Archives

Comment faire une bonne première impression dès les 3 premières secondes

Allons, soyons francs… Combien d’entre nous regrette de ne pas faire assez de rencontres ? Pourtant, les occasions ne manquent pas vraiment. Nous sortons dans ce but, nous restons des heures dans les bars et les boites de nuit pour cela, nous sommes heureux d’être invités à des soirées… Mais une certaine timidité nous retient trop souvent.

Faites-vous partie des personnes qui ne sont absolument pas timides ? Tant mieux pour vous ! Mais attention, peut-être semblez-vous trop confiant, limite arrogant… Pour les autres, reconnaissons notre problème : nous sommes timides. Oui. Tellement timides que c’est presque difficile à admettre. Mais en toute honnêteté, c’est pour ça que nous manquons tant d’occasion de faire de nouvelles rencontres, amicales ou plus si affinités… Même les personnes que nous côtoyons souvent nous semblent difficiles à aborder ! En fait, plus le temps passe plus il est difficile d’aller faire connaissance avec quelqu’un que l’on côtoie déjà sans le connaître.

Par exemple : vous emménagez dans un nouvel immeuble. Pendant un ou deux mois, vous croisez vos voisins tous les jours mais vous ne leur adressez jamais plus qu’un rapide « bonjour »… Dans les premières semaines vous souriez, puis vous avez le regard de plus en plus fuyant car vous n’allez jamais plus loin que ce fugace « bonjour ». Jusqu’au moment où vous atteignez ce seuil critique, à partir duquel il devient alors de plus en plus inconfortable d’engager la conversation pour proposer un café ou demander un service…

Un couple d’amis vous invite à une soirée avec une vingtaine d’invités que vous ne connaissez pas. Super, voilà une nouvelle occasion, dans un contexte idéal ! Super ? Vraiment ? Lorsque vous arrivez, vous foncez vers vos amis et passez la première heure à discuter avec eux dans un coin. Que se passe-t-il lorsqu’ils doivent partir plus tôt que prévu et que vous vous retrouvez tout seul ? Pas très agréable d’aller se présenter à des personnes que vous avez plus ou moins évitées jusque là, n’est-ce pas ?

Aloors, comment faire pour dépasser ces blocages et profiter de ces situations ? Prenez plutôt l’initiative du contact au cours des 3 premières secondes d’une rencontre. Cela évite les situations inconfortables décrites précédemment. C’est aussi très apprécié (le plus souvent inconsciemment) par votre interlocuteur : il n’a pas à faire le premier pas et sera donc d’autant plus indulgent si votre approche est quelque peu maladroite. Sauf si c’est un con – dans ce cas, pas de regret ! Enfin, cela ne vous laisse pas le temps d’être freiné par la timidité et coupe court immédiatement à votre dialogue intérieur. En effet : plus vite vous agissez, moins vous avez le temps de tergiverser.

Reprenons l’exemple de la soirée : commencez par vous présenter brièvement au maximum de participants lorsque vous arrivez. Un large sourire, une poignée de main franche pour les hommes ou une petite bise pour les princesses et quelques mots de courtoisie du genre « Bonjour, ravi de faire ta connaissance »… Voilà qui est largement suffisant pour initier le contact, et qui fera toute la différence !

D’ailleurs, le seul fait de croiser quelqu’un pour la première fois est en soi un prétexte suffisant pour établir le contact. Par contre, c’est un prétexte très éphémère, il faut saisir l’occasion aussitôt qu’elle se présente, dans les premières secondes de la rencontre ! Alors profitez-en tout de suite… dans les 3 premières secondes. Dans les 2 premières secondes si vous êtes encore plus audacieux !

Partagez sur vos réseaux

L’évolution de l’éloquence : De la Grèce antique à nos jours

L’éloquence, l’art de parler avec aisance, a traversé les âges et les civilisations, subissant de nombreuses transformations tout en conservant son essence. Les médias sont apparus et se sont développés, depuis la radio jusqu’aux hologrammes et la réalité virtuelle en passant par internet et les réseaux sociaux… Mais les objectifs sont restés les mêmes, et la capacité à persuader repose toujours sur l’habileté de celui qui s’exprime, son aisance et sa facilité à gagner la confiance de son public ou de ses interlocuteurs. Découvrons ensemble les différentes étapes qui ont marqué l’évolution de l’éloquence, depuis la Grèce antique jusqu’à nos jours.

I. L’éloquence dans la Grèce antique

L’éloquence en tant qu’art

C’est à Corax que l’on doit le premier manuel de rhétorique connu à ce jour. Dans la Grèce antique, l’éloquence était considérée comme un art à part entière, une compétence précieuse pour les citoyens. Elle permettait de convaincre, de séduire et de rallier les foules à une cause. Les orateurs étaient des personnages clés de la vie politique et sociale. C’est ce qui amena Démosthène à devenir l’un des plus grands orateurs de tous les temps

Les sophistes et la rhétorique

Les sophistes furent les premiers à enseigner l’éloquence en tant que discipline. Ils développent la rhétorique en tant qu’ensemble de techniques permettant de convaincre et de persuader. Parmi les figures célèbres de cette époque, on retrouve Gorgias, Protagoras et Isocrate.

Platon et Aristote

Platon et Aristote ont également contribué au développement de l’éloquence. Platon, dans ses dialogues, met en scène des personnages qui débattent et argumentent. Aristote, quant à lui, a écrit un ouvrage fondamental sur la rhétorique, dans lequel il expose les bases de l’art oratoire et établit un lien entre l’éloquence et la philosophie.

II. L’éloquence romaine

L’influence grecque

L’éloquence a continué de se développer dans la Rome antique, où elle fut largement influencée par la culture grecque. Les Romains ont adapté les techniques rhétoriques grecques à leur propre contexte, donnant naissance à une tradition oratoire spécifique.

Les grands orateurs romains

Parmi les orateurs les plus célèbres de l’époque romaine, on compte Cicéron et Sénèque. Cicéron a écrit plusieurs traités sur l’éloquence, dont le célèbre De Oratore, dans lequel il décrit les qualités requises pour être un bon orateur. Il aborde également les différents styles oratoires et la manière de les utiliser successivement. Sénèque, pour sa part, a enseigné la rhétorique à Néron et a laissé derrière lui plusieurs œuvres majeures.

III. L’éloquence au Moyen Âge et à la Renaissance

L’éloquence médiévale

Au Moyen Âge, l’éloquence prend une dimension religieuse. Les prêches et les sermons deviennent les principaux vecteurs de l’art oratoire. Les techniques rhétoriques sont adaptées pour servir la foi et diffuser les enseignements de l’Église.

L’éloquence humaniste

La Renaissance voit l’émergence d’une nouvelle forme d’éloquence, inspirée de l’Antiquité : l’éloquence humaniste. Les grands orateurs de cette période, tels que Érasme ou Thomas More, cherchent à concilier les valeurs chrétiennes et les idéaux de l’Antiquité. Ils redécouvrent les textes anciens et s’en inspirent pour élaborer leurs propres discours.

IV. L’éloquence classique

Le Grand Siècle

Le Grand Siècle français est marqué par un essor exceptionnel de l’éloquence. Les orateurs de cette époque, tels que Bossuet, Racine et La Fontaine, cherchent à sublimer la langue française et à exprimer leurs idées avec élégance et précision. Dans la perspective de la rhétorique classique, la structure du discours éloquent respecte un format et des étapes bien précises, desquels on peut toujours s’inspirer aujourd’hui.

Les grands genres de l’éloquence classique

L’éloquence classique se manifeste à travers différents genres littéraires. Le théâtre est l’un des principaux vecteurs de l’éloquence, avec des auteurs tels que Molière et Corneille. L’éloquence se retrouve également dans la poésie, la prédication et les mémoires.

V. L’éloquence moderne et contemporaine

L’éloquence politique et révolutionnaire

L’époque moderne est marquée par un renouveau de l’éloquence, avec l’avènement de la Révolution française. Les discours de Danton, Robespierre et Mirabeau témoignent de la force de l’éloquence politique pour mobiliser les masses et défendre des idées.

L’éloquence au XXe siècle

Au XXe siècle, l’éloquence continue de se développer dans de nouveaux contextes. Les discours de Martin Luther King, Charles de Gaulle et Winston Churchill marquent l’histoire par leur force de persuasion et leur impact sur les événements. La télévision fait son apparition et parallélement émerge en tant que discipline à part entière la communication politique, ou « com’pol » pour les intimes. L’offre s’étoffe avec le media training et toutes les déclinaisons possibles de l’art oratoire en situation… La préparation au débat contradictoire, typique du débat politique et des clashs télévisés, s’inspire souvent très directement de Schopenhauer et son « art d’avoir toujours raison » !

L’éloquence à l’ère numérique

À l’ère du numérique, l’éloquence prend de nouvelles formes. Les TED Talks, les podcasts et les discours en ligne permettent aux orateurs de toucher un public toujours plus vaste. Les techniques de l’éloquence continuent d’évoluer pour s’adapter à ces nouveaux médias et capter l’attention des auditeurs. Il est crucial pour l’orateur contemporain, le conférencier ou même le formateur, de prendre en compte ces aspects techniques et les innovations technologiques pour rendre ses interventions plus dynamiques et captiver le public.

Conclusion : quelle sera la prochaine évolution ?

En somme, l’éloquence a traversé les âges et les civilisations, évoluant sans cesse pour s’adapter aux contextes et aux enjeux de chaque époque. De la Grèce antique à nos jours, l’art de bien parler et de persuader demeure une compétence essentielle, aussi bien dans le domaine politique que dans la sphère privée. C’est une toute nouvelle rhétorique qui émerge aujourd’hui, qui change dans sa forme et de par les médias utilisés, mais qui repose toujours sur l’aspect fondamental de l’orateur : son humanité, sa volonté de bien faire et de persuader dans un but bien précis, pour faire avancer une cause ou un projet et se rapprocher d’un idéal qui l’anime viscéralement…

Partagez sur vos réseaux

Surmonter les barrières culturelles grâce à l’éloquence

Dans sa définition la plus simple, l’éloquence est l’art de s’exprimer avec aisance… L’éloquence est un art oratoire qui permet de s’exprimer de manière claire, persuasive et captivante. Dans un monde de plus en plus connecté, la maîtrise de cette compétence est primordiale pour abattre les barrières culturelles et faciliter la communication entre individus de différentes origines.

I. Les bienfaits de l’éloquence dans un contexte multiculturel

  1. Favoriser la compréhension mutuelle : L’éloquence permet de transmettre des idées et des opinions de manière claire et précise, favorisant ainsi une meilleure compréhension entre les personnes issues de différentes cultures.
  2. Faciliter la coopération et le travail d’équipe : Une communication efficace est essentielle pour travailler en équipe et collaborer sur des projets. L’éloquence contribue à établir un climat de confiance et facilite les échanges.
  3. Promouvoir l’intégration et l’inclusion : L’éloquence permet de mettre en valeur les points de vue et les idées de chacun, favorisant ainsi un environnement inclusif où toutes les voix sont entendues et respectées.

II. Comment développer son éloquence pour combler les écarts culturels

  1. Améliorer sa maîtrise de la langue : Une bonne connaissance de la langue utilisée est essentielle pour être éloquent. Il est important de travailler son vocabulaire, sa grammaire et sa prononciation afin de pouvoir s’exprimer de manière claire et précise. Bien sûr, vous améliorer en anglais est certainement la première chose à faire ! Ensuite, vous pourrez facilement préparer une version de votre conférence en anglais ainsi qu’un CV en anglais.
  2. S’informer sur les différentes cultures : La connaissance des différentes cultures permet de mieux comprendre les attentes et les valeurs de chacun. Cette compréhension facilite la communication et contribue à abattre les barrières culturelles. Si l’anglais est si important dans votre vie professionnelle, c’est parce qu’il permet de communiquer partout dans le monde (et pas seulement en Angleterre et aux USA bien évidemment !!). Pour développer votre activité de conférencier à l’étranger, une approche interculturelle est primordiale.
  3. Pratiquer l’écoute active : L’écoute active est une compétence clé pour être éloquent. Elle permet de comprendre les besoins et les attentes de son interlocuteur et d’adapter son discours en conséquence. En d’autres termes : avant de parler et de vous faire comprendre, apprenez à écouter et à comprendre l’autre ! Et ainsi vous aurez déjà fait plus de la moitié du travail…

III. Techniques pour améliorer son éloquence dans un contexte interculturel

  1. Utiliser des exemples concrets : Les exemples concrets permettent de rendre son discours plus accessible et compréhensible pour un public varié. Ils facilitent également la mémorisation des idées présentées.
  2. Varier les registres de langage : Il est important d’adapter son registre de langage en fonction de son interlocuteur et du contexte. Un langage trop soutenu ou trop familier peut créer une distance et entraver la communication.
  3. Maîtriser l’art de la rhétorique : La rhétorique est l’art de convaincre et de persuader. Pour être éloquent, il est essentiel de maîtriser les techniques de la rhétorique, telles que les figures de style, l’argumentation ou encore la structuration du discours.

IV. Les défis de l’éloquence dans un contexte multiculturel

  1. Les barrières linguistiques : Les différences linguistiques peuvent être un obstacle à la communication et à l’éloquence. Il est important de surmonter ces barrières en apprenant d’autres langues ou en ayant recours à des outils de traduction.
  2. Les différences culturelles : Les divergences culturelles peuvent entraîner des malentendus ou des incompréhensions. Il est essentiel de s’informer sur les us et coutumes des autres cultures pour éviter ces difficultés.
  3. Les stéréotypes et les préjugés : Les stéréotypes et les préjugés peuvent nuire à la communication interculturelle. Il est important de les identifier et de les combattre pour favoriser une communication ouverte et respectueuse.

V. Exemples de succès dans la communication interculturelle grâce à l’éloquence

  1. Les conférences internationales : Les conférences internationales réunissent des personnes de différentes cultures pour échanger sur des sujets variés. L’éloquence est un atout majeur pour ces événements, car elle permet de présenter des idées de manière claire et persuasive. Pourquoi ne pas devenir vous-même conférencier international ?
  2. Les entreprises multinationales : Les entreprises multinationales opèrent dans un environnement interculturel et ont besoin de collaborateurs capables de communiquer efficacement. L’éloquence facilite les échanges entre collègues et permet de mener à bien des projets d’envergure internationale.
  3. La diplomatie : La diplomatie repose en grande partie sur la capacité à communiquer et à convaincre. L’éloquence est donc essentielle pour les diplomates, qui doivent être en mesure de défendre les intérêts de leur pays dans un contexte multiculturel.

En guise de conclusion : une meilleure communication, c’est une meilleure compréhension…

En somme, l’éloquence est une compétence précieuse pour surmonter les défis liés aux écarts culturels. Elle favorise la compréhension mutuelle, facilite la coopération et promeut l’intégration et l’inclusion. Pour développer son éloquence, il est important de travailler sa maîtrise de la langue, de s’informer sur les différentes cultures et de pratiquer l’écoute active. Les techniques d’éloquence, telles que l’utilisation d’exemples concrets, la variation des registres de langage et la maîtrise de la rhétorique, sont également essentielles pour communiquer efficacement dans un contexte interculturel. En surmontant les défis liés aux barrières linguistiques, aux différences culturelles et aux stéréotypes, l’éloquence peut véritablement contribuer à combler les écarts culturels et à créer un monde plus uni et harmonieux.

Partagez sur vos réseaux

Les 5 étapes fondamentales par lesquelles doit passer tout bon orateur

Art oratoire Cicéron 5 étapes

Cicéron fut un immense orateur, une référence en matière d’éloquence. Homme d’Etat romain ayant vécu un siècle avant J.C., il a rédigé de nombreux ouvrages et manuels de rhétorique.

Dans son ouvrage majeur sur l’« orateur idéal », intitulé en latin De oratore, Cicéron expose les grands principes de l’art oratoire. Il établit notamment les 5 étapes fondamentales par lesquelles doit passer, selon lui, tout bon orateur. Il s’agit de :

  • L’inventio (en latin, pour « invention ») : c’est la capacité à trouver des idées en fonction d’un sujet donné, des exemples et des arguments… L’inventio repose autant sur notre créativité que sur nos connaissances, parmi lesquelles puiser. Pour Cicéron, la constitution d’une solide culture historique, scientifique et philosophique est un corollaire indispensable à l’apprentissage de l’art oratoire. Tout bon orateur se doit d’entretenir une vaste culture générale.
  • La dispositio : une fois ces idées trouvées, encore faut-il les organiser correctement, les assembler de manière cohérente pour développer une argumentation convaincante. La dispositio correspond à la fois à la logique (argumentation) et à la rhétorique (l’ordre du discours selon Cicéron).
  • L’elocutio : c’est la rhétorique au sens de figures de style, de mots, d’idées, tournures de phrases, grammaire et vocabulaire à employer. L’élocutio est la « mise en mots » des idées, qu’il faut ensuite prononcer. C’est en quelques sortes ce que nous appelons aujourd’hui le « style ». Le travail de la voix (timbre, modulations, volume, diction et articulation) est à mi-chemin entre l’elocutio et l’actio
  • L’actio : l’action désigne la gestuelle et le langage corporel, autrement dit faire agir le corps tout entier après avoir surtout fait travailler l’esprit pour trouver et organiser nos idées. Une bonne gestuelle permet de décupler son impact à l’oral, être plus compréhensible et mieux faire passer ses messages. C’est le domaine privilégié dans quasiment toutes les formations en communication, media training etc. Voici ce que répondait Démosthène (que Cicéron considérait comme le plus grand orateur de l’histoire) à la question de savoir quelles étaient selon lui les trois choses les plus importantes en art oratoire : « la première chose la plus importante est… l’action. La deuxième chose la plus importante est… l’action. Et la troisième chose… l’action » !
  • La memoria, ou mémoire : c’est un domaine assez peu connu de l’art oratoire. Pourtant, il est nécessaire de bien se souvenir de tout ce que l’on veut dire, avoir en tête le plan de son discours ou les grandes étapes de son argumentation logique, et connaître par coeur les chiffres, statistiques, mots d’auteurs et références que l’on veut citer. Cicéron utilisait certains moyens mnémotechniques pour apprendre ses longs discours, notamment la méthode dite « des lieux ». (Je vous en dirai davantage dans un prochain article cette semaine…)

D’ailleurs, puisque nous parlons de mémoire, voici mon petit truc mnémo- technique pour me souvenir de ces 5 étapes dans l’ordre (pour celles et ceux qui sont déjà familiers des associations d’idées) :

  1. L’inventio en 1, commence par « in » = homonyme de « un »
  2. Dispositio commence par D, comme Deux
  3. En 3 l’elocutio, la lettre E ressemble un peu à un 3 inversé
  4. L’actio en 4, car quatre est le seul chiffre à contenir la lettre « a »
  5. Enfin la mémoire commence par un M, qui a 5 points

Partagez sur vos réseaux

Inde, Chine, Japon : comment développer votre activité de conférencier dans ces pays ?

Développer votre activité de conférencier en Inde, en Chine ou au Japon peut être une entreprise extrêmement rentable et enrichissante sur tous les plans (sur le plan financier bien sûr, mais aussi et surtout personnel, en termes de rencontres et de découvertes !), toutefois cela peut aussi comporter des risques, des contraintes et des difficultés. Il faut les avoir en tête et s’y préparer… Si vous êtes prêt à relever ces défis, cet article est fait pour vous ! Nous allons examiner les raisons pour lesquelles vous devriez envisager de devenir conférencier en Inde ou dans un autre pays d’Asie, les obstacles que vous pourriez rencontrer et les stratégies que vous pouvez utiliser pour réussir.

Dans une première partie nous allons parler de l’Inde, dans la deuxième partie du Japon, et enfin de la Chine dans une troisième et dernière partie. Cela dit, malgré les spécificités de chacun de ces pays, la plupart des conseils se recoupent, vous gagnerez donc à lire l’article en entier même si vous n’êtes intéressé que par l’une ou deux de ces destinations !

  1. Pourquoi se tourner vers l’Inde ?
  2. Les bonnes raisons d’envisager le Japon
  3. Devenir conférencier en Chine

I. Pourquoi se tourner vers l’Inde ?

L’Inde est un marché émergent en pleine croissance et elle offre de nombreuses opportunités pour les conférenciers internationaux. En effet, l’Inde est un pays diversifié qui regorge de cultures, de langues et de traditions. Cela signifie qu’il existe un besoin constant de formation et de sensibilisation pour aider les gens à mieux comprendre et à interagir avec cette diversité.

De plus, l’Inde est le deuxième pays le plus peuplé du monde et compte une population jeune et dynamique qui est de plus en plus connectée à l’économie mondiale. Cela signifie que les entreprises et les organisations ont besoin de conférenciers pour les aider à mieux comprendre les tendances économiques mondiales et à adopter des pratiques commerciales innovantes.

Lancer son activité en Inde : risques et contraintes

Bien qu’il y ait de nombreuses raisons de devenir conférencier en Inde, il y a également des risques et des contraintes à prendre en compte. L’un des principaux défis est la diversité culturelle et linguistique. L’Inde compte de nombreuses langues différentes et les coutumes et les traditions peuvent varier considérablement d’une région à l’autre. Cela signifie que les conférenciers doivent être conscients de ces différences et être en mesure de s’adapter en conséquence.

Un autre défi est la concurrence. L’Inde est un marché en croissance rapide, mais cela signifie également qu’il y a une concurrence féroce pour les opportunités de conférence. Les conférenciers doivent être prêts à se démarquer de la concurrence en proposant des sujets originaux et en offrant une valeur ajoutée aux organisateurs de conférence.

Enfin, la logistique peut être un défi. Les voyages en Inde peuvent être difficiles et il peut être difficile de trouver des hébergements fiables et de qualité. Les conférenciers doivent être prêts à planifier soigneusement leurs voyages et à travailler avec des organisateurs de conférence professionnels pour s’assurer que toutes les exigences logistiques sont satisfaites.

Comment réussir en tant que conférencier en Inde ?

Malgré les risques et les contraintes, il est possible de réussir en tant que conférencier en Inde. Voici quelques stratégies que vous pouvez utiliser pour vous démarquer de la concurrence et atteindre le succès :

1. Comprenez la culture indienne

La culture indienne est complexe et variée. Pour réussir en tant que conférencier en Inde, vous devez être conscient de ces différences culturelles et être en mesure de vous adapter en conséquence. Apprenez autant que possible sur la culture indienne, y compris les coutumes, les traditions et les pratiques commerciales. Cela vous aidera à mieux comprendre votre public et à vous connecter avec eux de manière plus authentique.

Vous devez offrir une véritable valeur ajoutée aux organisateurs de conférence, que ce soit en Inde ou ailleurs. Les organisateurs de conférence recherchent des conférenciers qui apportent une valeur ajoutée à leurs événements. Pour réussir en tant que conférencier en Inde, vous devez donc être prêt à offrir quelque chose de différent et d’utile. Plus vous aurez une compréhension fine de la culture du pays où vous vous trouvez, mieux vous pourrez répondre à ces attentes. C’est pourquoi lancer son activité à l’étranger ne s’improvise pas : le pays que vous visez doit vous parler, vous devez le connaître, l’aimer, vous devez avoir envie de vous y fondre totalement, d’y vivre pleinement, et pas seulement de le traverser ponctuellement et brièvement comme un simple touriste en quête d’exotisme…

2. Créez un sujet unique

Pour réussir en tant que conférencier en Inde, vous devez être en mesure de proposer un sujet unique qui intéressera votre public cible. Évitez les sujets génériques et optez pour des thèmes qui sont pertinents et utiles pour votre public indien. Par exemple, vous pouvez parler des dernières tendances commerciales mondiales et de leur impact sur l’Inde ou des pratiques commerciales innovantes qui peuvent aider les entreprises indiennes à réussir sur la scène internationale.

3. Développez votre réseau

Pour réussir en tant que conférencier en Inde, il est important de développer votre réseau professionnel. Connectez-vous avec des organisateurs de conférence, des professionnels du secteur et des collègues conférenciers pour établir des relations solides. Vous pouvez également envisager de rejoindre des groupes de réseautage en ligne et hors ligne pour établir des contacts et trouver de nouvelles opportunités.

4. Planifiez soigneusement vos voyages

La planification de voyages peut être un défi en Inde. Assurez-vous de planifier soigneusement vos voyages en prenant en compte les différences culturelles, les exigences logistiques et les conditions météorologiques. Travaillez avec des organisateurs de conférence professionnels pour vous assurer que toutes les exigences logistiques sont satisfaites et que votre voyage se déroule en toute sécurité.

5. Soyez prêt à vous adapter

Enfin, pour réussir en tant que conférencier en Inde, vous devez être prêt à vous adapter aux défis uniques que vous pourriez rencontrer. Cela peut inclure la communication avec des interprètes ou des traducteurs, la gestion de situations imprévues ou la négociation avec des partenaires commerciaux indiens. Soyez ouvert d’esprit et prêt à vous adapter à toutes les situations pour réussir en tant que conférencier en Inde.

En conclusion, devenir conférencier en Inde peut être une entreprise enrichissante et lucrative, mais cela peut également comporter des risques et des défis. Pour réussir en tant que conférencier en Inde, vous devez être prêt à comprendre la culture indienne, à offrir une valeur ajoutée aux organisateurs de conférence, à proposer un sujet unique, à développer votre réseau professionnel, à planifier soigneusement vos voyages et à vous adapter aux défis uniques que vous pourriez rencontrer. Si vous êtes prêt à relever ces défis, l’Inde offre de nombreuses opportunités pour les conférenciers internationaux.

II. Pourquoi envisager le Japon ?

Développer votre activité de conférencier au Japon peut être une entreprise rentable et enrichissante, mais cela peut également comporter des risques, des contraintes et des difficultés. Si vous êtes prêt à relever ces défis, la suite de cet article est fait pour vous. Nous allons examiner les raisons pour lesquelles vous devriez envisager de devenir conférencier au Japon, les obstacles que vous pourriez rencontrer et les stratégies que vous pouvez utiliser pour réussir.

Le Japon est un pays avec une économie florissante et une culture riche. Les entreprises et les organisations japonaises sont toujours à la recherche de conférenciers internationaux qui peuvent les aider à améliorer leurs pratiques commerciales et à mieux comprendre les tendances économiques mondiales. En tant que conférencier international, vous pouvez apporter une valeur ajoutée en partageant votre expérience et votre expertise avec les professionnels japonais.

De plus, le Japon est un pays où la culture de la formation est très forte. Les Japonais sont connus pour leur désir d’apprendre et leur engagement envers l’amélioration continue. Cela signifie qu’il existe un marché pour les conférenciers qui peuvent aider les entreprises et les organisations à améliorer leurs performances et à atteindre leurs objectifs.

Risques et contraintes au pays du soleil levant

Bien qu’il y ait de nombreuses raisons de devenir conférencier au Japon, il y a également des risques et des contraintes à prendre en compte. L’un des principaux défis est la barrière de la langue. Bien que de nombreux professionnels japonais parlent anglais, en réalité l’anglais est globalement mal maîtrisés et peu appréciés, les Japonais éviteront de s’y confronter : il y aura donc toujours une plus forte demande pour les conférenciers qui peuvent s’exprimer en japonais. Si vous ne parlez pas japonais, vous pouvez envisager de travailler avec un interprète, mais dans ce cas il faudra compenser en mettant en avant une marque personnelle très forte liée à vos origines !

Un autre défi est la concurrence. Le marché japonais est très compétitif, et même extrêmement compétitif, et peut-être plus qu’ailleurs il peut être difficile de se démarquer de la concurrence. Les conférenciers doivent être prêts à proposer des sujets uniques et à offrir une valeur ajoutée aux organisateurs de conférence pour attirer l’attention et obtenir des opportunités. C’est aussi ce qui rend le Japon intéressant si vous avez un projet solide et une stratégie puissante.

Enfin, la logistique peut être un immense défi. Les voyages au Japon peuvent notamment être très coûteux, que ce soit les vols pour vous y rendre depuis la France, l’hébergement ou encore les transports sur place. Les conférenciers doivent être prêts à planifier soigneusement leurs voyages et à travailler avec des organisateurs de conférence professionnels pour s’assurer que toutes les exigences logistiques sont satisfaites.

Comment réussir en tant que conférencier au Japon ?

Malgré les risques et les contraintes, il est possible de réussir en tant que conférencier au Japon. Voici quelques stratégies que vous pouvez utiliser pour vous démarquer de la concurrence et atteindre le succès :

1. Offrez une valeur ajoutée aux organisateurs de conférence

Comme vu précédemment pour l’Inde et en réalité pour n’importe où dans le monde, les organisateurs de conférence recherchent des conférenciers qui apportent une valeur ajoutée à leurs événements. Pour réussir en tant que conférencier au Japon, vous devez donc être prêt à offrir quelque chose de différent et d’utile. Vous pouvez proposer des idées novatrices et pertinentes pour les professionnels japonais, ou partager des exemples concrets qui ont déjà été mis en pratique avec succès dans d’autres pays.

2. Comprenez la culture japonaise

La culture japonaise est unique et complexe. Pour réussir en tant que conférencier au Japon, vous devez être conscient de ces différences culturelles et être en mesure de vous adapter en conséquence. Apprenez autant que possible sur la culture japonaise, y compris les coutumes, les traditions et les pratiques commerciales. Cela vous aidera à mieux comprendre votre public et à vous connecter avec eux de manière plus authentique.

3. Proposez un sujet unique

Pour réussir en tant que conférencier au Japon, vous devez être en mesure de proposer un sujet unique qui intéressera votre public cible. Évitez les sujets génériques et optez pour des thèmes qui sont pertinents et utiles pour votre public japonais. Par exemple, vous pouvez parler des dernières tendances commerciales mondiales et de leur impact sur le Japon, ou des pratiques commerciales innovantes qui peuvent aider les entreprises japonaises à réussir sur la scène internationale.

4. Développez votre réseau

Pour réussir en tant que conférencier au Japon, il est important de développer votre réseau professionnel. Connectez-vous avec des organisateurs de conférence, des professionnels du secteur et des collègues conférenciers pour établir des relations solides. Vous pouvez également envisager de rejoindre des groupes de réseautage en ligne et hors ligne pour établir des contacts et trouver de nouvelles opportunités.

5. Planifiez soigneusement vos voyages

La planification de voyages peut être un défi au Japon. Assurez-vous de planifier soigneusement vos voyages en prenant en compte les différences culturelles, les exigences logistiques et les conditions météorologiques. Travaillez avec des organisateurs de conférence professionnels pour vous assurer que toutes les exigences logistiques sont satisfaites et que votre voyage se déroule en toute sécurité.

6. Soyez prêt à vous adapter

Enfin, pour réussir en tant que conférencier au Japon, vous devez être prêt à vous adapter aux défis uniques que vous pourriez rencontrer. Cela peut inclure la communication avec des interprètes ou des traducteurs, la gestion de situations imprévues ou la négociation avec des partenaires commerciaux japonais. Soyez ouvert d’esprit et prêt à vous adapter à toutes les situations pour réussir en tant que conférencier au Japon.

En résumé, devenir conférencier au Japon peut être une entreprise enrichissante et lucrative, mais cela peut également comporter des risques et des défis. Pour réussir en tant que conférencier au Japon, vous devez être prêt à comprendre la culture japonaise, à offrir une valeur ajoutée aux organisateurs de conférence, à proposer un sujet unique, à développer votre réseau professionnel, à planifier soigneusement vos voyages et à vous adapter aux défis uniques que vous pourriez rencontrer. Si vous êtes prêt à relever ces défis, le Japon offre de nombreuses opportunités pour les conférenciers internationaux.

III. Pourquoi devenir conférencier en Chine ?

La Chine est un pays avec une économie en croissance rapide et une culture riche. Les entreprises chinoises sont toujours à la recherche de conférenciers internationaux qui peuvent les aider à améliorer leurs pratiques commerciales et à mieux comprendre les tendances économiques mondiales. En tant que conférencier international, vous pouvez apporter une valeur ajoutée en partageant votre expérience et votre expertise avec les professionnels chinois.

De plus, la Chine est un pays où la culture de la formation est très forte. Les Chinois sont connus pour leur désir d’apprendre et leur engagement envers l’amélioration continue. Cela signifie qu’il existe un marché pour les conférenciers qui peuvent aider les entreprises et les organisations à améliorer leurs performances et à atteindre leurs objectifs.

Risques et contraintes

Bien qu’il y ait de nombreuses raisons de devenir conférencier en Chine, il y a également des risques et des contraintes à prendre en compte. L’un des principaux défis est la barrière de la langue. Bien que de nombreux professionnels chinois parlent anglais, il y a toujours une forte demande pour les conférenciers qui peuvent s’exprimer en mandarin. Si vous ne parlez pas mandarin, vous pouvez envisager de travailler avec un interprète.

Un autre défi est la concurrence. Le marché chinois est très compétitif et il peut être difficile de se démarquer de la concurrence. Les conférenciers doivent être prêts à proposer des sujets uniques et à offrir une valeur ajoutée aux organisateurs de conférence pour attirer l’attention et obtenir des opportunités.

Enfin, la logistique peut être un défi. Les voyages en Chine peuvent être coûteux et il peut être difficile de trouver des hébergements fiables et de qualité. Les conférenciers doivent être prêts à planifier soigneusement leurs voyages et à travailler avec des organisateurs de conférence professionnels pour s’assurer que toutes les exigences logistiques sont satisfaites.

Comment réussir en tant que conférencier en Chine ?

Malgré les risques et les contraintes, il est possible de réussir en tant que conférencier en Chine. Voici quelques stratégies que vous pouvez utiliser pour vous démarquer de la concurrence et atteindre le succès :

1. Vous êtes un produit en double vente

Offrez une valeur ajoutée aux organisateurs de conférence. Oui, vous avez bien lu et même relu : comme pour l’Inde, comme pour le Japon, comme pour n’importe où ailleurs, vous devez offrir le maximum de valeur à vos clients ! En tant que conférencier, les organisateurs de conférence doivent tout de suite comprendre le potentiel commercial de votre proposition d’intervention.

Vous devez vous envisagez comme un produit, et vous vendre en tant que produit dans la perspective d’une double vente : ce que vous vendez aux organisateurs de conférence, ce doit être la capacité à vous vendre à leur tour à un maximum de spectateurs !

Les organisateurs de conférence recherchent des conférenciers qui apportent une valeur ajoutée à leurs événements. Pour réussir en tant que conférencier en Chine, vous devez donc être prêt à offrir quelque chose de différent et d’utile. Vous pouvez proposer des idées novatrices et pertinentes pour les professionnels chinois, ou partager des exemples concrets qui ont déjà été mis en pratique avec succès dans d’autres pays. Par exemple, si vous êtes un expert en marketing, vous pouvez partager des stratégies efficaces pour développer une marque en Chine.

2. Comprenez la culture chinoise

La culture chinoise est unique et complexe. Pour réussir en tant que conférencier en Chine, vous devez être conscient de ces différences culturelles et être en mesure de vous adapter en conséquence. Apprenez autant que possible sur la culture chinoise, y compris les coutumes, les traditions et les pratiques commerciales. Cela vous aidera à mieux comprendre votre public et à vous connecter avec eux de manière plus authentique.

3. Proposez un sujet unique

Pour réussir en tant que conférencier en Chine, vous devez être en mesure de proposer un sujet unique qui intéressera votre public cible. Évitez les sujets génériques et optez pour des thèmes qui sont pertinents et utiles pour votre public chinois. Par exemple, vous pouvez parler des dernières tendances commerciales mondiales et de leur impact sur la Chine, ou des pratiques commerciales innovantes qui peuvent aider les entreprises chinoises à réussir sur la scène internationale. Vous pouvez aussi parler de votre propre pays, la France, pays de l’élégance, du luxe, de l’éloquence ! Les cours de savoir-vivre et de bonnes manières se sont beaucoup développés en Chine ces dernières années, de même que les cours pour apprendre à bien se tenir à table, à manier les couverts, etc.

4. Développez votre réseau

Pour réussir en tant que conférencier en Chine, il est important de développer votre réseau professionnel. Connectez-vous avec des organisateurs de conférence, des professionnels du secteur et des collègues conférenciers pour établir des relations solides. Vous pouvez également envisager de rejoindre des groupes de réseautage en ligne et hors ligne pour établir des contacts et trouver de nouvelles opportunités.

5. Planifiez soigneusement vos voyages

La planification de voyages peut être un défi en Chine. Assurez-vous de planifier soigneusement vos voyages en prenant en compte les différences culturelles, les exigences logistiques et les conditions météorologiques. Travaillez avec des organisateurs de conférence professionnels pour vous assurer que toutes les exigences logistiques sont satisfaites et que votre voyage se déroule en toute sécurité.

6. Soyez prêt à vous adapter

Enfin, pour réussir en tant que conférencier en Chine, vous devez être prêt à vous adapter aux défis uniques que vous pourriez rencontrer. Cela peut inclure la communication avec des interprètes ou des traducteurs, la gestion de situations imprévues ou la négociation avec des partenaires commerciaux chinois. Soyez ouvert d’esprit et prêt à vous adapter à toutes les situations pour réussir en tant que conférencier en Chine.

En conclusion, devenir conférencier en Chine, au Japon ou en Inde peut être une entreprise lucrative et stimulante, mais cela peut également comporter des risques et des défis. Pour réussir en tant que conférencier en Chine, en Inde ou au Japon, vous devez être prêt à comprendre la culture chinoise, à offrir une valeur ajoutée aux organisateurs de conférence, à proposer un sujet unique, à développer votre réseau professionnel, à planifier soigneusement vos voyages et à vous adapter aux défis uniques que vous pourriez rencontrer. Si vous êtes prêt à relever ces défis, ces pays offrent de nombreuses opportunités pour les conférenciers internationaux. En appliquant les stratégies mentionnées dans cet article et en travaillant avec des professionnels locaux, vous pouvez réussir en tant que conférencier à l’international et partager votre expérience et votre expertise avec un public avide d’apprendre et de s’améliorer en continu.

Partagez sur vos réseaux

Voyez grand ! Mais restez crédible…

Comment rendre votre idée plus attractive, tout en faisant en sorte qu’elle reste crédible ? Une idée qui n’est pas ambitieuse ne fait pas rêver. Mais une idée trop ambitieuse peut faire peur, ou sembler fausse et exagérée… Il faut donc trouver le juste dosage.

Ce qui compte, c’est avant tout que les gens croient à votre idée, pour qu’ils la retiennent et qu’ils se mettent à en parler autour d’eux. Une idée crédible est plus facilement crue. Mais pour cela la crédibilité doit pouvoir être testée. Certains détails parlants sont plus efficaces qu’une montagne de statistiques. Parfois, une anti-autorité est une bonne autorité.

Astuce : Trouvez un exemple énorme qui ôtera le besoin d’expliquer le reste (« Si je peux le faire ici, je peux le faire partout »).

Par ailleurs, votre idée doit être solide et extérieurement crédible : mentionnez par exemple une autorité externe (scientifique par exemple) donne de la crédibilité au message si elle est mentionnée. Comme évoqué plus haut, ne anti-autorité peut aussi être forte : la femme morte du cancer à 31 ans ou le pneumologue ? L’association gouvernementale des sans-abris ou une personne qui était SDF il y a encore deux ans ? La figure du rebelle ou le contre-exemple peuvent servir à merveille votre propos.

Si votre idée doit être extérieurement crédible, elle doit aussi être intérieurement crédible. Une idée concrète est plus crédible qu’une idée abstraite. Les résultats détaillés d’une étude statistiques comprenant 5 différents pourcentages, ou une équipe de 11 joueurs de football dont 4 seraient X, 5 Y et 2 Z » ? « Un tiers de la classe échouera« , ou « votre voisin de gauche ou de droite échouera, si ce n’est vous » ? Les statistiques doivent illustrer des relations, mais ne doivent pas être votre idée. La crédibilité d’un livreur serait « nous avons livré le dernier volume d’Harry Potter avant la fermeture des bureaux »… L’exemple concret fait ici toute la différence.

Voyez grand, mais sachez raison garder, et référez-vous à des éléments concrets de la vie de tous les jours, ou du quotidien des personnes à qui vous vous adressez. Ainsi le message passera mieux, les gens y croiront et le retiendront, puis n’hésiteront pas à en parler autour d’eux. Le tour est joué !

Partagez sur vos réseaux