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Pourquoi les études ne sont pas faites pour les gens brillants

« Utiles pour les jeunes gens ordinaires, les études universitaires s’avèrent inutiles pour les plus brillants. Nuisibles même. L’université leur inculque le conformisme, bride leur élan créatif, les incite à rester dans les sentiers battus. » Ces propos sont résolument provocateurs, mais pas dénués de fondement. Ils sont rapportées dans un passionnant article paru dans Le Monde sur les initiatives des milliardaires pour concurrencer le système scolaire et universitaire.

Le titre de l’article du Monde est d’ailleurs tout un programme : Start-up : faut-il un diplôme pour réussir ? Et la réponse semble s’imposer comme une évidence : non, et les plus grands innovateurs en témoignent (Steve Jobs, pour ne citer que lui…).

Lire l’article sur le site du Monde.fr : Start-up : faut-il un diplôme pour réussir ?

Certes, ce n’est pas parce qu’on quitte l’université qu’on devient multimillionnaire. Et l’erreur serait de vouloir entreprendre pour entreprendre, quel que soit le projet, quel que soit le domaine, en refusant par principe tout bagage universitaire. En réalité le succès dépend aussi de l’idée, des circonstances, bref, de la chance. Les stars de la Silicon Valley peuvent donc difficilement donner l’exemple.

Mais il y a bien un juste milieu entre le discours anti-universitaire radical d’un Peter Thiel, et le culte du diplôme typiquement français. La créativité, la liberté de penser, la passion et plus encore le génie ne s’enseignent pas dans une salle de classe. Notre société est sclérosée. L’école nous a rendu timide, elle est à l’origine du malaise social qui s’est généralisé en France et dans la plupart des sociétés modernes. Trop de professeurs, si suffisants et imbus d’eux-mêmes, mauvais pédagogues protégés par leurs titres, ne sont plus dignes du pouvoir qu’ils détiennent sur le destin de leurs élèves. Le système universitaire basé sur la cooptation et le léchage de bottes court à sa perte. Un nouveau rapport à l’autorité (morale et intellectuelle) est à inventer. De nouveaux modes d’apprentissage et d’éducation sont à explorer. L’école ne doit plus être envisagée comme la seule voie de salut, l’unique sésame pour réussir.

Pour rédiger un bon CV, si les diplômes et brevets occupent encore une place prédominante dans la mise en forme, c’est surtout l’expérience qu’il convient de mettre en avant, les projets que l’on a menés, les réussites mais aussi les échecs – en mettant habilement en lumière les leçons que l’on a pu en retirer… L’idée que l’on se fait de la réussite évolue, le profil des gens brillants ne correspond plus seulement aux étudiants modèles bardés de diplômes, et c’est une bonne chose pour la société toute entière.

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La difficulté d’enseigner (plus que d’apprendre) une nouvelle langue…

La langue n’est pas une « matière » comme les autres, et ne devrait pas être traitée comme telle dans l’enseignement primaire et secondaire, puis universitaire. Une langue n’est pas constituée d’un ensemble figé de règles et principes immuables. Aucune matière me direz-vous — mais une langue encore moins, car une langue n’a ni début ni fin.

Acquérir la langue

Comment acquiert-on une langue ? Il est formidable d’observer que nous pouvons tous potentiellement parler toutes les langues du monde ! Handicap mis à part, n’importe quel individu est disposé à acquérir la langue du milieu dans lequel il va évoluer dès la naissance. Il n’y a pas de disposition physiologique initiale, selon nos origines ethniques, qui limiterait l’acquisition d’une langue ou d’une autre. La délimitation géographique de notre milieu d’évolution peut avoir une incidence acoustique à la marge (cf. les travaux du docteur Alfred Tomatis), qui réduit à la fois les sons que l’ouïe peut distinguer, et donc que la voix pourrait volontairement tenter de (re)produire. Mais c’est la pratique de la langue elle-même qui fixe les phonèmes élémentaires pour lesquels nous adapterons alors au fil du temps notre diction et notre articulation — et qui nous empêchera de prononcer correctement les phonèmes qui lui échappe. Pour reprendre une formule de la sémioticienne Joëlle Cordesse, « nous sommes tous des polyglottes contrariés » !

Face à cette égalité fondamentale dans notre aptitude initiale à acquérir n’importe quelle langue, comment expliquer cette inégalité apparemment insurmontable dans l’apprentissage et la maîtrise d’une seconde langue ? Dans son livre Apprendre et enseigner l’intelligence des langues, Joëlle Cordesse observe que les « sociétés qui ne bénéficient pas d’une école pour tous sont généralement multilingues, où les individus sont volontiers polyglottes ». Le problème, éminemment paradoxal, est donc l’enseignement. C’est la logique même de l’enseignement dans nos sociétés modernes qui distingue les élèves jugés aptes à s’exprimer dans une nouvelle langue, et les autres élèves, jugés de fait inaptes, découragés et même dégoûtés par l’apprentissage et la pratique d’une langue autre que maternelle. De façon pernicieuse, l’école contribue à nous rendre timide, et de génération en génération elle devient un vecteur du malaise social de nos sociétés modernes.

L’enseignement traditionnel

Car l’enseignement tel que nous le concevons traditionnellement consiste à évaluer ce qui est “correct” et à dénigrer voire à punir ce qui est “incorrect”. Parmi les trentenaires aujourd’hui, qui garde un bon souvenir des classes d’anglais quand il était petit ? Si c’est le cas pour vous, c’est que vous étiez jugé apte et encouragé — tant mieux. Les autres comme moi étaient sans cesse repris, brimés dans leur expression spontanée jusqu’à être sommés de se taire, récoltaient mauvaises notes et désapprobation du professeur, quand ce n’était pas railleries ou moqueries. Tant et si bien que l’on finit par ironiser sur ce qui est ressenti comme une incapacité fondamentale pour laquelle on ne peut de toute façon rien faire. On ne cherche même plus à faire l’effort de corriger son accent, on exagère volontairement certaines fautes grossières, et on finit par délaisser la “matière”. Résultat généralisé pour les Français : un niveau d’anglais jugé faible par rapport au reste du monde (enquête EF EPI 2015 : la France occupe la 37ème place sur 70 pays testés).

Les méthodes traditionnelles d’enseignement des langues étrangères sont trop formelles, rigides et peu soucieuses des besoins et motivations véritables des apprenants. Une langue s’apprend par-delà la langue. Pour faire envie, pour donner envie de l’apprendre, une langue doit se raconter, à travers une histoire qui entre en résonance avec nos envies, nos désirs et nos espoirs.

Les manuels scolaires nous ont habitué au contraire : la langue est utilisée pour raconter des histoires, souvent sans queue ni tête, et c’est rarement “l’histoire de la langue” (de ceux qui la parlent, du ou des pays où elle se parle…) qui est racontée. L’approche de la culture, quand elle existe, fait trop souvent référence à une culture “classique” et néglige les aspects plus contemporains, les modes et les tendances, les us et coutumes des jeunes, les aspects plus “underground” ou “branché” (et même ce terme “branché” est déjà trop ringard pour désigner ce qui intéresse et attire vraiment les jeunes…).

La seule obligation d’une bonne note à l’école ou d’une compétence professionnelle de plus à afficher sur un CV n’est pas suffisante. C’est d’abord tel héros ou telle star — parlant cette langue — que nous décidons parfois secrètement de suivre, c’est pour des individus, des cultures et des histoires que nous pouvons nous passionner, et rarement pour la langue en tant que telle (à moins d’être linguiste dans l’âme). Ce qui nous motive, plus ou moins consciemment, ce sont les aptitudes et possibilités offertes par la connaissance de la langue, que nous “mettons en récit” en imaginant et en (ré)écrivant notre scénario de vie. Subordonner ces rêves et ces espoirs à la seule obtention d’une “bonne note” revient à les annihiler.

L’étrangeté de la langue

L’apprentissage doit pouvoir se faire dans un grand bain d’essais où l’erreur n’est pas seulement tolérée mais encouragée, comme passage obligé de tâtonnements et d’expérimentations avant de pouvoir formuler des phrases “correctes” (ou du moins compréhensibles) dans une nouvelle langue. Dans cette perspective, les exercices — de découverte de “l’étrangeté” d’une langue étrangère — proposés par Joëlle Cordesse sont fabuleux (Cf. Apprendre et enseigner l’intelligence des langues). L’approche neurolinguistique — qui élude notamment le bachotage stérile des règles grammaticales — développée et portée entre autres par Claude Germain et Michel Paradis mérite aussi d’être davantage expérimentée par les institutions scolaires et universitaires (ce qui impliquerait en partie de revoir les impératifs des programmes habituels, jusqu’aux modalités des examens).

L’enseignement des langues gagnerait à s’appuyer davantage sur la narration, le récit, le scénario de vie, et plus généralement la communication. Il est surprenant d’observer à quel point les spécialistes des langues (et les enseignants en général…) peuvent se révéler de bien piètres communicants.

Le contrôle strict des connaissances par régurgitation de listes de vocabulaire indigestes, de structures grammaticales figées, à restituer principalement à l’écrit, plombe l’apprentissage des langues étrangères et explique pour une large part la faiblesse des Français dans ce domaine. Les « cours de langue » tels que nous les avons longtemps conçus n’ont plus lieu d’être. La notion même de note pour évaluer la maîtrise d’une langue est une absurdité totale. Il faut ré-introduire le plaisir et les désirs de l’apprenant au cœur de son apprentissage, et lui offrir la possibilité de prolonger et d’élargir sa propre histoire, en la mêlant avec celle de la langue avec laquelle il veut essayer de la raconter.

Finalement, quand on envisage d’apprendre une langue en étant totalement en dehors d’une « école » ou disons hors du système éducatif traditionnel, on se rend compte qu’il existe énormément de moyens et d’astuces très efficaces et ludiques ! Découvrir par exemple : 5 conseils décisifs pour progresser rapidement en anglais. Pensez à ces méthodes alternatives pour vous remettre à l’apprentissage d’une langue : c’est une si bonne chose de pouvoir indiquer la maîtrise d’une ou plusieurs langues étrangères pour valoriser votre CV. D’autant plus si vous envisagez un jour de devenir formateur ou conférencier international, qui sait ?

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La rhétorique de Schopenhauer : peut-on vraiment avoir toujours raison ?

L’art d’avoir toujours raison est un petit ouvrage décapant du philosophe allemand Arthur Schopenhauer (L’art d’avoir toujours raison est disponible aux Éditions des mille et une nuits pour 2 euros 50 – c’est à cette édition que nous renvoyons concernant les passages cités dans l’article qui suit).

Il s’agit d’une compilation de techniques et stratagèmes utilisés pour se tirer d’un mauvais pas lors d’un débat, éviter l’embarras au cours d’une discussion, et d’une façon générale l’emporter sur ses contradicteurs dans tout type d’échange d’idées. C’est une sorte de « best of » de la mauvaise foi du philosophe. Comme l’explique Schopenhauer, prouver par A + B que l’un de ses contradicteurs a tort ne suffit pas : autant déformer les idées qu’il défendait pour provoquer véritablement leur rejet. A l’inverse, il faut parfois déformer les siennes propres pour mieux les faire accepter. Tenter à tout prix de développer une argumentation rationnelle a tôt fait d’agacer un interlocuteur ou d’ennuyer ses auditeurs. Un débat est une joute oratoire sans pitié, où l’esprit juste se révèle rarement le meilleur allié de l’idée vraie.

L’art de la guerre appliqué au débat

Schopenhauer est mort en 1860. Paru en 1864, L’art d’avoir toujours raison est donc un ouvrage posthume, constitué à partir de notes qui n’étaient pas toutes destinées à la publication. C’est en effet pour son usage personnel que le philosophe consignait les différentes techniques et astuces qui lui permettaient de surmonter la controverse et briller dans les débats. Vu leur redoutable efficacité, il pouvait certainement craindre qu’elles ne tombent entre n’importe quelles mains. Il se les réservait, comme on se réserve une botte secrète quand on part au combat. Car c’est exactement ça : pour Schopenhauer, le débat est un combat. Prenant le contre-pied de toute une tradition philosophique, qui ne pensait la discussion qu’entre honnêtes gens et envisageait tout échange d’idées comme quête commune de vérité, Schopenhauer réinterprète le dialogue comme confrontation verbale, à travers laquelle le but est d’exploiter les failles et faiblesses de ses interlocuteurs. La discussion confine au conflit et il faut s’y engager l’esprit guerrier.

Le débat est un combat

Cette métaphore du combat est explicite et assumée tout au long de l’ouvrage. Usant de formules telles que : « …battre l’adversaire à armes égales », « dans les règles de ce combat… », Schopenhauer dépeint le débatteur comme un parfait bretteur. Il fait le parallèle avec un « maître d’arme préparant un duel » et précise que « toucher et parer, c’est cela qui importe ».

Le terme même de « stratagème », par lequel il nomme toute figure rhétorique, désigne à l’origine un procédé tactique propre à l’armée. Chaque interlocuteur devient un adversaire duquel il faut triompher – qu’il faut au besoin écraser, neutraliser, détruire. L’art d’avoir toujours raison apparaît comme un véritable manuel de tactique militaire appliquée à la parole et à la confrontation verbale. Rompu à l’exercice des débats en tout genre, et toujours de haut niveau intellectuel, Schopenhauer nous offre nombre d’exemples et de cas pratiques à travers lesquels s’affirme toute la puissance de sa rhétorique.

Le double jeu de la rhétorique

La rhétorique est l’art de la persuasion. Son statut est ambigu : pratique héritée des philosophes de la Grèce antique, elle fascine autant qu’elle inspire la méfiance. Tout le monde convient en effet qu’il vaut mieux être convaincant plutôt que déplaisant, séduire plutôt que dégouter, susciter l’adhésion plutôt que le rejet. Mais peu de gens assumeraient de tromper ou manipuler les autres délibérément, et personne ne supporte de l’être. Nous avons généralement, dans le fond, un certain idéal de vérité. Toutefois, la rhétorique n’est pas seulement l’apanage des menteurs et autres manipulateurs. Même quand on a raison, même lorsqu’on est persuadé de détenir la vérité, on peut avoir besoin de la rhétorique pour défendre son point de vue.

La rhétorique a donc un double usage : de la part de nos contradicteurs, possibles menteurs ou manipulateurs, mais également de notre part à nous, pourfendeurs des illusions et faux-semblants ! Pour quiconque, en effet, la connaissance de ces techniques permet de les déceler chez ses adversaires. C’est pourquoi Schopenhauer déclare que la mission première des rhéteurs est « d’élaborer et d’analyser les stratagèmes de la malhonnêteté dans la controverse afin que, dans les débats réels, on puisse les reconnaître immédiatement et les réduire à néant » (page 17). En retour, il faut tout autant oser utiliser ces stratagèmes malhonnêtes, afin d’instaurer l’équité dans le combat avec l’adversaire : « il faut même souvent y avoir recours soi-même pour battre l’adversaire à armes égales » (page 15). C’est au nom de la vérité qu’il faut parfois exagérer voire mentir un petit peu…

38 stratagèmes rhétoriques

Dans L’art d’avoir toujours raison, ce sont pas moins de trente-huit stratagèmes (trente-sept + un « ultime ») qui sont présentés dans le menu détail, permettant tour à tour d’attaquer l’adversaire et de s’en défendre. Conquérir le terrain du débat en imposant sa thèse, et contrer les tentatives de l’adversaire d’exposer la sienne. Bombarder son interlocuteur de mots destructeurs, ou esquiver ses foudres déclamatoires. Car, à défaut de remporter la victoire, si l’on n’est plus capable de triompher, il faut toutefois empêcher l’adversaire d’y parvenir, ou de le laisser nous détruire – le match nul existe aussi dans les débats.

Certains stratagèmes reposent sur la faiblesse de nos interlocuteurs (Stratagème 8, page 33 : mettre l’adversaire en colère), d’autres font appel au public (Stratagème 28, page 45 : faire rire l’auditoire), d’autres encore dépendent de notre assurance ou nos connaissances (Stratagème 30, page 48 : l’argument d’autorité). Tous peuvent être adaptés à nos discussions au quotidien, du moindre bavardage entre amis aux grands débats en public.

A retenir : Schopenhauer est un philosophe allemand du XIXe siècle. Pour lui, il faut connaître la rhétorique autant pour la démasquer chez ses adversaires que pour l’utiliser à son tour et rivaliser ainsi à « armes égales ».

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Pour vous lancer dans un débat contradictoire, ayez l’ESTOMAC bien accroché !

Nous l’avons souvent répété sur ce blog : le débat est un combat. Du moins faut-il se placer dans cette perspective belliqueuse lorsqu’un contradicteur nous apostrophe et nous prend à parti. Dans cet étrange combat qu’est le débat, les mots deviennent des armes, et c’est pourquoi il faut apprendre à les manier comme on manie une lame tranchante. Une lame affûtée peut tout autant pourfendre l’adversaire que se retourner contre nous si on l’utilise mal…

Quand on s’engage dans un débat, il faut donc avoir l’esprit guerrier et garder en tête les objectifs qui en découlent : au minimum, maintenir sa position (ne pas se faire déstabiliser ou ridiculiser par son adversaire) ; au mieux, retourner son interlocuteur, le mettre face à ses contradictions, ou convaincre le public qui nous entoure peut-être lors de cette joute verbale.

Se préparer à un débat contradictoire est donc un exercice particulier, tout aussi important que le débat en lui-même. A vrai dire, le débat tournera court pour celui qui ne s’y est pas préparé, ou mal préparé. Voici donc un moyen mnémotechnique inspiré du domaine militaire pour se préparer à un débat « en mode combat » : E.S.T.O.M.A.C.

On dit de quelqu’un qu’il a « l’estomac bien accroché » s’il est solide mentalement, capable de supporter des situations difficiles, en un mot : résistant. C’est justement cette attitude qu’il faut avoir quand on part au combat.

Dans l’armée française, l’acronyme « ESTOMAC » est un moyen mnémotechnique utilisé au combat pour designer dans l’ordre : Ennemi / Secteur de surveillance / Terrain à surveiller / Ouverture du feu / Moyen d’alerte / Amis / Chef. Explications :

Quand on poste un soldat quelque part, on peut définir les éléments clefs de sa mission en récapitulant les points successifs E.S.T.O.M.A.C : quelle est la nature de l’ennemi à identifier, quelles sont les limites du secteur à surveiller, par quoi se caractérise le terrain ainsi surveillé, dans quelles conditions faut-il être prêt à ouvrir le feu, par quels moyens est-il possible de passer l’alerte (radio, fréquence, moyens de substitution s’il y a une panne, fumigène, fusée de détresse…), et enfin un rappel des « amis » ou alliés (qui pourraient par exemple traverser le secteur surveillé, mais qu’il ne faudrait pas confondre avec des ennemis et ne surtout pas leur tirer dessus !), et enfin le chef, ou l’autorité à laquelle rendre compte des mouvements suspects et de l’évolution de la situation.

De même, le débatteur qui s’engage dans un débat contradictoire à la manière d’un combattant peut faire sienne cette formule, en l’adaptant bien évidemment à la configuration spécifique de la joute verbale, dont la violence est surtout symbolique et bien éloignée de la violence réelle du terrain militaire. Exemple d’un homme politique invité à une table ronde sur un plateau télé, qui pourrait ainsi récapituler les points clefs de la situation :

Ennemi : qui sont réellement ses contradicteurs ? Même si le journaliste ne lui est pas forcement sympathique, ce n’est pas lui son véritable opposant, et ce n’est pas non plus lui qu’il peut convaincre. De même, les membres des partis différents du sien ne sont pas tous ses ennemis, il peut miser sur un appui de circonstance pour contrer un invité en particulier. Il doit donc être très au clair sur qui est véritablement un ennemi frontal et direct pour lui.

Secteur : Il s’agira ici des thèmes et sujets abordés, sur fond de l’actualité. Notre homme politique doit clairement délimiter ses positions et domaines d’interventions, et ne pas se laisser embarquer au-delà par le journaliste ou un contradicteur. Des que le sujet dérive, il doit s »efforcer de recentrer le débat. Eventuellement, refuser de répondre à certaines questions qu’il qualifiera alors de hors sujet, ou totalement déplacées.

Terrain : la « nature » du terrain sera ici l’angle d’approche des différents thèmes et sujets. S’agit-il de privilégier une approche strictement économique ? Purement statistique ? Précisément chiffrée ? Ou s’ouvrir à des considérations plus « philosophiques, plus « humanistes » ? En fonction, préparer ses dossiers, c’est-à-dire rassembler les chiffres et/ou citations que l’on compte exploiter.

« Ouverture du feu » : fixer à l’avance les « points chauds » sur lesquels on montera tout de suite au créneau. Des que notre contradicteur aborde l’un de ces points, on ne le laisse pas passer, on réagit vivement et on le démonte immédiatement.

Moyens d’alerte : si nécessaire, prévoir quelques stratagèmes de détournement, en espérant ne pas avoir à les utiliser… Si le conseiller en communication de l’homme politique est présent dans le public, s’assurer de pouvoir établir avec lui un contact visuel afin de se transmettre des infos (par exemple, le conseiller peut mettre un doigt sur sa bouche pour indiquer qu’il ne faut pas en dire davantage sur tel ou tel sujet, etc., ainsi c’est plutôt lui qui donne l’alerte).

Amis : en écho au premier point « ennemis », identifier à l’avance et pendant le débat les appuis et alliances de circonstance. Il est préférable d’éviter de se mettre tout le monde à dos, même si on a toujours du mal à ne pas être en total désaccord avec quiconque n’est pas de notre parti…

Chef : bien identifier les différentes autorités qui régissent le débat. En premier lieu : le journaliste. C’est lui qui donne la parole, la reprend, pose un sujet, passe à un autre, et tente de faire respecter le temps de parole de chaque invité. Il faut se plier à ses règles, au risque de s’en faire un ennemi très malvenu. Autorité supérieure au journaliste : la production, ou pour le dire ainsi la chaine de télé elle-même. Bien se rappeler qu’on ne passe pas à la télé pour réellement faire avancer un débat, mais avant tout pour offrir une sorte de spectacle aux téléspectateurs afin de les retenir entre deux pages de publicités. Le but pour les invités est donc de « jouer leur rôle » du mieux possible, et accepter de servir avant tout une entreprise de divertissement, donc ne pas trop se prendre au sérieux non plus.

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Conférenciers, coachs, formateurs : le monde est a portée de main !

Travailler à l’étranger est un rêve pour de nombreuses personnes, surtout pour ceux qui cherchent à élargir leur horizon et à acquérir de nouvelles expériences professionnelles. Pour les conférenciers, les coachs et les formateurs, cette opportunité est encore plus excitante, car elle leur permet de partager leurs connaissances et leur expertise avec des publics internationaux. Mais comment trouver des opportunités de travail à l’étranger ? Dans cet article, nous allons explorer les différentes options qui s’offrent à vous en tant que conférenciers, coachs et formateurs, et vous donner des conseils pratiques pour maximiser vos chances de trouver un travail à l’étranger.

1. Trouver des emplois à l’étranger en ligne

Internet reste une ressource inestimable pour trouver des opportunités professionnelles à l’étranger, même en temps que conférencier. La logique des coachs et formateurs ou conférenciers est souvent de tout miser sur leur propre marketing, faire leur publicité en espérant que les clients viennent les trouver et les solliciter. Mais il existe de nombreux sites web qui publient des offres d’emploi pour les conférenciers, les coachs et les formateurs à l’étranger. Ces sites web vous permettent de rechercher des emplois en fonction de votre emplacement préféré et de votre domaine d’expertise. Ce qui ne vous empêche pas de développer en parallèle votre propre site web et plus globalement votre marque personnelle !

Lors de votre recherche d’emploi en ligne, il est important de vous assurer que le site web est fiable et qu’il publie des offres d’emploi authentiques. Vous pouvez également vous inscrire à des alertes d’emploi pour recevoir des mises à jour par courriel sur les offres d’emploi correspondant à vos critères.

2. Faire appel à une agence de recrutement

Les agences de recrutement sont une autre option pour trouver des emplois à l’étranger. Les agences de recrutement ont des relations établies avec des entreprises et des organisations à l’étranger, ce qui leur permet de trouver des opportunités d’emploi pour les conférenciers, les coachs et les formateurs.

Lorsque vous travaillez avec une agence de recrutement, il est important de leur fournir des informations détaillées sur votre expérience professionnelle et vos compétences, le profil de vos précédents clients, etc. Cela les aidera à trouver des offres d’emploi qui correspondent à vos qualifications. Mais cela implique aussi que vous ayez déjà des références et une certaine expérience, pour ne pas dire une solide expérience, avant d’essayer de vous lancer à l’étranger.

Vous pouvez également discuter avec l’agence de recrutement de vos préférences de travail, comme le pays ou la région où vous souhaitez travailler.

3. Utiliser les réseaux professionnels

C’est peut-être le meilleur moyen de trouver rapidement des contacts et des partenaires où que vous soyez dans le monde ! En plus des sites d’annonces et des agences locales de recrutement, les réseaux professionnels sont également une excellente ressource pour trouver des emplois à l’étranger. Les conférenciers, les coachs et les formateurs peuvent rejoindre des groupes professionnels en ligne pour établir des contacts avec d’autres professionnels de leur domaine et découvrir des opportunités d’emploi.

Il est également important de se connecter avec des professionnels de votre domaine sur les réseaux sociaux professionnels comme LinkedIn. Ces connexions peuvent vous aider à trouver des emplois à l’étranger et vous donner des conseils sur la façon de maximiser vos chances de trouver un emploi.

4. Participer à des conférences et des événements internationaux

Les conférences et les événements internationaux sont une excellente occasion de rencontrer des personnes de votre domaine et de découvrir des opportunités d’emploi à l’étranger. Les conférences internationales attirent des professionnels du monde entier, ce qui en fait un excellent moyen de réseauter et d’apprendre sur de nouvelles opportunités.

Une fois que vous avez trouvé des offres d’emploi à l’étranger, il est important de préparer votre candidature de manière professionnelle. Assurez-vous que votre CV et votre lettre de motivation sont adaptés aux exigences de l’emploi et à la culture du pays où vous postulez. Il est également important de bien comprendre les normes et les coutumes du pays où vous postulez pour maximiser vos chances de réussite.

En outre, il est important de se préparer à vivre à l’étranger en faisant des recherches sur la culture, la langue et le mode de vie du pays. Cela peut vous aider à vous adapter à votre nouvel environnement plus facilement.

5. Se préparer à une rude concurrence !

De nos jours, de plus en plus de personnes cherchent à élargir leurs horizons en travaillant à l’étranger. Cela peut être une expérience enrichissante, mais pour les conférenciers, coachs et formateurs, cela peut également représenter une opportunité de développement professionnel. Mais si cette perspective est attractive, elle attire en conséquence beaucoup de monde, donc une large concurrence. La concurrence est d’autant plus rude que ce sont souvent les meilleurs profils qui se projettent dans une carrière à l’international ! Voici donc quelques clés supplémentaires pour réussir à travailler en tant que conférencier, coach ou formateur à l’étranger :

Comment se préparer pour l’étranger

Pour réussir à travailler à l’étranger en tant que conférencier, coach ou formateur, il est important de se préparer. Voici quelques conseils pour vous aider :

  1. Développez votre réseau professionnel. Il est important de se connecter avec d’autres professionnels de votre secteur dans le pays où vous souhaitez travailler. Vous pouvez le faire en participant à des événements professionnels, en rejoignant des groupes en ligne ou en établissant des contacts avec des entreprises locales.
  1. Améliorez vos compétences linguistiques. Si vous souhaitez travailler dans un pays où la langue est différente de la vôtre, il est important de développer vos compétences linguistiques. Vous pouvez le faire en prenant des cours de langue ou en pratiquant avec des locuteurs natifs.
  2. Étudiez le marché du travail local. Il est important de connaître les tendances du marché du travail dans le pays où vous souhaitez travailler. Cela vous permettra de mieux comprendre les opportunités disponibles et de vous préparer à répondre aux besoins des entreprises locales.
  3. Soyez flexible. Travailler à l’étranger peut impliquer des ajustements importants, il est donc important d’être ouvert d’esprit et flexible. Cela peut inclure des ajustements tels que la façon dont vous travaillez ou la façon dont vous vous connectez avec les clients.

Comment trouver des clients à l’étranger

Pour trouver des clients à l’étranger, il est important de développer une stratégie de marketing efficace. Voici quelques conseils pour vous aider :

  1. Utilisez les réseaux sociaux. Les réseaux sociaux peuvent être un outil puissant pour atteindre un public plus large. Il est important de développer une présence en ligne solide et de publier régulièrement du contenu qui montre vos compétences et votre expertise.
  2. Créez un site web professionnel. Avoir un site web professionnel peut vous aider à vous faire connaître auprès des clients potentiels. Il est important de veiller à ce que votre site web soit bien conçu et facile à naviguer.
  3. Participez à des événements professionnels. Les événements professionnels peuvent être un excellent moyen de rencontrer des clients potentiels et de développer votre réseau. Il est important de participer à des événements pertinents pour votre secteur d’activité.

Comment réussir à travailler à l’étranger

Pour réussir à travailler à l’étranger en tant que conférencier, coach ou formateur, il est important de suivre ces conseils :

  1. Soyez professionnel. Il est important de se comporter de manière professionnelle à tout moment. Cela inclut la façon dont vous vous habillez, la façon dont vous vous présentez et la façon dont vous communiquez avec les clients.
  2. Soyez à l’écoute de vos clients. Il est important de comprendre les besoins de vos clients et de leur fournir un service

En conclusion : les avantages et les défis d’un travail à l’étranger

Il y a de nombreux avantages à travailler à l’étranger en tant que conférencier, coach ou formateur. Tout d’abord, cela vous permet de découvrir de nouvelles cultures et de nouveaux marchés. Cela peut également vous aider à développer votre carrière en vous permettant de travailler avec des entreprises et des clients de différents pays.

De plus, travailler à l’étranger peut également vous permettre de développer vos compétences linguistiques. Cela peut être particulièrement utile pour les conférenciers, coachs et formateurs qui peuvent ainsi s’adresser à un public plus large.

Toutefois, travailler à l’étranger peut également présenter des défis. Par exemple, il peut être difficile de trouver des clients potentiels dans un pays étranger. Il peut également être difficile de s’adapter à une nouvelle culture et à une nouvelle façon de travailler.

Il est donc important de bien se préparer avant de se lancer dans un travail à l’étranger. Il est également important de connaître les différences culturelles et les lois du pays dans lequel vous souhaitez travailler.

C’est un incroyable défi, mais croyez-moi, le jeu en vaut la chandelle !

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Relooking au masculin : 5 critères pour votre garde-robe professionnelle

Messieurs, pourquoi devriez-vous accorder un soin tout particulier à votre garde-robe professionnelle ? Tout simplement parce que votre image est aussi celle de l’entreprise : vous êtes le miroir de la société qui vous emploie. C’est pourquoi vous devez faire preuve, pour ainsi dire, d’éloquence vestimentaire

En ce qui concerne les managers et les dirigeants, la prudence s’impose concernant la couleur des vêtements. Plus vous montez dans l’échelle sociale, plus vous gravissez les échelons de la hiérarchie de votre entreprise, et plus votre image sera exposée… Vous devrez alors être d’autant plus prudent sur le choix des couleurs que vous portez, afin d’éviter les excentricités et tout ce qui pourrait être source de commentaires critiques et désobligeants… Voici donc 5 conseils utiles pour choisir les différentes pièces qui constitueront votre garde-robe professionnelle :

1 – Les épaules de vos vestes : ni trop larges, ni trop étroites. Les épaulettes ne doivent pas apparaitre de façon inesthétique. Quand vous essayez une veste, n’oubliez pas de vous regarder de dos. Mettez vos mains dans vos poches afin de vérifier si la tenue de votre veste reste impeccable.

2 – Les manches : vous ne devez surtout pas vous sentir à l’étroit lorsque vous bougez vos bras. Vos bras doivent pouvoir prendre toutes les positions sans que vous vous sentiez inconfortable.

3 – La taille : évitez les vestes trop cintrées. Ayez toujours la bonne longueur de veste afin de ne pas paraitre « tassé ». Les fentes de côté ou centrales sont idéales.

4 – Les pantalons : essayez toujours votre pantalon avec vos chaussures, car la hauteur du talon conditionnera l’ourlet. Placez bien la taille à sa place et de façon confortable. Vérifiez l’entrejambe (ni trop serré, ni trop lâche). Gardez en tête qu’une légère cassure sur la chaussure est harmonieuse.

5 – le col : il doit épouser votre nuque, laissant apparaitre le haut de votre chemise. Attention aux cols trop larges, trop lâches, ou trop hauts, qui font disparaitre la chemise…

La garde-robe professionnelle idéale :

Pour constituer votre garde-robe professionnelle, voici quelques-uns des vêtements indispensables à vous procurer :

  • Un blazer marine ou camel (droit ou croisé)
  • Trois pantalons : gris clair, anthracite, bleu marine (ou marron ou vert foncé, selon la couleur qui vous correspond)
  • Un costume bleu foncé (croisé de préférence)
  • Un costume gris fonce ou marron fondu
  • Un costume beige ou mastic (pour l’été)
  • 4 chemises unies à manches longues
  • 3 chemises à raies fines ou moyennes
  • 3 chemises à manches courtes unies ou rayées
  • Un cardigan boutonné
  • Des pulls
  • Un gilet sans manche (à ne porter qu’avec une veste !
  • 2 paires de chaussures lacées (noires et marrons)
  • Une paire de mocassin classique

Le soin à apporter dans le choix de chaque pièce d’une garde-robe est décisif pour toute personne souhaitant s’inscrire dans une approche véritablement professionnelle de son activité. On a coutume de dire que « l’habit ne fait pas le moine »… Certes, mais « l’habit permet d’entrer dans le monastère » ! C’est pourquoi le choix des vêtements et la façon de s’habiller ne sont jamais à négliger. Surtout dans la perspective d’une évolution de carrière. De la même manière que l’on cherche à mettre en forme son CV pour le rendre le plus attractif possible pour les recruteurs, s’habiller avec soin revient à rendre son image plus attractive. Les cadres, managers et dirigeants sont directement concernés.

Mais c’est aussi le cas de tous les professionnels dont l’activité les amène à se présenter régulièrement face à un public. Tous les métiers de la représentation (politique, syndicat, associatif…) mais également tous les métiers de la relation (tels que les coachs et les formateurs professionnels). C’est d’autant plus important si vous êtes un coach ou formateur spécialisé sur des thématiques telles que le leadership et l’efficacité professionnelle, qui intéresseront justement les managers et dirigeants, futurs ou actuels.

Pensons aussi aux conférenciers, qui exposent de facto leur image à un vaste public. Surtout aux conférenciers qui souhaitent se professionnaliser pour faire de leurs conférences une activité à part entière et surtout en faire une véritable source de revenus complémentaire voire principale. Leur « look » et donc plus largement la composition de leur garde-robe est un aspect décisif de leur succès, car directement lié à leur personal branding.

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Coachs, formateurs, conférenciers : faites du monde votre terrain de jeu !

Le monde d’aujourd’hui offre d’innombrables opportunités pour les coachs, les formateurs et les conférenciers qui souhaitent partager leurs connaissances et leur expertise. Dans cet article, nous allons explorer les meilleures pratiques et les stratégies pour réussir dans ce domaine passionnant.

Pour devenir un professionnel reconnu :

1. Développez vos compétences et votre expertise

Pour exceller en tant que coach, formateur ou conférencier, il est essentiel de développer constamment vos compétences et votre expertise. Prenez le temps de suivre des formations, participez à des conférences, lisez des livres et des articles sur les sujets qui vous intéressent. N’hésitez pas à investir dans votre développement personnel et professionnel.

2. Construisez votre marque personnelle

Votre marque personnelle est votre image de marque, celle qui vous permet de vous démarquer et d’attirer l’attention des clients potentiels. Travaillez sur votre présence en ligne, créez un site web professionnel, soignez votre présence sur les réseaux sociaux et publiez régulièrement du contenu de qualité pour vous positionner en tant qu’expert dans votre domaine.

3. Élargissez votre réseau professionnel

Un réseau professionnel solide est crucial pour le succès des coachs, des formateurs et des conférenciers. Participez à des événements, des salons, des conférences et des ateliers pour rencontrer d’autres professionnels et échanger des idées. N’oubliez pas de suivre les contacts que vous faites et de maintenir des relations durables avec eux.

4. Proposez des offres et des services adaptés à votre audience

Pour réussir en tant que coach, formateur ou conférencier, il est important de proposer des offres et des services qui répondent aux besoins et aux attentes de votre audience. Écoutez attentivement les retours de vos clients et adaptez votre offre en conséquence. Vous pourrez ainsi proposer des solutions sur mesure qui répondent précisément à leurs besoins.

5. Exploitez les nouvelles technologies pour toucher un public plus large

Les technologies numériques offrent d’énormes opportunités pour les coachs, les formateurs et les conférenciers. Profitez des outils en ligne pour proposer des webinaires, des formations à distance, des podcasts et des vidéos. Cela vous permettra de toucher un public plus large et d’élargir votre terrain de jeu à l’échelle internationale.

6. Apprenez à gérer votre temps et à prioriser vos tâches

La gestion du temps est un élément clé pour réussir dans votre activité. Apprenez à hiérarchiser vos tâches et à organiser votre emploi du temps de manière optimale. Cela vous permettra de vous concentrer sur les actions les plus importantes et d’atteindre vos objectifs plus rapidement.

7. Soyez attentif aux tendances et aux évolutions du marché

Le marché des coachs, des formateurs et des conférenciers est en constante évolution. Restez informé des dernières tendances et des innovations dans votre domaine pour vous adapter rapidement et rester compétitif.

8. Cultivez votre passion et votre motivation

La passion et la motivation sont essentielles pour réussir en tant que coach, formateur ou conférencier. Nourrissez votre passion pour votre domaine d’expertise et restez motivé pour continuer à apprendre et à évoluer. Cela vous aidera à maintenir un haut niveau d’énergie et à inspirer votre audience.

9. Maîtrisez l’art de la communication et de la présentation

Les compétences en communication et en présentation sont cruciales pour les coachs, les formateurs et les conférenciers. Apprenez à transmettre efficacement vos messages, à capter l’attention de votre audience et à adapter votre discours en fonction des besoins et des préférences de vos interlocuteurs.

10. Adoptez une approche orientée résultats

Pour être un coach, formateur ou conférencier performant, il est important d’adopter une approche orientée résultats. Mettez en place des objectifs clairs et mesurables pour vous-même et vos clients, et suivez régulièrement les progrès réalisés. Cela vous permettra de démontrer la valeur ajoutée de vos services et de construire une réputation solide.

11. Sachez vous adapter aux différentes cultures et aux différents contextes

Le monde est un terrain de jeu diversifié et complexe, avec des cultures et des contextes variés. Pour réussir en tant que coach, formateur ou conférencier, il est essentiel de savoir s’adapter aux différences culturelles et de comprendre les spécificités de chaque contexte. Cela vous permettra de créer des relations durables avec vos clients et de répondre à leurs besoins de manière personnalisée.

12. Mesurez et analysez les retours de votre audience

Pour améliorer continuellement votre performance en tant que coach, formateur ou conférencier, il est important de mesurer et d’analyser les retours de votre audience. Utilisez des outils d’évaluation et de suivi pour recueillir des informations précieuses sur l’efficacité de vos interventions et pour identifier les domaines dans lesquels vous pouvez progresser.

En suivant ces conseils et en mettant en œuvre les meilleures pratiques, les coachs, les formateurs et les conférenciers peuvent transformer le monde en un véritable terrain de jeu. Grâce à l’expertise, la passion et la persévérance, il est possible de bâtir une carrière florissante et de contribuer positivement au développement de nombreuses personnes à travers le monde.

Mais il est aussi possible d’envisager de passer à un autre niveau, de franchir les frontières locales ou nationales pour développer son activité à l’étranger, dans de nouveaux pays, au sein d’une nouvelle culture. La perspective d’une vie professionnelle à l’international est exaltante, c’est la promesse d’une vie riches d’aventures et de rencontres, de découvertes surprenantes et de défis inattendus en continu !

Pour cela il faudra vous concentrer sur d’autres types de connaissances et compétences en plus de toutes celles requises pour être bon dans votre métier. Se développer à l’international est presque un deuxième métier ! Il faut des connaissances particulières, des compétences spécifiques, une excellente maîtrise technique mais aussi un savoir-être unique, une façon de s’adapter, de comprendre rapidement sone environnement, d’être en alerte constamment et surtout de toujours garder l’esprit ouvert…

Pour celles et ceux qui veulent conquérir le monde :

13. Apprenez les langues étrangères

Maîtriser plusieurs langues étrangères vous permettra d’accéder à un public plus large et de faciliter la communication avec des clients internationaux. Investissez du temps dans l’apprentissage de nouvelles langues pour étendre votre portée et vous ouvrir à de nouvelles opportunités.

14. Collaborez avec des partenaires locaux

Travailler avec des partenaires locaux peut vous aider à vous implanter sur de nouveaux marchés et à mieux comprendre les spécificités culturelles de chaque pays. Cherchez des partenariats avec des entreprises, des institutions ou des professionnels qui partagent vos valeurs et peuvent vous soutenir dans votre expansion internationale.

15. Participez à des événements internationaux

Assister à des événements internationaux tels que des conférences, des salons ou des ateliers vous permettra de rencontrer des professionnels du monde entier et d’élargir votre réseau. C’est également une excellente occasion de promouvoir vos services et d’apprendre des meilleures pratiques dans votre domaine.

16. Adaptez vos offres aux spécificités de chaque marché

Chaque marché a ses propres particularités, ses besoins et ses attentes. Prenez le temps d’étudier les spécificités de chaque marché sur lequel vous souhaitez vous implanter et adaptez vos offres en conséquence pour répondre aux attentes des clients locaux.

17. Créez du contenu multilingue

Pour toucher un public international, il est important de proposer du contenu dans différentes langues. Traduisez votre site web, vos articles de blog, vos vidéos et vos supports de formation pour rendre votre contenu accessible à un public plus large et attirer des clients étrangers.

18. Utilisez les outils de marketing digital

Le marketing digital est un levier puissant pour promouvoir votre activité à l’international. Utilisez les réseaux sociaux, le référencement naturel (SEO), le marketing par e-mail et la publicité en ligne pour toucher un public étranger et générer des leads qualifiés.

19. Proposez des formations et des certifications internationales

Les certifications et les formations reconnues internationalement ont une grande valeur aux yeux des clients étrangers. En proposant des programmes de formation et des certifications adaptés aux normes internationales, vous renforcerez votre crédibilité et attirerez des clients du monde entier.

20. Offrez un support client multilingue

Un support client multilingue est essentiel pour répondre aux besoins de vos clients internationaux. Assurez-vous de disposer d’une équipe capable de communiquer dans différentes langues pour offrir un service client de qualité et gérer efficacement les demandes de renseignements provenant de l’étranger.

21. Étudiez les réglementations locales

Les réglementations varient d’un pays à l’autre et peuvent affecter votre activité de coaching, de formation ou de conférencier. Informez-vous sur les lois et les régulations locales pour vous assurer que vous êtes en conformité et éviter d’éventuels problèmes juridiques.

22. Mettez en place une logistique adaptée

Si vous proposez des formations ou des ateliers à l’étranger, il est important de mettre en place une logistique adaptée pour faciliter l’organisation et la gestion de vos événements. Travaillez avec des prestataires locaux pour la location de salles, l’équipement audiovisuel, le transport et l’hébergement afin de garantir le bon déroulement de vos interventions.

23. Utilisez des plateformes d’e-learning internationales

Les plateformes d’e-learning internationales vous permettent de proposer vos formations et vos programmes de coaching à un public mondial. En vous associant à des plateformes reconnues, vous bénéficierez d’une visibilité accrue et pourrez toucher un public plus large, sans barrières géographiques.

24. Cultivez une mentalité globale

Pour réussir en tant que coach, formateur ou conférencier à l’international, il est crucial d’adopter une mentalité globale. Soyez ouvert aux différentes cultures, aux perspectives et aux approches, et apprenez à apprécier et à tirer parti de la diversité que vous rencontrerez dans votre activité internationale.

En suivant ces conseils et en adoptant une approche proactive, les coachs, formateurs et conférenciers peuvent étendre leur activité à l’étranger et tirer parti des opportunités offertes par le marché mondial. L’expansion internationale peut être un défi passionnant et enrichissant, qui vous permettra de développer votre activité, d’accroître votre notoriété et de contribuer au développement de personnes et d’organisations du monde entier.

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S’ouvrir de nouveaux horizons en tant que formateur ou conférencier

Dans le monde professionnel, il est essentiel de toujours chercher à s’améliorer et à se développer. Pour cela, il est nécessaire de s’ouvrir de nouveaux horizons en tant que formateur ou conférencier. Les métiers de la formation et de la conférence offrent de nombreuses opportunités pour enrichir sa carrière et partager ses connaissances avec un public varié.

Etape 1 : Professionnaliser son activité

Avant de chercher à vous développer à l’international, pensez « local » et national : essayez de devenir un formateur ou un conférencier professionnel reconnu à votre niveau. C’est la base à partir de laquelle vous développer à des niveaux toujours plus hauts. Si cette base n’est pas solide, tôt ou tard tout ce que vous tentez de construire risque de s’écrouler violemment… Donc avant de voir comment devenir un formateur international ou un conférencier de stature mondial, rappelons les fondamentaux de ces métiers si particuliers :

Les compétences clés pour réussir en tant que formateur ou conférencier

  • La maîtrise du sujet: Que vous soyez formateur ou conférencier, la maîtrise de votre sujet est essentielle pour inspirer confiance et transmettre efficacement vos connaissances. Continuez à vous former et à vous informer pour rester à jour sur les dernières tendances et avancées dans votre domaine.
  • La pédagogie: Pour être un bon formateur, il est crucial de savoir adapter sa méthode d’enseignement en fonction de son public et de ses besoins. Utilisez des techniques pédagogiques variées pour rendre votre formation interactive et stimulante.
  • L’éloquence et la communication: Un conférencier doit être capable de captiver son auditoire et de communiquer clairement ses idées. Travaillez sur votre élocution, votre gestuelle et votre manière de structurer votre discours pour être un orateur efficace.

Les avantages de la profession de formateur ou conférencier

  1. L’autonomie: En tant que formateur ou conférencier indépendant, vous avez la possibilité de gérer votre emploi du temps et de choisir les missions qui vous intéressent le plus. Cette autonomie vous permet de concilier vie professionnelle et vie personnelle selon vos besoins.
  2. Le réseau professionnel: Évoluer dans le domaine de la formation ou de la conférence vous donne l’opportunité de rencontrer des professionnels de différents secteurs et de nouer des relations enrichissantes. Cela peut également vous ouvrir de nouvelles perspectives de carrière.
  3. La satisfaction personnelle: Contribuer au développement des compétences et des connaissances d’autrui est une source de satisfaction personnelle pour de nombreux formateurs et conférenciers. C’est l’occasion de partager votre passion et de vous sentir utile.

Comment se lancer en tant que formateur ou conférencier

  • Se former: Il est important de se former aux techniques de formation et de prise de parole en public pour devenir un formateur ou un conférencier efficace. De nombreux organismes proposent des formations professionnelles adaptées à vos besoins.
  • Se spécialiser: Choisissez un domaine de compétence dans lequel vous excellez et spécialisez-vous pour vous démarquer de la concurrence. Une spécialisation vous permettra de proposer des formations et des conférences de qualité et d’attirer un public spécifique.
  • Promouvoir ses services: Pour vous faire connaître en tant que formateur ou conférencier, il est essentiel de mettre en place une stratégie de communication efficace. Utilisez les réseaux sociaux, les plateformes spécialisées et les événements professionnels pour promouvoir vos services et nouer des partenariats.

Étape 2 : étendre son activité à l’international

Se développer à l’international est une excellente façon d’élargir son audience et d’accroître sa notoriété en tant que conférencier ou formateur. Cela permet de diversifier ses sources de revenus, d’échanger avec des professionnels de différents horizons et de s’enrichir sur le plan culturel. Voici quelques conseils pour développer votre activité à l’étranger.

Les étapes clés pour une expansion internationale

  1. Évaluer ses compétences linguistiques: Pour intervenir en tant que conférencier ou formateur à l’étranger, il est essentiel de maîtriser la langue du pays cible ou de travailler avec un interprète. Pensez à vous former en langues étrangères et à adapter vos supports de communication en conséquence.
  2. Se renseigner sur les réglementations locales: Chaque pays a ses propres règles en matière de formation et de conférences. Renseignez-vous sur les exigences légales, les certifications requises et les modalités d’obtention de visas pour exercer votre activité à l’étranger.
  3. Adapter son offre: Adaptez vos formations et conférences aux spécificités culturelles et professionnelles du pays cible. Prenez en compte les besoins locaux, les compétences recherchées et les attentes du public pour proposer une offre pertinente et attractive.
  4. Développer un réseau international: Pour réussir à l’étranger, il est crucial de se constituer un réseau professionnel solide. Participez à des événements internationaux, rejoignez des associations professionnelles et utilisez les réseaux sociaux pour nouer des contacts et échanger avec des acteurs clés du secteur.

Quels pays privilégier pour se développer à l’international ?

Le choix du pays dans lequel étendre son activité dépend de nombreux facteurs, tels que la langue, la culture, les opportunités professionnelles et la demande en formation ou conférences. Voici quelques pays qui offrent de bonnes perspectives pour les conférenciers et formateurs :

  • Les pays anglophones: Les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande sont des marchés porteurs pour les conférenciers et formateurs. La maîtrise de l’anglais est un atout majeur pour travailler dans ces pays.
  • Les pays européens: La France, l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie sont des pays avec une forte demande en formations et conférences, notamment dans les domaines de la technologie, de l’innovation et du développement durable. La maîtrise des langues locales est un avantage pour se démarquer.
  • Les pays émergents: Les pays en développement, tels que le Brésil, l’Inde, la Chine ou l’Afrique du Sud, offrent des opportunités intéressantes pour les conférenciers et formateurs. Les besoins en compétences et en formations y sont importants, et la concurrence peut y être moins intense qu’ailleurs.

En somme, se développer à l’international en tant que conférencier ou formateur nécessite une bonne préparation et une connaissance approfondie des marchés cibles. Il est important de bien choisir les pays dans lesquels s’implanter en fonction de ses compétences, de ses objectifs et des opportunités offertes.

Ne pas sous-estimer les difficultés

La perspective de se développer à l’international est très excitante et motvante, et cela peut conduire à un excès d’optimisme… Les déceptions et désillusions seront d’autant plus dévastatrices. Car partir à la conquête du monde n’est pas donné à tout le monde, surtout pas aux personnes mal formées et mal préparées ! Attention à ne pas sous-estimer les difficultés pour développer son activité dans certains pays, notamment :

  1. Les barrières linguistiques: Dans certains pays, la maîtrise de la langue locale est indispensable pour réussir en tant que conférencier ou formateur. Les barrières linguistiques peuvent rendre l’adaptation de votre offre plus complexe et limiter vos opportunités professionnelles.
  2. Les différences culturelles: Les spécificités culturelles de chaque pays peuvent influencer les attentes du public et les pratiques professionnelles. Il est important de bien connaître la culture locale pour adapter votre offre et éviter les malentendus.
  3. La concurrence: Dans certains pays, la concurrence dans le secteur de la formation et des conférences peut être particulièrement intense. Il est alors nécessaire de se démarquer en proposant des formations et conférences innovantes et de qualité, et en développant un réseau professionnel solide.
  4. Les contraintes réglementaires: Les règles en matière de formation et de conférences peuvent varier d’un pays à l’autre. Les procédures pour obtenir les certifications ou les visas requis peuvent être complexes et coûteuses, ce qui peut freiner votre développement à l’étranger.

Soyez stratégique : visez les pays les plus faciles d’accès

Vous pouvez envisagez une stratégie de développement à l’international en ciblant d’abord les pays les plus faciles d’accès pour vous. Les pays les plus accessibles pour les conférenciers et formateurs sont ceux qui présentent des opportunités professionnelles intéressantes, une demande en formation et conférences, et des contraintes réglementaires moins strictes. Parmi ces pays, on retrouve :

  1. Les pays anglophones: Comme mentionné précédemment, les pays anglophones tels que les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande offrent un environnement favorable pour les conférenciers et formateurs. La maîtrise de l’anglais facilite grandement l’accès à ces marchés, et les opportunités professionnelles y sont nombreuses.
  2. Les pays européens voisins: Si vous êtes basé en Europe, il peut être plus facile d’étendre votre activité dans les pays voisins, en raison de la proximité géographique et des accords de libre circulation au sein de l’espace Schengen. Les pays tels que la Belgique, les Pays-Bas, le Luxembourg ou la Suisse offrent des opportunités intéressantes pour les conférenciers et formateurs.
  3. Les pays avec des accords de coopération et d’échange: Certains pays ont des accords de coopération et d’échange avec votre pays d’origine, ce qui facilite l’accès à leur marché et simplifie les démarches administratives. Renseignez-vous sur les accords en vigueur entre votre pays et les pays cibles pour identifier les opportunités qui s’offrent à vous.

En conclusion, pour réussir à développer son activité de conférencier ou formateur à l’international, il est essentiel de bien choisir les pays dans lesquels s’implanter, en tenant compte des opportunités professionnelles, des barrières linguistiques et culturelles, ainsi que des contraintes réglementaires. La clé du succès réside dans une préparation minutieuse, une adaptation constante de votre offre et un travail de réseautage efficace.

Surmonter les difficultés et réussir à l’international

Pour faire face aux défis liés au développement de votre activité de conférencier ou formateur à l’international, voici quelques stratégies à adopter :

  1. Se former en langues étrangères: La maîtrise des langues est cruciale pour réussir à l’étranger. Investissez du temps et des ressources pour apprendre la langue du pays cible, ou travaillez avec des interprètes professionnels pour faciliter la communication avec votre public.
  2. S’adapter aux spécificités culturelles: Informez-vous sur la culture locale et adaptez votre offre en conséquence. Tenez compte des coutumes, des valeurs et des attentes du public pour proposer des formations et conférences pertinentes et respectueuses des spécificités culturelles.
  3. Collaborer avec des partenaires locaux: Pour faciliter votre implantation à l’étranger, il peut être judicieux de collaborer avec des partenaires locaux, tels que des organismes de formation, des universités ou des entreprises. Ces partenariats vous permettront de bénéficier de leur expertise et de leur réseau, et de mieux comprendre les besoins du marché local.
  4. Se tenir informé des réglementations et des tendances: Restez à jour sur les exigences légales et les tendances du secteur dans le pays cible. Cette veille vous permettra d’anticiper les évolutions du marché et d’adapter votre offre en conséquence.
  5. Se démarquer par la qualité et l’innovation: Pour réussir à l’étranger, il est essentiel de proposer des formations et conférences de qualité, qui répondent aux besoins du public et se démarquent de la concurrence. Investissez dans la recherche et le développement pour proposer des solutions innovantes et adaptées aux spécificités du marché.

En somme, développer son activité de conférencier ou formateur à l’international demande de la préparation, de la persévérance et de l’adaptabilité. En adoptant les stratégies mentionnées et en choisissant judicieusement les pays dans lesquels s’implanter, vous augmenterez vos chances de réussir et d’élargir votre audience à l’échelle internationale.

Bonus : 6 astuces pour se lancer à l’étranger

Lancer son activité de conférencier dans un nouveau pays peut représenter un défi de taille. Voici quelques astuces auxquelles on ne pense pas toujours immédiatement pour faciliter cette étape cruciale de votre développement professionnel.

  1. Utiliser des plateformes en ligne pour organiser des événements-tests : Avant de vous lancer pleinement dans un nouveau pays, testez votre offre et votre discours en organisant des événements en ligne à destination du public local. Utilisez des plateformes de streaming ou de webinaires pour évaluer l’intérêt du public et recueillir des retours d’expérience.
  2. Participer à des événements culturels locaux : Pour mieux comprendre la culture et les attentes du public dans le pays cible, assistez à des événements culturels locaux, tels que des expositions, des spectacles ou des conférences. Cela vous permettra d’établir des contacts, d’échanger avec les habitants et de vous imprégner de la culture locale.
  3. Collaborer avec des influenceurs locaux : Les influenceurs locaux peuvent être des alliés précieux pour promouvoir votre activité de conférencier dans un nouveau pays. Identifiez des influenceurs pertinents dans votre domaine d’expertise et proposez-leur des collaborations, comme des interviews, des articles invités ou des vidéos conjointes.
  4. S’inscrire à des concours et des prix internationaux : Pour gagner en visibilité et en notoriété, participez à des concours et des prix internationaux dans votre secteur d’activité. Une nomination ou une récompense peut constituer un atout majeur pour attirer l’attention du public et des professionnels du pays cible.
  5. Utiliser la gamification pour impliquer le public : Surprenez votre public en utilisant des techniques de gamification pour rendre vos conférences et formations plus interactives et attrayantes. Intégrez des éléments ludiques, tels que des quiz, des sondages en direct ou des jeux de rôle pour capter l’attention et faciliter l’apprentissage.
  6. Créer des partenariats avec des écoles et des universités locales : Les établissements d’enseignement supérieur sont souvent à la recherche de conférenciers et de formateurs pour enrichir leur programme académique. Proposez des interventions sur des sujets pertinents pour les étudiants et les enseignants, et profitez de cette expérience pour vous faire connaître auprès du public local.

Ces astuces peuvent vous sembler surprenantes et innovantes, en tout cas pensez-y car elles vous aideront à faciliter le lancement de votre activité de conférencier dans un nouveau pays, en vous permettant de mieux comprendre le marché local, de gagner en visibilité et de créer des liens avec le public et les professionnels du secteur.

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Vivre à l’international : (ré)apprendre à dormir avec des horaires décalées

Quand on cherche à développer son activité à l’international et que l’on passe de plus en plus fréquemment d’un pays à l’autre, d’un continent à l’autre, pour des durées toujours plus courte, le jetlag et la fatigue se font vite sentir. Cela peut d’autant plus vous être préjudiciable selon que votre activité relève du coaching ou de la formation. Vous vous devez en effet de cultiver votre charisme et votre leadership afin d’être performant en tant que coach, or il y a un lien inversement proportionnel entre le charisme et le manque de sommeil.

Lire aussi : Technique de leadership : mieux maîtriser son sommeil pour décupler son influence et son pouvoir d’action

Beaucoup d’autres métiers, certains très localisés sont également concernées par ces décalages horaires : activité de maintenance, militaires, sécurité et sûreté… Ces métiers imposent des horaires décalées qui entrainent des perturbations du sommeil. Cela a des conséquence non négligeables sur l’organisme, voyons donc comment gérer au mieux ces perturbations à travers 3 chiffres qui révèlent tous les méfaits du manque de sommeil :

Lire aussi : 6 choses à connaître pour mieux maîtriser son sommeil

Attention à la 26e heure…

« 26 » : le manque de sommeil entraine une dégradation des performances physiques et mentale dès la 26e heure de privation de sommeil. Lorsqu’on est debout depuis 8h, si les circonstances ne permettent pas de se reposer pendant la nuit qui arrive, il faut impérativement se ménager la possibilité de faire au moins une petite sieste à partir de 9 ou 10h le lendemain matin ! Pour les grands voyageurs, il est impératif de maitriser des techniques de récupération rapide et notamment le Power Nap.

Attention aux nuits de moins de 6 heures

« 28% » : un chiffre qui a de quoi inquiéter ! En effet. c’est le pourcentage d’augmentation du risque de diabète de type 2 quand on dort moins de 6 heures par nuit. Bref, l’idéal est de se ménager des nuits de 8 heures minimum chaque fois que possible. Si vous arrivez d’un vol long-courrier et que vous n’avez pas pu vous reposer correctement dans l’avion, allez vous coucher directement, ne cherchez pas à sortir à tout prix.

Lire aussi : Les 7 clefs d’un bon sommeil : comment mieux dormir, mieux récupérer, mieux se reposer pour mieux profiter !

Vous avez 1 chance sur 3 d’être concernés…

« 1/3 » : en France, 1 personne sur 3 souffre d’un trouble du sommeil. Oui, une personne sur trois ! Essayez donc d’être l’une des deux autres en suivant nos recommandations. Le sommeil est rythmé par une horloge biologique interne qui peut se dérégler, notamment en cas de travail de nuit ou de travail posté, ou encore de longs voyages. Le décalage horaire n’altère pas seulement la durée de la nuit ou la longueur du temps d’éveil, mais également les temps de repos, qui se voient considérablement raccourcis

Lire aussi : Fatigue V.S. Leadership : attention à la « dette de sommeil » et aux somnolences !

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