

Quels sont les pays à cibler, les plus favorables pour développer son activité en tant que Français ?

Il est impensable pour un formateur international de ne pas envisager de déplacements fréquents, du moins au début. Le coach, le conférencier ou le formateur français qui souhaite obtenir davantage d’audience et développer son activité doit prévoir un planning de déplacements chaque année et bien choisir ses pays cibles.  

Pour commencer une quête de nouveaux clients, il faut sélectionner des pays européens pour s’initier  au contexte de coaching dans un environnement différent de celui auquel l’on est d’habitude confronté. En Europe, les pays sont faciles d’accès, la circulation est très fluide, et vous n’aurez pas beaucoup de difficultés à vous adapter aux réglementations. Optez par exemple pour la Suisse, l’Allemagne ou le Luxembourg où la culture vous sera familière. 

Après quelques séances, vous aurez certainement gagné en expérience. Et si c’est déjà le cas, une autre destination à privilégier serait les USA. Réputés pour être l’eldorado des entrepreneurs, surtout dans le domaine du coaching, les USA vous ouvriront les portes pour vous aligner aux formateurs internationaux. La population en grand nombre jouera en votre faveur pour vous garantir un meilleur chiffre d’affaires.  Vous aurez droit à une clientèle très variée et large. Les coachs les plus réputés se sont forgé leur renommée aux USA. Attendez-vous à une concurrence assez rude une fois arrivé sur cette terre promise du coaching où beaucoup d’autres conférenciers interviennent chaque année. Il n’en reste pas moins que vous parviendrez facilement à atteindre vos objectifs aux USA. Et la culture commune occidentale ne constituera pas pour vous un obstacle. 

Si finalement, vous souhaitez enrichir votre expérience en tant que conférencier français et vous développer à l’international, l’Asie sera pour vous un challenge. Le choc culturel sera sûrement fort. Pour trouver des clients  dans ce continent, il vous faudra savoir mettre en valeur la « french touch » en vous. Mais ce n’est pas mission impossible. Prenez pour exemple le business de Guillaume Rué de Bernadac parfaitement maîtrisé à Shanghaï.

Quels réseaux sociaux et médias pour communiquer selon les pays ?

Pour se faire un nom et générer un maximum de leads, utiliser les réseaux sociaux peut s’avérer très efficace. Le nombre de visiteurs sur les différents réseaux tels que LinkedIn se comptent aujourd’hui par milliers. Les interactions y sont rapides et portent tout aussi rapidement leurs fruits. 

Dans les pays européens et aux USA, LinkedIn est d’ailleurs le réseau professionnel le plus fréquenté et par lequel l’on parvient à se faire connaître à l’international. Développer une stratégie de présence sur LinkedIn pour trouver des clients est donc fondamental quand on envisage de développer son activité dans de nouveaux pays.

Le taux d’utilisateurs professionnels sur Facebook et Twitter sont aussi très nombreux dans ces pays. Usez de vos ressources pour être bien référencé et pour savoir comment faire suivre les mises à jour de vos activités sur ces réseaux. 

YouTube est davantage destiné pour aborder un sujet, faire une FAQ ou un LIVE pour fédérer votre communauté. 

Enfin pour développer votre activité en tant que formateur, coach ou conférencier,  Instagram est le réseau social opté par les professionnels dans ces pays pour des posts ou des stories quotidiennes. Cela en tenant compte bien évidemment de la clientèle cible et des critères de ceux qui vous sont déjà abonnés. 

Les préférences varient selon le pays. Si vous ciblez une clientèle du côté de l’Asie, la population au Japon et  à Taïwan sont plus adeptes de Line ; tandis qu’en Chine, les clients usent davantage de WeChat et ceux en Corée, de Kakotalk. Il faut donc avoir la main pour pouvoir manier les différences entre toutes ces plateformes.

Comment faire de ses origines une force et un atout pour développer son activité à l’étranger ?

S’exporter à l’étranger, c’est voir grand. Cela nécessite d’avoir certaines compétences en stratégie de communication. Vous allez passer un message à une audience différente que vous souhaiteriez sensibiliser.   

Pour atteindre cet objectif, vous devez mettre en avant tous vos atouts, vous construire une forte image en revendiquant votre culture et vos origines à travers la manière dont vous présenterez les choses «  à la française » (ce que nous entendons par french touch). Tout cela en portant également un intérêt à la culture du pays où vous interviendrez. 

Faire attention à la communication interculturelle selon les pays

Il existe différentes manières de communiquer à l’étranger. Avant de vous manifester pour votre conférence ou séance de coaching, faites quelques petites recherches sur la culture du pays où vous comptez vous rendre : les coutumes,  les pratiques, les manières … Par exemple, la façon d’aborder une personne en Asie n’est pas la même qu’en France ou en Europe. Faites toujours attention à vos gestes. D’ailleurs, ces différences culturelles peuvent aussi exister entre les Américains et nos voisins européens. 

Pourquoi développer son activité de coach, formateur ou conférencier à l’international ?

Se donner l’opportunité d’élargir son champ de travail permet sans conteste d’avoir un meilleur cadre de vie. Être coach, formateur ou conférencier international est un des objectifs les plus ambitieux de ce métier. Développer son activité à l’international a des buts bien précis : sensibiliser plus de monde, trouver plus de clients, augmenter la taille de son marché et viser un chiffre d’affaires toujours plus élevé.

Différences à l’étranger = dans un autre pays que son pays d’origine / à l’international = dans plusieurs pays

Les moyens de développer son activité sont multiples. Et il existe des différences entre développer son business sur place, dans son pays d’origine et développer son business à l’étranger. 

S’établir dans un autre pays donne l’opportunité de voir par soi-même l’évolution de ce qui est entrepris, par le biais de rencontres physiques avec les clients, mais aussi par les événements auxquels l’on assiste (conférences, évènements networking, etc.).

Quoiqu’il soit aujourd’hui possible de piloter une entreprise à distance via les moyens digitaux,  privilégier la communication physique renforce votre image et optimise votre travail. 

Avantages et contraintes d’une activité à l’international (se déplacer souvent, etc.)

Une activité à l’international présente, comme toute autre activité, ses avantages et ses inconvénients.

Certes, les profits sont nombreux du point de vue financier et personnel : avoir plus de clients, visiter de nouveaux horizons, s’enrichir en cultures etc. Mais ces déplacements ne sont pas sans contraintes, notamment la gestion du temps, le temps de récupération, la fatigue générée, les risques de surmenage etc… 

Et Il est aussi essentiel de s’assurer d’une bonne gestion de portefeuille car le pourcentage d’imprévus peut amener à déduire certaines charges de sa poche.

Comment s’y prendre ?

En résumé, pour développer son activité à l’international en tant que coach, formateur ou conférencier, il faut maîtriser plusieurs informations concernant les pays, les moyens de communication, les fautes à ne pas commettre, les avantages et les contraintes qu’il faut prendre en considération. Les pièges et difficultés pour se développer à l’international sont nombreux et souvent inévitables, quel que soit le domaine dans lequel on intervient. Le choix du pays  a un enjeu de taille pour l’évolution de votre carrière ainsi que votre présence sur les réseaux sociaux.

Vous devez aussi anticiper vos premières interventions suffisamment à l’avance en préparant une version de vos conférences en anglais ou dans toute autre langue selon les pays que vous visez. Ne minimisez pas la connaissance de la culture du pays où vous envisagez de promouvoir votre activité, notamment en intégrant l’Europe, les USA et les pays asiatiques.

Vous devrez aussi penser à des détails pratico-pratiques mais indispensables, comme le choix du service bancaire le plus adapté pour votre activité à l’étranger. En effet, il vous faudra bien pouvoir être payé, donc recevoir des paiements depuis l’étranger, et effectuer tout type de transactions sur place ou depuis la France avec le pays que vous visez. Mais quoi qu’il en soit, tout ce que vous entreprendrez dans ce sens vous permettra de progresser énormément, sur le plan du business comme sur le plan personnel. Lancez-vous, vous ne le regretterez pas !

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10 erreurs à éviter pour une intervention médiatique

Un passage média est une formidable opportunité pour une entreprise ou une personne de se faire connaître et d’atteindre un public plus large. Il peut s’agir d’une interview avec un journaliste, d’une invitation sur un plateau télé, d’un reportage dans votre entreprise ou vos locaux, etc. Cependant, pour réussir une intervention médiatique, il est essentiel d’éviter les erreurs courantes qui pourraient nuire à votre image. En effet : si un passage média réussi est un atout, une intervention râtée peut se révéler contre-productive, la pire situation étant de générer un bad buzz…. Dans cet article nous allons donc explorer les 10 principales erreurs à éviter en vue d’une intervention médiatique, pour limiter les risques et mettre toutes les chances de votre côté :

1 – Manque de préparation

La préparation est la clé du succès lors des interviews médiatiques. Il est important de se familiariser avec l’intervieweur et de comprendre les questions potentielles qui pourraient être posées. Cela vous aidera à vous sentir plus confiant et à répondre plus efficacement aux questions.

Il n’y a pas de secret : la réussite d’une intervention en public est proportionnellement corrélée à sa préparation ! Et dans le cas d’un passage média, les effets sont démultipliés – puisqu’il restera un enregistrement qui pourra continuer d’être diffusé et partagé bien longtemps après l’intervention elle-même.

Il faut donc se préparer de la même manière qu’un sportif se prépare – physiquement, mentalement et stratégiquement -, de la même manière qu’un pilote d’avion prépare son plan de vol et doit penser à tous les détails – le carburant, l’état du matériel, le temps exact de chaque segment de vol, la force et la direction du vent, la météo, les pistes et zones sur lesquelles il sera possible d’atterrir s’il y a un problème, etc. – de la même manière qu’un chirurgien doit préparer ses instruments, le déroulé exact de l’opération, bien connaître son patient, avoir fait tous les repérages nécessaires en amont, être parfaitement coordonné avec toutes les autres personnes qui ont un rôle déterminant à jouer dans la réussite de l’opération : l’anesthésiste, l’infirmier, etc.

Au fond c’est cela se préparer : penser à tout. De A à Z. Et tout particulièrement à ce qui pourrait mal se passer et aux solutions qu’il serait alors possible de mobiliser…

2 – Ne pas connaître son public

Il est important de comprendre votre public cible avant de participer à une interview. Cela vous aidera à adapter votre message et à vous assurer que vous communiquez efficacement.

L’erreur fréquente, en vue d’une intervention quelle qu’elle soit, est de ne penser qu’au message que l’on veut faire passer. En réalité, le message ne s’élabore que dans un second temps de la préparation, après avoir clairement identifié le public auquel on s’adresse ainsi qu’au média à travers lequel on s’exprime.

La conscience la plus précise de la configuration médiatique est l’une des clefs du succès. Pour que la communication soit réussie, il faut déjà être au clair sur le public que l’on cible. Ensuite, se demander si le media qui nous a sollicité nous permet d’atteindre ce public, ou est cohérent par rapport à notre stratégie de communication. Chaque support médiatique ou émission a son style éditorial, son ton, son approche, ses thèmes de prédilection… Ne partez pas dans l’idée que tout passage médiatique est bon à prendre ! Au contraire, gardez en tête qu’un passage raté peut se révéler terriblement contre-productif… Parfois, dire non est la meilleure solution.

3 – Utilisation de jargon

L’utilisation de jargon peut rendre votre message difficile à comprendre pour le public. Il est important d’utiliser un langage clair et simple pour communiquer efficacement.

Un minimum de langage technique peut être pertinent pour assoir votre expertise sur le sujet. C’est une forme d’argument d’autorité. Mais pas d’excès, respectez un bon dosage au risque de rendre vos paroles imbuvables ! 20% de vocabulaire technique pour 80% de vocabulaire simple, vous reconnaissez le ratio de Pareto, c’est ce qu’il faut !

4 – Manque de clarté

Il est important de communiquer clairement et directement lors des interviews médiatiques. Cela aidera à éviter toute confusion ou malentendu.

De la même manière qu’il faut éviter l’abus de jargon technique, il faut tout autant limiter les formulations trop complexes. Faites des phrases courtes, concises, claires et directes. Faites simple. Allez à l’essentiel. (Evitez d’embarrasser votre public : « embrassez-le » !)

5 – Éviter les questions difficiles

Il est facile d’éviter les questions difficiles ou de donner des réponses vagues. Cependant, cela peut nuire à votre crédibilité et à votre réputation. Il est important de répondre honnêtement et directement aux questions, même si elles sont difficiles.

C’est le cœur du media training : préparer ces questions épineuses ou polémiques, s’entraîner à y faire face sans broncher, sans sourciller, au contraire en faire la meilleure occasion de révéler votre sincérité !

Dans un précédent article nous avons présenter 4 façons de répondre à tout type de questions, en résumé voici comment se préparer aux questions pièges :

  • Réfléchissez aux questions autant qu’à l’intervention elle-même. Ne pensez pas seulement à ce que vous voulez dire mais aussi à ce que les autres voudraient vous faire dire, notamment vos contradicteurs.
  • Quel que soit le sujet, réfléchissez aux questions qui vous seront très probablement posées, les plus évidentes mais aussi les plus inattendues, les plus tordues, et toutes les critiques possibles que vos ennemis pourraient vous adresser…
  • Classez toutes les questions par catégories. Préparez des réponses-types par catégories de questions, c’est-à-dire des réponses qui peuvent être données quelle que soit la question de la catégorie qui est posée et quelle que soit la façon dont elle est posée.
  • Pour chaque catégorie, préparez une réponse « idéale » qui donne suffisamment d’éléments informatifs pour donner le sentiment que vous répondez bien à la question sans vous défiler…
  • Ne refusez jamais de répondre à une question. Lorsqu’on vous pose une question, évitez de penser au pire. Concentrez-vous sur ce qui est dit, écoutez très attentivement chaque question et voyez dans quelle catégorie elle peut rentrer. Vous avez alors une réponse toute prête, pas la peine de s’affoler en se demandant quoi répondre.
  • Ne dites jamais : « Je ne peux pas répondre à cette question » ou « Je refuse de répondre à cette question » ! Si vous êtes vraiment embarrassé, ne le laissez pas paraître. Tenez-vous bien droit, maintenez un fort contact visuel avec la personne qui vous a posé la question, n’ayez pas peur d’un silence dominé.
  • Prenez tout votre temps. Prenez le temps de reformuler les questions, surtout les plus difficiles : c’est également une façon de montrer votre considération et d’éviter les mauvaises interprétations. Et ce sont tout autant de secondes de gagnées pendant lesquelles réfléchir et identifier les mots-clefs qui vous permettront de rattacher la question à l’une des grandes catégories que vous avez préparées !

D’où l’importance de la préparation, on y revient toujours…

6 – Éviter les pauses

Il est important de prendre des pauses pour réfléchir avant de répondre aux questions. Cela vous aidera à formuler une réponse plus efficace et à éviter de vous précipiter.

D’une façon générale, et cela rejoint le dernier point précédent, n’ayez pas peur des silences. Utilisez le « silence tactique » : ne vous précipitez pas pour répondre. Dès les premières questions, même si elles sont simples, marquez une (légère) pause avant de prononcer le moindre mot. Ainsi, chaque fois que vous vous tairez, tout le monde pensera que c’est normal, que c’est votre style, votre façon de parler, personne n’imaginera que vous êtes en train d’hésiter.

Inversement, si vous répondez à chaque fois du tact-au-tac, si vous vous précipitez sans jamais prendre le temps de souffler, les moments où vous marquerez un arrêt risqueront d’être interprétés comme des hésitations, des mises en difficulté, même si ce n’est pas le cas…

Je parle de « silence tactique » car c’est une véritable tactique pour maquiller vos véritables hésitations mais aussi pour limiter le temps d’exposition au risque de questions difficiles : plus vous prenez de temps, moins on pourra vous poser de questions…

7 – Ignorer les signaux corporels

Les signaux corporels peuvent en dire long sur la manière dont vous vous sentez pendant l’interview. Il est important de faire attention à votre langage corporel pour communiquer efficacement avec votre public.

Apprenez à déceler les tics et signes de trac et de nervosité, c’est une compétence clef pour (auto)analyser ses passages media et faire du media training !

8 – Manque de préparation technique

Il est important de s’assurer que tout l’équipement technique est en bon état de fonctionnement avant l’interview. Cela aidera à éviter les problèmes techniques qui pourraient nuire à l’interview.

Un micro mal fixé, un spot mal dirigé, une chaise mal réglée… De petits détails peuvent avoir de grosses conséquences.

Quand on n’en a pas l’expérience, prendre place la toute première fois sur un plateau télé peut se révéler très intimidant. Avoir les spotlights qui s’allument en pleine face peut surprendre, on peut se sentir aveuglé et complétement déstabilisé. Tout autant de moments délicats qui risquent de nuire à votre image. C’est aussi à ça que peut servir le média training, notamment en studio : pour appréhender et s’habituer à un environnement inhabituel, ne pas être surpris ou du moins pouvoir travailler sur nos réactions dans une telle situation pour ne pas donner le sentiment qu’on est déstabilisé.

9 – Ne pas suivre les règles de l’interview

Il est important de suivre les règles de l’interview, telles que les limites de temps et les sujets à éviter. Cela aidera à maintenir la qualité de l’interview et à éviter toute confusion ou malentendu.

Cela rejoint les 5 premiers points : quand vous avez clairement identifié votre public et le média, vous savez ce que quoi vous devez vous concentrez mais aussi les sujets ou considérations que vous devez absolument éviter ! Vous devez identifier les « propos interdits ». Cela fait partie d’une préparation minutieuse : préparer ce que l’on a à dire autant que préparer ce que l’on ne doit surtout pas dire. Et s’y tenir.

10 – Manque de confiance en soi

La confiance en soi est essentielle lors des interviews médiatiques. Cela vous aidera à communiquer efficacement et à transmettre votre message de manière convaincante.

Rien de pire qu’une personne mal à l’aise à la télé : cela se voit aussitôt, cela se ressent dans l’expression, les signes de trac et de nervosité… Le media training vous permettra d’identifier tous ces signes pour les gommer progressivement. De la même manière que vos pros doivent être clairs et précis, votre image doit être la plus nette possible.

Ne partez pas avec l’idée que vous voulez « être naturel ». Personne n’est naturel face à l’objectif d’une caméra sur un plateau télé. C’est une activité de professionnels qui nécessite beaucoup de technique et de pratique. Si vous voulez passer dans les médias, vous devez vous donner les moyens de vos ambitions et faire des séances de media training pour ne pas vous laisser surprendre bêtement comme un débutant. Le manque de préparation n’est pas une preuve de « naturel » ou d’authenticité, c’est uniquement une preuve de bêtise ou de naïveté. Et dites-vous bien qu’après un passage média raté…les journalistes ne vont pas se précipiter pour vous rappeler ! Inversement, si vous êtes à l’aise, bien préparé, que vous jouez le jeu et que vous donnez au journaliste ce qu’il attend pour réaliser une bonne émission, soyez sûr qu’il gardera votre contact et pourra vous recommander pour d’autres émissions.

Si vous avez donc l’ambition de passer dans les médias ou que c’est un aspect central de votre stratégie de communication, faites bien attention à ces erreurs hélas très fréquentes ! En évitant ces 10 erreurs courantes, vous vous donnez toutes les chances de réussir vos interviews médiatiques et améliorer votre image de marque.

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5 éléments à prendre en compte pour fixer le tarif de vos formations

La tarification est un aspect délicat de l’activité de coach ou formateur. Il y a plusieurs façon d’envisager vos tarifs, que ce soit à l’heure, la journée, à l’objectif ou à la mission… Mais même une fois vos tarifs fixés, il est parfois nécessaire ou pertinent de pouvoir les ajuster. Voici plusieurs paramètres à prendre en compte pour ajuster ou ré-ajuster le tarif de vos formations : les frais de déplacement, les frais d’hébergement, la taille de l’audience, le type d’événement, et enfin la demande, qui peut quant à elle varier par rapport à des critères inattendus comme la période ou le mois dans l’année ou encore l’évolution du secteur et donc de la concurrence ! Voyons tout cela en détail :

Les frais de déplacement et d’hébergement

Lorsque vous facturez vos frais de déplacement et d’hébergement pour les événements qui ont lieu hors de votre ville, voici quelques conseils à suivre :

  1. Établir une politique de remboursement claire : Établissez une politique de remboursement claire pour vos frais de déplacement et d’hébergement, en spécifiant les conditions dans lesquelles ces frais seront pris en charge par le client. Vous pouvez demander un remboursement intégral, dans ce cas vous devrez généralement transmettre toutes les factures et les reçus, gardez-les biens et faites-en des copies. Si le client dispose d’un budget limité, vous pouvez convenir d’un remboursement partiel des dépenses. Enfin, vous pouvez aussi proposer un forfait défraiement, dans ce cas c’est à vous de faire correspondre vos dépenses à ce montant, car si le montant est dépassé cela empiétera sur votre marge. Mais si vous parvenez à dépenser moins, c’est tout autant de profit en plus !
  2. Inclure les frais de déplacement et d’hébergement dans votre devis : Incluez les frais de déplacement et d’hébergement directement dans votre devis initial pour éviter toute confusion ou malentendu ultérieur. Une stratégie de tarification peut être d’inclure par défaut un forfait défraiement dans tous vos devis, même pour les formations qui se déroulent à proximité de chez vous. Dans ce dernier cas, vous aurez d’autant plus de marge de manœuvre pour ajuster le prix si le client a un budget limité et/ou qu’il négocie à la baisse…
  3. Utiliser des tarifs standard : Utilisez des tarifs standard pour vos frais de déplacement et d’hébergement en fonction des distances à parcourir et des coûts de l’hébergement dans les différentes villes. Frais kilométriques, prix moyen d’un repas du midi / du soir, prix moyen d’une chambre d’hôtel standard dans une petite ville / ville moyenne / grande agglomération / région parisienne etc.
  4. Fournir des justificatifs : Fournissez des justificatifs pour vos frais de déplacement et d’hébergement, tels que des factures de transport, des factures d’hébergement, ou des reçus de repas.
  5. Établir un accord écrit : Établissez un accord écrit avec le client pour les frais de déplacement et d’hébergement avant l’événement, en spécifiant les frais qui seront pris en charge par le client et les frais qui seront pris en charge par vous-même.

En résumé, pour facturer vos frais de déplacement et d’hébergement pour les événements qui ont lieu hors de votre ville, vous devez établir une politique de remboursement claire, inclure les frais dans votre devis, utiliser des tarifs standard, fournir des justificatifs, et établir un accord écrit avec le client. En suivant ces conseils, vous pourrez facturer vos frais de manière juste et transparente pour vous et pour le client.

La taille de l’audience et le type d’évènement

Peut-être y avez-vous déjà songé mais vous ne voyez pas forcément comment vous y prendre… Comment facturer vos services de formation en art oratoire en fonction de la taille de l’audience et du type d’événement ?

Pour ajuster les tarifs de vos formations en art oratoire en fonction de la taille de l’audience et du type d’événement, voici quelques conseils à suivre :

  1. Établir une grille tarifaire : Établissez une grille tarifaire en fonction de la taille de l’audience et du type d’événement. Par exemple, vous pouvez facturer un tarif différent pour une formation en ligne, une formation en personne, ou une formation dans un lieu de prestige.
  2. Facturer par personne ou par groupe : Vous pouvez facturer en fonction du nombre de participants à la formation. Si vous facturez par personne, vous pouvez proposer des tarifs dégressifs en fonction du nombre de participants. Si vous facturez par groupe, vous pouvez proposer un tarif forfaitaire pour l’ensemble du groupe.
  3. Tenir compte du temps de préparation : N’oubliez pas de tenir compte du temps de préparation nécessaire pour la formation. Le temps de préparation peut varier en fonction de la taille de l’audience et du type d’événement.
  4. Tenir compte des frais annexes : N’oubliez pas de tenir compte des frais annexes tels que les frais de déplacement, les frais d’hébergement, les frais de location de salle ou les frais de matériel. Et puis les imprévus ! On en a beaucoup parlé dans cet article : comment évaluer correctement vos services pour proposer un tarif juste et compétitif ?
  5. Proposer des offres promotionnelles : Proposez des offres promotionnelles en fonction de la taille de l’audience et du type d’événement. Par exemple, vous pouvez offrir une réduction pour une formation en ligne pour un petit groupe, ou une offre spéciale pour une formation dans un lieu de prestige pour une grande audience. On a abordé le sujet ici : 3 stratégies de tarification pour vendre plus et vendre mieux

En résumé, pour facturer vos services de formation en art oratoire en fonction de la taille de l’audience et du type d’événement, il est important d’établir une grille tarifaire, de facturer par personne ou par groupe, de tenir compte du temps de préparation, des frais annexes et de proposer des offres promotionnelles. En suivant ces conseils, vous pourrez proposer une tarification juste et transparente pour vos services de formation en art oratoire.

Ajustez vos tarifs en fonction de la demande

Pensez aussi à la possibilité d’ajuster vos tarifs en fonction de la demande pour mes services de formation en art oratoire. Mais si l’idée est séduisante en théorie, comment faire en pratique ? Voici quelques conseils à suivre :

  1. Surveiller la demande : Surveillez la demande pour vos services de formation en art oratoire en fonction des saisons, des événements, ou des tendances du marché.
  2. Proposer des tarifs promotionnels : Proposez des tarifs promotionnels pour stimuler la demande en période de baisse, ou pour attirer de nouveaux clients. Les promos doivent être un outil stratégique. Mais attention à ne pas en abuser, le risque est d’en faire un usage « désespéré » en espérant attirer de trop rares clients en vous bradant…
  3. Offrir des prestations exclusives : Offrez des prestations exclusives pour attirer les clients les plus exigeants et les plus fidèles, tels que des formations de plusieurs semaines, des sessions de coaching personnalisées, ou des outils de suivi individualisé. Si vous ne vendez pas assez, ce n’est pas forcément en quantité mais peut-être aussi en qualité. Essayez de vous repositionner avec une nouvelle offre, peut-être que vous ne vendrez pas plus mais vous vendrez plus cher ! C’est une stratégie bien plus pertinente et moins risquée que la stratégie précédente des « promos »…
  4. Établir des tarifs saisonniers : Établissez des tarifs saisonniers pour ajuster vos tarifs en fonction de la demande pendant les périodes de haute saison ou de basse saison.
  5. Adapter les tarifs en fonction de la concurrence : Surveillez les tarifs pratiqués par vos concurrents et ajustez vos tarifs en conséquence pour rester compétitif. Encore une fois, compétitif ne veut pas forcément dire « moins cher ». Le tarif est cher ou pas cher en fonction de la valeur perçue de ce que vous proposez, c’est donc sur le contenu de votre formation que vous devez travailler en priorité, ainsi que sur votre marque personnelle et le marketing de votre offre en général.

En résumé, pour ajuster vos tarifs en fonction de la demande pour vos services de formation en art oratoire, vous devez surveiller la demande, proposer des tarifs promotionnels, offrir des prestations exclusives, établir des tarifs saisonniers et adapter les tarifs en fonction de la concurrence. En trouvant un équilibre entre ces différents éléments, vous pouvez ajuster vos tarifs pour répondre à la demande et rester compétitif sur le marché de la formation en art oratoire.

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