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Les avantages de la carte American Express Platinum Air France – KLM

Pour les  grands voyageurs, surtout pour ceux qui effectuent des déplacements professionnels récurrents, effectuer les paiements pour ses dépenses peut parfois s’avérer compliqué. Si vous cherchez une solution de paiement rapide lors de vos voyages, la carte American Express Platinium Air France-KLM  offre de nombreux avantages, ne serait-ce qu’avec son application mobile qui permet de suivre toutes vos transactions en temps réel où que vous soyez.  

Qui est concerné ?

Pourquoi est-ce que cela pourrait vous intéresser en tant que conférencier international ? La carte American Express Platinium Air France-KLM est idéale pour toute personne effectuant des déplacements à l’international comme les conférenciers internationaux.  

De nombreux avantages s’offrent à vous si vous choisissez cette carte :

  • bénéficier d’une application pour gérer votre compte n’importe où,
  • réserver vos billets d’avion à l’aide de cette carte et des miles qui vous seront offerts lors de votre souscription et de tous vos éventuels achats,
  • réserver d’autres services comme la location d’une voiture, vos chambres d’hôtel ou encore une table dans votre restaurant favori,
  • effectuer des achats prolonge la validité de vos miles accumulés,
  • faire profiter de cette offre à vos proches en demandant des cartes supplémentaires.

Vous pouvez souscrire à cette carte au prix de 47,5 euros par mois, si toutefois, vous justifiez d’un revenu annuel de 65 000 euros minimum qui est détenu dans un compte bancaire en euros, si vous avez plus de 18 ans et si vous disposez d’un numéro de carte Flying Blue.

Utile pour les professionnels à l’international

C’est donc un moyen de paiement très utile pour les grands voyageurs mais aussi et surtout pour les professionnels qui se développent à l’international. En effet, si vous effectuez de nombreux voyages au cours de l’année, il est important que vous disposiez d’un moyen facile et efficace afin de prendre en charge vos dépenses une fois à destination.

Cette solution est très utile car elle est valable dans plusieurs pays et établissements à l’international. En plus, plusieurs privilèges vous seront offerts, comme profiter des salons Air France dans les aéroports, de bagages supplémentaires ou encore pouvoir choisir votre siège (attention, ces avantages ne découlent pas directement de la carte American Express Platinum Air France – KLM mais du statut Flying Blue, mais la carte permet justement d’obtenir et de maintenir plus facilement les plus hauts statuts Flying Blue comme le statut « Platinum »).

Des rewards en miles + un bonus de XP très intéressant

Lors de chaque achat effectué avec votre carte American Express Platinium Air France-KLM au cours de vos déplacements, on vous offre des miles en cadeau mais aussi des bonus XP.

Déjà, lors de votre souscription, vous allez recevoir 60 XP et 20 000 miles (et même un bonus beaucoup plus important en suivant ce lien de parrainage !). Des XP supplémentaires seront ajoutés à votre compte à chaque date anniversaire de votre carte.

Ces XP vont vous servir afin d’obtenir ou maintenir votre statut Flying Blue et le faire progresser.

Rappel sur les statuts Flying Blue : l’importance des XP pour renouveler un statut

Le statut Flying Blue est un programme de fidélisation sur des compagnies aériennes telles qu’Air France, Kenya Airways, Transavia, KLM, Aircalin ou encore Tarom. Grâce à cela, pour chaque voyage effectué vous allez en retour gagner des miles ainsi que des XP qui vont vous servir à couvrir vos dépenses pour vos vols, les options prises sur vos vols ou encore pour vos lieux de séjours.

Pour atteindre le statut Platinum, qui vous permet de très nombreux avantages tels qu’un enregistrement prioritaire, un parcours prioritaire à l’aéroport (« Sky priority » = coupe file et guichets d’enregistrement réservés), la possibilité de prendre davantage de bagages en cabine et en soute, accéder aux salons Air France & ses partenaires dans tous les aéroports du monde, miles supplémentaires convertibles en billets prime… Augmenter votre statut vous permettra donc d’augmenter les privilèges ainsi que les miles que vous pouvez recevoir.

Les avantages sont tellement nombreux et tellement intéressants qu’il n’est pas possible de tous les détailler ici. Gardez simplement en tête que ces avantages dépendant du statut Flying Blue, et que votre statut dépend quant à lui du nombre de XP que vous aurez gagné au cours de l’année en fonction du nombre et de la distance des voyages que vous aurez effectués. Le statut Platinum s’atteint avec 300 XP, ce qui représente tout de même un gros objectif. Grâce à la carte Amex Platinum Air France – KLM, vous obtenez automatiquement 60 XP chaque année soit 20% des XP nécessaires, ce qui vous donne une sacrée avance !

Service de conciergerie premium très utile pour la vie privée comme pour la vie pro

La carte offre par ailleurs un service de conciergerie premium très utile pour la vie privée, mais aussi et surtout pour la vie professionnelle ! Vous avez à votre disposition un numéro disponible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Ce service de conciergerie fera le nécessaire afin de vous satisfaire, quelles que soient vos demandes. Que ce soit pour une table dans un grand restaurant (places réservées aux meilleures tables de Paris pour les titulaires d’une carte American Express) ou une place pour un grand spectacle (offres spéciales, pré-réservation et vente de billets en avant-première, événements exclusifs…), vos réservations d’hôtel, etc. Vous passerez toujours en priorité.

Assurance premium indispensable pour les grands voyageurs

Vous vous sentirez comme un VIP où que vous soyez. Grâce à cette carte,  vous disposez de toutes sortes d’assurances telles que la garantie protection des achats, l’assurance annulation et report de voyage, la garantie incidents de voyage, l’assurance neige et montagne, la responsabilité civile à l’étranger, la garantie véhicule de location, la garantie effets personnels et l’assistance médicale et frais médicaux.

Versions pro des cartes American Express Air France

Créées surtout pour les dirigeants de TPE ou ceux qui exercent des professions libérales, les versions pro des cartes American Express Air France offrent beaucoup d’autres d’avantages, spécifiquement pour la gestion des comptes au sein d’une entreprise. A ne citer que les 20 000 miles et les 450 euros remboursés sur vos achats quand vous allez y souscrire. Le programme de fidélité Flying Blue vous réserve encore plus de profits. Les services de conciergerie et la gestion de votre compte seront plus optimaux. Et d’autres services d’assurance supplémentaire garantiront votre sécurité.

La cotisation annuelle est de 650 euros. Les seules conditions de souscription :  être un dirigeant ou un professionnel de TPE,  justifier d’un revenu annuel de 80 000 euros. Votre société doit également réaliser un chiffre d’affaires d’au moins 5 millions d’euros, doit avoir existé depuis plus d’un an et posséder un compte bancaire domicilié en France.

Pour conclure

Si vous réunissez toutes les conditions et que vous envisagez sérieusement de développer votre activité à l’international, souscrivez à la carte American Express Platinum Air France – KLM sans tarder. Si vous êtes déjà un grand voyageur, qu’attendez-vous ? En suivant ce lien vous profiterez d’un bonus de miles exceptionnel. Pourquoi souscrire au plus vite ? De cette manière vous recevrez votre carte rapidement et vous pourrez commencer à explorer toutes ses fonctionnalités et possibilités avant d’avoir besoin de vous en servir lors de vos prochains déplacements dans toute la France et dans le monde entier.

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Les principales difficultés lorsqu’on développe son activité à l’international

Certes, préparer une version de vos conférences en anglais est en soi une bonne étape en vue de devenir conférencier international. Mais le conférencier qui veut développer son activité de conférences à l’international international doit aussi envisager son activité comme une véritable entreprise et mettre en place une authentique stratégie de conquête de nouveaux marchés à l’étranger. Pour accroître la notoriété d’une entreprise à l’international et lui permettre de développer son chiffre d’affaires, le porteur de projet est tenu de se préparer. Les difficultés et les pièges sont nombreux, certains inévitables. Le développement à l’international comporte de nombreux risques qu’il convient de minimiser au préalable. 

Les premiers risques à considérer

Déjà, étendre une activité à l’international signifie se déplacer assez fréquemment. Ce qui nécessite une coordination et une organisation de ces déplacements. Bien que les préparatifs puissent être pris en charge par un assistant, l’entrepreneur pour sa part est tenu de faire face au stress, au jetlag. En arrivant dans un autre pays, la baisse d’énergie due aux décalages horaires est parfois insurmontable. Cependant, aucune perte de temps n’est permise. D’où l’importance de gérer sa fatigue.  

En outre, un entrepreneur qui cherche à développer sa marque à l’international est tenu à la gestion de son budget. Effectivement, il ne faut pas oublier que les prix varient selon le pays. De même, le porteur de projet doit encore tenir compte de la fiscalisation et des taxes applicables à son statut d’entrepreneur.

Pour ceux qui veulent faire connaitre leurs nouveaux produits, le problème est d’une tout autre ampleur. En effet, en plus de fidéliser les nouveaux clients, il convient d’entretenir la relation avec les anciens habitués. Dans ce cas, il convient de transmettre des emails personnalisés ou encore des newsletters sur l’organisation de vidéo-conférence dans le but de présenter les nouvelles promotions. Ici, le recrutement d’un conférencier doit accompagner cette étape du projet.

De surcroît, l’entrepreneur doit entretenir et développer son réseau à l’international. De ce fait, il est tenu de se faire entourer des meilleurs commerciaux capables de vanter les mérites des produits qu’il propose. L’expatriation revient à trouver de nouveaux clients dans divers pays du monde. Dans cette optique, il est important de concevoir un réseau et d’y rester actif. Pour faire des rencontres et optimiser le networking, il est préconisé de s’inscrire à des événements ou encore d’organiser des rencontres à thème. Encore que visiter un autre pays pour y étendre une activité signifie tenir compte de l’importance de la communication interculturelle. Il est alors capital de développer la communication pour divers pays et pour différentes sortes de public.

Etudier et comprendre le pays ciblé

Voici un autre problème de taille que toute personne cherchant à développer son activité doit examiner de près. Bien qu’il soit facile d’assimiler les cultures d’un autre pays, il n’est pas évident d’étudier la langue utilisée ni de cerner chaque zone géographique. Pourtant, ce sont là des prérequis fondamentaux à l’expansion d’une activité à l’international. Il est capital d’étudier le marché avant de songer à s’installer. Aussi, le porteur de projet doit absolument se renseigner sur l’activité économique du pays. Ce qui porte sur la moyenne de croissance annuelle de ce dernier ou encore du nombre d’impayés et des dispositions légales en matière de pratiques commerciales. Quid des types de contrats et des délais de paiement ? Ce sont autant de données qui doivent être passées en revue et qui nécessitent pourtant la vision d’un expert. 

Le chef d’entreprise doit encore se rendre dans le ou les pays concernés par l’extension pour analyser les différentes possibilités d’organisation de sa nouvelle activité. Comment constituer un réseau et de quelle manière procéder pour obtenir le soutien des partenaires locaux ? Ce sont des questions qui demandent des réponses dans les plus brefs délais. 

Encore que la détermination du pays cible ne suffit pas toujours. Il est aussi important de se poser des questions quant à la valeur ajoutée du produit sur le marché cible. Si cette dernière n’est pas plus élevée que celle d’un produit local, l’investissement n’en vaut peut-être pas la peine. Dans ce cas, il faut s’assurer de ne proposer qu’un produit innovant qui fasse réellement la différence. Dès lors que l’offre correspond aux attentes des clients, l’entrepreneur doit encore édifier un plan marketing qui s’adapte aux coutumes et à la langue du pays. Aussi, il est nécessaire de définir une bonne stratégie commerciale. 

La problématique du financement

Il est faux de penser qu’un entrepreneur dispose de toutes les finances nécessaires pour étendre son projet dans le monde. Il est tenu de mettre en place un business plan pour tenter de trouver toutes les options de financement de son projet ainsi que les coûts. Le chef d’entreprise doit déposer différentes demandes d’aides pour avoir une idée des différents leviers existants. Il peut bénéficier d’aides financières, de fonds propres ou encore de prêts exports. Encore qu’il est plus qu’important de démontrer les bénéfices que dégage le projet avant de pouvoir prétendre à un quelconque financement.

Quoi qu’il en soit, et cela est aussi lié au financement, il vous faut une solution bancaire adaptée à une activité se déployant à l’international. Dans un précédent article nous avions abordé la question en nous demandant : quels services bancaires lorsqu’on développe son activité à l’international ? Et parmi les solutions existantes à ce jour, il apparait clairement que la carte American Express platinum Air France – KLM est une excellente solution présentant des avantages non négligeables aux personnes régulièrement amenées à se déplacer à l’étranger.

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Quels services bancaires lorsqu’on développe son activité à l’international ?

Si vous souhaitez développer votre activité à l’international, il est important que vous connaissiez les services bancaires alternatifs qui seront plus avantageux pour vous. Comme, il n’est pas toujours aisé de s’y retrouver avec les innombrables options proposées sur le marché bancaire, voici quelques informations qui devraient vous être utiles pour vos déplacements

Les comptes bancaires multi-devises

En tant que conférencier ou formateur international, il est primordial de développer son activité à l’étranger. Il est donc préférable de s’entourer des partenaires financiers les plus avantageux pour sécuriser ses opérations commerciales à l’international. Parmi les services bancaires alternatifs existants, vous avez les comptes multi-devises, tels que Revolut et N26. Ces services sont considérés comme de vraies banques et vous font jouir d’un gain de temps considérable. 

Le plus intéressant dans les comptes multi-devises se trouve au niveau des tarifs appliqués. Réglez relativement peu de frais bancaires et gérez facilement vos opérations à distance durant vos déplacements. Si l’on prend par exemple Revolut et N26, les cartes bancaires sont comprises dans le tarif de départ qui est très intéressant. Vous disposez d’un grand nombre de devises disponibles, le taux de change est réel et aucune commission ne sera appliquée. 

L’avantage des néo-banques

Une banque en ligne est une structure bancaire qui est instaurée à partir d’une banque traditionnelle. Elle proposera les mêmes services et prestations, à des tarifs plus concurrentiels. L’objectif des services bancaires alternatifs est d’être en mesure de vous offrir un service dématérialisé, idéal donc pour vos déplacements à l’international. Une néo-banque ou banque en ligne vous offre la possibilité de gérer votre compte bancaire sur internet, où que vous soyez. Effectuez toutes sortes d’opérations bancaires directement depuis votre écran. 

Un compte en euro à l’étranger

Les virements non SEPA peuvent s’avérer particulièrement onéreux, notamment lorsque vous possédez un compte français alors que vous vous trouvez à l’étranger. Un compte multi-devises vous permettra d’obtenir un compte en euros à l’international. Vous aurez également la possibilité d’ouvrir des sous-comptes et leur attribuer à chacun une monnaie différente. Vous obtiendrez une carte bancaire qui vous permettra de voyager sans régler le moindre frais supplémentaire pour vos retraits ou paiements à l’étranger, même si vous sortez de la zone euro. Voilà de quoi ravir les conférenciers, formateurs international et autres globetrotteurs.

L’utilité d’une carte bancaire internationale

Si vous voyagez souvent, vous aurez besoin d’une carte bancaire internationale, telle qu’American Express. Nombreuses sont les différentes prestations proposées, en fonction de cette carte bancaire internationale. Aussi est-il très important de prendre en considération les différentes garanties offertes par chacune d’elles. Certaines cartes bancaires telles qu’American Express sont plus avantageuses que d’autres et donnent accès à une indemnisation lorsqu’un imprévu survient. Pensez à toujours lire les conditions du contrat du service bancaire alternatif que vous choisissez afin d’en apprendre davantage sur le type d’abonnement et fees dont il s’agit. Renseignez-vous également sur les frais appliqués par retraits ou paiements ainsi que sur le nombre de retraits autorisés sur votre carte bancaire internationale. 

La carte American Express Air France – KLM

Si vos déplacements sont fréquents, adoptez la carte American Express Air France – KLM. Dans un précédent article nous avons détaillé les incroyables avantages de la carte Amex Platinum Air France – KLM pour les grands voyageurs et pour tous les professionnels, coach, formateurs et conférenciers qui se développent à l’international. Cette carte de paiement internationale vous offre la possibilité de différer le débit jusqu’à un mois. Ainsi, vous pourrez voyager plus souvent et payer vos billets d’avion AIR FRANCE et KLM en 3 fois sans frais. De plus, vous jouirez d’un programme de fidélité intéressant basé sur un ingénieux système de points convertibles en cadeaux. 

Comment fonctionne Crypto.com ?

Il existe d’autres sortes de services bancaires alternatifs plus innovants et encore assez peu connus du grand public, tels que Crypto.com et Curve. Vous pouvez également vous servir du crypto monnaies pour simplifier vos transactions à l’international. Il s’agit de monnaies virtuelles émises et transférées via une chaîne de blocs internationale. Renseignez-vous à ce sujet si vous souhaitez en apprendre davantage. Il faut savoir qu’aujourd’hui, l’entreprise Crypto.com est en partenariat avec Visa comme fournisseur de carte et avec Payrnet Limited pour les diverses transactions. La principale offre de Crypto.com est de fournir des cartes de paiement métalliques qui sont actuellement considérées comme étant les meilleures du marché. 

N’oubliez pas votre assurance voyage

Pensez à souscrire une assurance voyage si vous partez pour un séjour de moins de 12 mois à travers le monde. Outre votre développement à l’international ou vos conférences et formations, ce type de produit d’assurance est valable dans le cadre d’un séjour linguistique, ou encore si vous souhaitez faire de longues vacances. Toutefois, si votre séjour ne devait pas durer plus de 3 mois, vous pourrez jouir de l’assurance voyage qui est comprise dans votre carte bancaire.

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La nouvelle épreuve du Grand Oral du bac en France

Dès 2021, le Grand Oral du bac sera l’épreuve qui viendra conclure les années de lycée des jeunes Français. Plus qu’un simple test de contrôle de connaissances, celui-ci est conçu pour tester les capacités argumentatives et orales des futurs bacheliers. Pour mieux en appréhender le concept, focus sur son principe, son déroulement et ce qu’il faut faire pour s’y préparer. 

Qu’est-ce que cette nouvelle épreuve du bac ?

Il s’agit d’une épreuve faisant partie des nouvelles réformes du baccalauréat français. Celle-ci rentre en vigueur dès les sessions de 2021. Cette épreuve s’adresse tant aux terminales générales que technologiques. Son principe est simple : elle vise à inculquer l’art oratoire aux lycéens de dernière année. 

Durant 20 minutes, les candidats au Grand Oral Blanc du bac devront s’exprimer en public et argumenter sur 2 sujets de leur choix. Ces sujets auront un lien avec leurs spécialités et leurs centres d’intérêt. 

Ainsi, cette nouvelle épreuve consiste à évaluer, d’une part, les connaissances des élèves de terminales et, d’autre part, leur aisance à l’oral et leur capacité à convaincre. Elle fait partie des 5 épreuves finales du bac qui équivalent aux 3/5 de leur note finale au bac. Pour la voie générale, cette épreuve compte pour un coefficient 10. Pour la voie technologique, c’est un coefficient 14. Autant le dire tout de suite : cette épreuve peut être un moyen de gagner facilement de précieux points qui feront monter la moyenne ! A condition de s’y être correctement préparé, et de ne pas être surpris par son déroulement le jour J…

Bacheliers, ne vous inquiétez pas : avec la bonne méthode et les bonnes techniques d’art oratoire, et pourquoi pas avec l’aide d’un coach en éloquence pour préparer cette épreuve si particulière, il n’est pas déraisonnable de viser un 20 sur 20 au grand oral du bac !

Comment se déroule l’épreuve du Grand Oral blanc ?

Comme le site de l’Éducation nationale l’explique, cet examen se fait en 3 temps :

En amont, le candidat devra traiter 2 questions avec ses professeurs durant ses heures de cours. Ces questions se rapportent à 2 spécialités ou matières préalablement choisies par l’élève. Pour la voie générale, elles doivent se référer à l’une de ces spécialités ou aux 2 en même temps. Pour la voie technologique, ces questions renvoient à l’une des spécialités de la série de l’élève. Le jour J, le jury pourra choisir entre les 2 questions proposées. Par la suite, le candidat an20 minutes pour se préparer et créer un support de présentation. Ce support peut être une carte, un schéma ou un graphique. Passé ce délai, le candidat dispose de 5 minutes pour présenter la raison derrière le choix de la question. Il devra également y répondre et argumenter ses dires.

Dans un second temps, le jury se réservera 10 minutes pour interroger l’élève sur sa présentation. Celui-ci devra répondre sans notes. Il devra développer sa pensée de sorte à mettre en valeur ses connaissances sur les spécialités choisies ainsi que ses capacités à convaincre. 

Dans un dernier temps, le candidat aura 5 minutes pour exposer l’intérêt de sa question quant à ses projets de poursuite d’études et éventuellement, de ses orientations professionnelles. Ici, on jaugera sa motivation personnelle et sa manière d’exprimer un point de vue personnel. 

Comment s’y préparer en tant que lycéen ?

Pour garantir leur réussite au bac, les candidats devront s’exercer. Cela signifie apprendre les bonnes postures et gestuelles. Les terminales auront besoin de travailler leur élocution et surtout, d’être capable d’enchaîner les arguments de façon logique. Pour cela, ils doivent s’entrainer dès la classe de première. Ils auront à se documenter et à s’exercer en cours ou durant leur temps libre. Cette préparation peut se faire tant individuellement qu’en collectif. S’y mettre à plusieurs permettra toutefois de travailler son discours en public, de parfaire les détails de son exposé et de le mettre en scène. 

Grosso modo, cette épreuve teste les compétences orales, la capacité à prendre la parole en continu, la qualité des connaissances, la qualité des interactions et les aptitudes à argumenter de l’élève. Pour la réussir haut-la-main, il faut savoir captiver son auditoire et parler sans notes tout en maîtrisant son sujet. 

Comment suivre les progrès et accompagner son enfant en tant que parents ?

Pour accompagner son enfant dans cette nouvelle aventure, les parents doivent les mettre en confiance. Pour ce faire, ils peuvent l’aider à travailler ses capacités oratoires en lui servant d’auditoire. Sinon, ils peuvent se contenter de l’assister pour mieux faire face au stress. Ils peuvent aussi les stimuler de sorte à garder leur motivation. 

Et si votre jeune bachelier d’enfant prend du plaisir à préparer cette épreuve et que cela se révèle être un succès, alors qui sait, peut-être que cela suscitera une vocation comme devenir conférencier professionnel !

Ce que vous devez retenir :

Le Grand Oral blanc du bac se réalise en trois étapes : présentation, échanges avec le jury et intérêt des questions vis-à-vis des projets d’avenir de l’élève. Cette épreuve vise à évaluer les capacités oratoires du futur bachelier. Elle est rentrée en vigueur à partir des sessions de 2021. Cet examen oral se centre sur 2 questions établies par le candidat et gravitant autour 2 spécialités choisies par ses soins. L’épreuve se passe en 20 minutes d’évaluation et 20 minutes de préparation. 

Le déroulement et les modalités de cette épreuve, encore quelque peu « expérimentale » à l’heure où nous écrivons ces lignes, vont certainement être amenés à évoluer au fil des années qui suivent. Quoi qu’il en soit, pour bien s’y préparer, il faudra toujours du travail et de la rigueur, et ce dès la classe de première !

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Comment développer son activité de conférencier à l’international ?

Quand on est conférencier professionnel, que signifie développer son activité à l’international ? Que faire et ne pas faire ? Quels atouts faut-il cultiver et acquérir pour y parvenir ? En abord, il faut une bonne dose de détermination. Cependant, savoir développer son réseau et avoir un certain talent oratoire s’avèrent tout aussi vitaux. S’ajoutent à cela une abnégation totale au travail et une grande maitrise des langues à l’écrit comme à l’oral. Cela dit, il faut bien plus pour devenir un conférencier international accompli. Ci-après les autres indispensables à connaître. 

Pièges et difficultés lorsque l’on tente de développer son activité à l’international

Quand on est conférencier professionnel, quels avantages y a-t-il à passer à l’international ? Déjà, on est mieux payé. On gagne en notoriété, en influence et en crédibilité. Ce qui s’avère utile pour développer son réseau et trouver plus facilement des clients. Cela aide aussi à asseoir sa réputation afin d’intéresser plus d’invités et d’intervenants de renom à ses rencontres. Cela peut même permettre de développer des compétences de formateur international.

Cependant, universaliser ainsi son activité n’est pas sans écueils. Tenter de se développer à l’international en tant que conférencier revient à s’exposer à de nombreux pièges et tout autant d’épineuses difficultés. Par exemple, beaucoup se leurrent en pensant qu’il faut se focaliser davantage sur le contenu de son discours plutôt que sur son expression scénique. Or être un bon conférencier, c’est savoir donner de soi pour espérer toucher autrui et les aider à améliorer leur quotidien

Quand on veut jouer dans la cour des grands, les barrières de langage peuvent également mettre au pied du mur. Il s’agit d’un problème majeur et récurrent quand on organise dans un pays étranger. 

Aussi, les escroqueries ne manquent pas dans le milieu. Il arrive qu’en souscrivant à une offre en ligne, il s’agisse d’une entourloupe. Il se peut aussi qu’en organisant une conférence à l’étranger, les accords de départ n’aient pas été respectés une fois sur place. Quand on souhaite passer de conférencier professionnel à international, il faut également se renseigner sur les législations des pays de destination. 

Idées pour adapter ses conférences à l’international 

Une fois qu’on a les idées claires sur le métier de conférencier à l’international, il faut passer au travail du contenu. Pour ce faire, on privilégie les discours avec moins de texte. En s’étalant moins et en faisant des discours concis, capter l’attention du public s’avère plus aisé. En ce sens, il faut étayer ses propos avec des projections vidéo et des illustrations pour mieux se faire comprendre. 

Si on ne maitrise pas la langue locale, on peut traduire ses contenus et les afficher à travers des sous-titres. Ces sous-titres s’affichent généralement sur un support numérique tel que PowerPoint ou sur un support papier de type livret manuel. Pour ce qui est de dépasser la barrière de langue, le mieux serait d’apprendre et de maitriser l’anglais. Autrement, rien n’empêche d’utiliser des supports aux contenus traduits ou d’apprendre la langue locale. 

Au début ou au terme de la conférence, on peut remercier ses visiteurs en leur offrant un cadeau. C’est une pratique très courante en Chine. 

Problème de la langue lorsque l’on veut donner des conférences à l’étranger 

Devenir conférencier à l’international revient à faire face aux problèmes de langue. Se faire comprendre dans une langue autre que la sienne n’est pas chose facile. Dès lors, que faire pour que ses messages, ses réponses et son point de vue passent durant sa conférence ? Plusieurs alternatives existent. 

Déjà, on peut faire une conférence en anglais. C’est la langue universelle la plus parlée au monde. Sinon, pour qui doivent assurer plusieurs conférences dans un même pays, le mieux est d’apprendre la langue locale. Sinon, on peut tout aussi bien embaucher un traducteur mais cela revient plus cher. Dès lors, on peut se contenter de faire simple en s’adressant aux expatriés français et francophones. On peut espérer ainsi que ces derniers traduisent ses propos aux natifs. On peut aussi s servir d’un système de sous-titrage sur support papier ou numérique. 

Dans tous les cas, la question de la langue se pose à tous les niveaux de toutes les interactions envisageables avec la population locale, et pas seulement dans le cadre d’une conférence. Cela commence par le grand défi de se faire connaître en tant que conférencier à l’étranger, parallèlement aux actions entreprises pour trouver des clients dans ce nouveau pays.

Prendre en compte les contraintes légales et administratives

Quand on veut rejoindre la scène internationale comme conférencier, on passe obligatoirement par la case de l’expatriation. Cela signifie toutefois se conformer aux contraintes légales et administratives des pays de destination. 

Pour faciliter les procédures, on suffit d’acquérir un statut d’auto-entrepreneur et une couverture maladie en France. Cela facilite le rapprochement avec les institutions étrangères ou avec la caisse des Français de l’étranger. Il existe une seconde option consistant à un détachement en tant que travailleur indépendant ou micro-entrepreneur. Cela ne renvoie à aucune distinction de loi au sein de l’Union Européenne, de l’Islande, de la Norvège, de la Suisse et du Lichtenstein. 

Hors du territoire de l’UE, les déplacements internationaux se font avec un visa. On peut en disposer en en requérant auprès du consulat ou de l’ambassade du pays de destination. Il peut s’agir d’un visa d’affaire, touristique ou de travail. 

Il faudra acquérir en plus une carte de séjour (ou carte de résident) temporaire ou permanente auprès du consulat ou de l’ambassade du pays d’accueil. En cas de séjour dans un pays de l’UE, l’obtention de ce document est obligatoire en cas de séjour excédant les 3 mois. En plus de la carte de résident, il faut en général un permis de travail. 

En cas d’expatriation par détachement, l’auto-entrepreneur peut requérir un séjour d’une durée de 24 mois ou moins. Son statut doit exister au moins 2 mois avant son départ. Il devra préserver sa structure en France : adresse siège de l’entreprise, même mission, acquittement des impôts français et statut toujours en règle avec la CFE (Centre des formalités des entreprises). Passés les 24 mois de détachement, il faut clarifier sa situation chez la CFE et l’URSSAF.

Dans tous les cas, vous pouvez d’ores et déjà passer en revue les possibilités d’ouvrir un compte sur place, ou vous renseigner sur les solutions bancaires qui pourront vous accompagner dans votre déploiement à l’international. Ne serait-ce que pour être en mesure d’encaisser vos premiers clients à l’étranger. Avoir une carte telle qu’une Amex Air France pourra se révéler fort utile si vous projetez de nombreux déplacements à l’étranger, je ne peux que vous recommander d’y souscrire sans tarder. Votre Amex pourrait bien devenir un véritable sésame sur votre chemin vous menant vers un succès mondial !

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Conférencier, coach, formateur : comment trouver des clients à l’étranger ?

Pour toute activité professionnelle, il est important d’élargir son réseau et de mettre au point des stratégies efficaces en vue d’atteindre les sommets. Aujourd’hui, se développer à l’international est une solution majeure, notamment lorsque vous exercez dans le secteur de l’auto-entreprenariat. Et les métiers de conférencier, de coach et de formateur en font partie. Mais pour se faire une place privilégiée dans ce secteur mais aussi pour redoubler de revenus, il faudrait savoir se démarquer en ayant les bonnes méthodes pour trouver des clients. Ce n’est pas uniquement au niveau national ou notamment dans d’autres pays européens, mais aussi, et pour ce domaine précisément, prospecter et intervenir dans d’autres continents.

Plus vous élargissez vos horizons, plus vous vous ouvrez à de nouvelles opportunités. C’est pourquoi, trouver des clients à l’international constitue un atout. Pour cela, vous devez savoir cibler les pays où vous pensez vous rendre en vous informant sur le développement de votre activité dans ces lieux étrangers. A part cela, il est essentiel de profiter de l’avancée technologique et de vous assurer une grande visibilité sur les réseaux sociaux.  En tant que conférencier, coach ou formateur français, voici quelques astuces et conseils à suivre pour concrétiser votre projet de coaching à l’international.

Quels sont les pays à cibler, les plus favorables pour développer son activité en tant que Français ?

Il est impensable pour un formateur international de ne pas envisager de déplacements fréquents, du moins au début. Le coach, le conférencier ou le formateur français qui souhaite obtenir davantage d’audience et développer son activité doit prévoir un planning de déplacements chaque année et bien choisir ses pays cibles.  

Pour commencer une quête de nouveaux clients, il faut sélectionner des pays européens pour s’initier  au contexte de coaching dans un environnement différent de celui auquel l’on est d’habitude confronté. En Europe, les pays sont faciles d’accès, la circulation est très fluide, et vous n’aurez pas beaucoup de difficultés à vous adapter aux réglementations. Optez par exemple pour la Suisse, l’Allemagne ou le Luxembourg où la culture vous sera familière. 

Après quelques séances, vous aurez certainement gagné en expérience. Et si c’est déjà le cas, une autre destination à privilégier serait les USA. Réputés pour être l’eldorado des entrepreneurs, surtout dans le domaine du coaching, les USA vous ouvriront les portes pour vous aligner aux formateurs internationaux. La population en grand nombre jouera en votre faveur pour vous garantir un meilleur chiffre d’affaires.  Vous aurez droit à une clientèle très variée et large. Les coachs les plus réputés se sont forgé leur renommée aux USA. Attendez-vous à une concurrence assez rude une fois arrivé sur cette terre promise du coaching où beaucoup d’autres conférenciers interviennent chaque année. Il n’en reste pas moins que vous parviendrez facilement à atteindre vos objectifs aux USA. Et la culture commune occidentale ne constituera pas pour vous un obstacle. 

Si finalement, vous souhaitez enrichir votre expérience en tant que conférencier français et vous développer à l’international, l’Asie sera pour vous un challenge. Le choc culturel sera sûrement fort. Pour trouver des clients  dans ce continent, il vous faudra savoir mettre en valeur la « french touch » en vous. Mais ce n’est pas mission impossible. Prenez pour exemple le business de Guillaume Rué de Bernadac parfaitement maîtrisé à Shanghaï.

Quels réseaux sociaux et médias pour communiquer selon les pays ?

Pour se faire un nom et générer un maximum de leads, utiliser les réseaux sociaux peut s’avérer très efficace. Le nombre de visiteurs sur les différents réseaux tels que LinkedIn se comptent aujourd’hui par milliers. Les interactions y sont rapides et portent tout aussi rapidement leurs fruits. 

Dans les pays européens et aux USA, LinkedIn est d’ailleurs le réseau professionnel le plus fréquenté et par lequel l’on parvient à se faire connaître à l’international. Développer une stratégie de présence sur LinkedIn pour trouver des clients est donc fondamental quand on envisage de développer son activité dans de nouveaux pays.

Le taux d’utilisateurs professionnels sur Facebook et Twitter sont aussi très nombreux dans ces pays. Usez de vos ressources pour être bien référencé et pour savoir comment faire suivre les mises à jour de vos activités sur ces réseaux. 

YouTube est davantage destiné pour aborder un sujet, faire une FAQ ou un LIVE pour fédérer votre communauté. 

Enfin pour développer votre activité en tant que formateur, coach ou conférencier,  Instagram est le réseau social opté par les professionnels dans ces pays pour des posts ou des stories quotidiennes. Cela en tenant compte bien évidemment de la clientèle cible et des critères de ceux qui vous sont déjà abonnés. 

Les préférences varient selon le pays. Si vous ciblez une clientèle du côté de l’Asie, la population au Japon et  à Taïwan sont plus adeptes de Line ; tandis qu’en Chine, les clients usent davantage de WeChat et ceux en Corée, de Kakotalk. Il faut donc avoir la main pour pouvoir manier les différences entre toutes ces plateformes.

Comment faire de ses origines une force et un atout pour développer son activité à l’étranger ?

S’exporter à l’étranger, c’est voir grand. Cela nécessite d’avoir certaines compétences en stratégie de communication. Vous allez passer un message à une audience différente que vous souhaiteriez sensibiliser.   

Pour atteindre cet objectif, vous devez mettre en avant tous vos atouts, vous construire une forte image en revendiquant votre culture et vos origines à travers la manière dont vous présenterez les choses «  à la française » (ce que nous entendons par french touch). Tout cela en portant également un intérêt à la culture du pays où vous interviendrez. 

Faire attention à la communication interculturelle selon les pays

Il existe différentes manières de communiquer à l’étranger. Avant de vous manifester pour votre conférence ou séance de coaching, faites quelques petites recherches sur la culture du pays où vous comptez vous rendre : les coutumes,  les pratiques, les manières … Par exemple, la façon d’aborder une personne en Asie n’est pas la même qu’en France ou en Europe. Faites toujours attention à vos gestes. D’ailleurs, ces différences culturelles peuvent aussi exister entre les Américains et nos voisins européens. 

Pourquoi développer son activité de coach, formateur ou conférencier à l’international ?

Se donner l’opportunité d’élargir son champ de travail permet sans conteste d’avoir un meilleur cadre de vie. Être coach, formateur ou conférencier international est un des objectifs les plus ambitieux de ce métier. Développer son activité à l’international a des buts bien précis : sensibiliser plus de monde, trouver plus de clients, augmenter la taille de son marché et viser un chiffre d’affaires toujours plus élevé.

Différences à l’étranger = dans un autre pays que son pays d’origine / à l’international = dans plusieurs pays

Les moyens de développer son activité sont multiples. Et il existe des différences entre développer son business sur place, dans son pays d’origine et développer son business à l’étranger. 

S’établir dans un autre pays donne l’opportunité de voir par soi-même l’évolution de ce qui est entrepris, par le biais de rencontres physiques avec les clients, mais aussi par les événements auxquels l’on assiste (conférences, évènements networking, etc.).

Quoiqu’il soit aujourd’hui possible de piloter une entreprise à distance via les moyens digitaux,  privilégier la communication physique renforce votre image et optimise votre travail. 

Avantages et contraintes d’une activité à l’international (se déplacer souvent, etc.)

Une activité à l’international présente, comme toute autre activité, ses avantages et ses inconvénients.

Certes, les profits sont nombreux du point de vue financier et personnel : avoir plus de clients, visiter de nouveaux horizons, s’enrichir en cultures etc. Mais ces déplacements ne sont pas sans contraintes, notamment la gestion du temps, le temps de récupération, la fatigue générée, les risques de surmenage etc… 

Et Il est aussi essentiel de s’assurer d’une bonne gestion de portefeuille car le pourcentage d’imprévus peut amener à déduire certaines charges de sa poche.

Comment s’y prendre ?

En résumé, pour développer son activité à l’international en tant que coach, formateur ou conférencier, il faut maîtriser plusieurs informations concernant les pays, les moyens de communication, les fautes à ne pas commettre, les avantages et les contraintes qu’il faut prendre en considération. Les pièges et difficultés pour se développer à l’international sont nombreux et souvent inévitables, quel que soit le domaine dans lequel on intervient. Le choix du pays  a un enjeu de taille pour l’évolution de votre carrière ainsi que votre présence sur les réseaux sociaux.

Vous devez aussi anticiper vos premières interventions suffisamment à l’avance en préparant une version de vos conférences en anglais ou dans toute autre langue selon les pays que vous visez. Ne minimisez pas la connaissance de la culture du pays où vous envisagez de promouvoir votre activité, notamment en intégrant l’Europe, les USA et les pays asiatiques.

Vous devrez aussi penser à des détails pratico-pratiques mais indispensables, comme le choix du service bancaire le plus adapté pour votre activité à l’étranger. En effet, il vous faudra bien pouvoir être payé, donc recevoir des paiements depuis l’étranger, et effectuer tout type de transactions sur place ou depuis la France avec le pays que vous visez. Mais quoi qu’il en soit, tout ce que vous entreprendrez dans ce sens vous permettra de progresser énormément, sur le plan du business comme sur le plan personnel. Lancez-vous, vous ne le regretterez pas !

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L’évolution de l’éloquence : De la Grèce antique à nos jours

L’éloquence, l’art de parler avec aisance, a traversé les âges et les civilisations, subissant de nombreuses transformations tout en conservant son essence. Les médias sont apparus et se sont développés, depuis la radio jusqu’aux hologrammes et la réalité virtuelle en passant par internet et les réseaux sociaux… Mais les objectifs sont restés les mêmes, et la capacité à persuader repose toujours sur l’habileté de celui qui s’exprime, son aisance et sa facilité à gagner la confiance de son public ou de ses interlocuteurs. Découvrons ensemble les différentes étapes qui ont marqué l’évolution de l’éloquence, depuis la Grèce antique jusqu’à nos jours.

I. L’éloquence dans la Grèce antique

L’éloquence en tant qu’art

C’est à Corax que l’on doit le premier manuel de rhétorique connu à ce jour. Dans la Grèce antique, l’éloquence était considérée comme un art à part entière, une compétence précieuse pour les citoyens. Elle permettait de convaincre, de séduire et de rallier les foules à une cause. Les orateurs étaient des personnages clés de la vie politique et sociale. C’est ce qui amena Démosthène à devenir l’un des plus grands orateurs de tous les temps

Les sophistes et la rhétorique

Les sophistes furent les premiers à enseigner l’éloquence en tant que discipline. Ils développent la rhétorique en tant qu’ensemble de techniques permettant de convaincre et de persuader. Parmi les figures célèbres de cette époque, on retrouve Gorgias, Protagoras et Isocrate.

Platon et Aristote

Platon et Aristote ont également contribué au développement de l’éloquence. Platon, dans ses dialogues, met en scène des personnages qui débattent et argumentent. Aristote, quant à lui, a écrit un ouvrage fondamental sur la rhétorique, dans lequel il expose les bases de l’art oratoire et établit un lien entre l’éloquence et la philosophie.

II. L’éloquence romaine

L’influence grecque

L’éloquence a continué de se développer dans la Rome antique, où elle fut largement influencée par la culture grecque. Les Romains ont adapté les techniques rhétoriques grecques à leur propre contexte, donnant naissance à une tradition oratoire spécifique.

Les grands orateurs romains

Parmi les orateurs les plus célèbres de l’époque romaine, on compte Cicéron et Sénèque. Cicéron a écrit plusieurs traités sur l’éloquence, dont le célèbre De Oratore, dans lequel il décrit les qualités requises pour être un bon orateur. Il aborde également les différents styles oratoires et la manière de les utiliser successivement. Sénèque, pour sa part, a enseigné la rhétorique à Néron et a laissé derrière lui plusieurs œuvres majeures.

III. L’éloquence au Moyen Âge et à la Renaissance

L’éloquence médiévale

Au Moyen Âge, l’éloquence prend une dimension religieuse. Les prêches et les sermons deviennent les principaux vecteurs de l’art oratoire. Les techniques rhétoriques sont adaptées pour servir la foi et diffuser les enseignements de l’Église.

L’éloquence humaniste

La Renaissance voit l’émergence d’une nouvelle forme d’éloquence, inspirée de l’Antiquité : l’éloquence humaniste. Les grands orateurs de cette période, tels que Érasme ou Thomas More, cherchent à concilier les valeurs chrétiennes et les idéaux de l’Antiquité. Ils redécouvrent les textes anciens et s’en inspirent pour élaborer leurs propres discours.

IV. L’éloquence classique

Le Grand Siècle

Le Grand Siècle français est marqué par un essor exceptionnel de l’éloquence. Les orateurs de cette époque, tels que Bossuet, Racine et La Fontaine, cherchent à sublimer la langue française et à exprimer leurs idées avec élégance et précision. Dans la perspective de la rhétorique classique, la structure du discours éloquent respecte un format et des étapes bien précises, desquels on peut toujours s’inspirer aujourd’hui.

Les grands genres de l’éloquence classique

L’éloquence classique se manifeste à travers différents genres littéraires. Le théâtre est l’un des principaux vecteurs de l’éloquence, avec des auteurs tels que Molière et Corneille. L’éloquence se retrouve également dans la poésie, la prédication et les mémoires.

V. L’éloquence moderne et contemporaine

L’éloquence politique et révolutionnaire

L’époque moderne est marquée par un renouveau de l’éloquence, avec l’avènement de la Révolution française. Les discours de Danton, Robespierre et Mirabeau témoignent de la force de l’éloquence politique pour mobiliser les masses et défendre des idées.

L’éloquence au XXe siècle

Au XXe siècle, l’éloquence continue de se développer dans de nouveaux contextes. Les discours de Martin Luther King, Charles de Gaulle et Winston Churchill marquent l’histoire par leur force de persuasion et leur impact sur les événements. La télévision fait son apparition et parallélement émerge en tant que discipline à part entière la communication politique, ou « com’pol » pour les intimes. L’offre s’étoffe avec le media training et toutes les déclinaisons possibles de l’art oratoire en situation… La préparation au débat contradictoire, typique du débat politique et des clashs télévisés, s’inspire souvent très directement de Schopenhauer et son « art d’avoir toujours raison » !

L’éloquence à l’ère numérique

À l’ère du numérique, l’éloquence prend de nouvelles formes. Les TED Talks, les podcasts et les discours en ligne permettent aux orateurs de toucher un public toujours plus vaste. Les techniques de l’éloquence continuent d’évoluer pour s’adapter à ces nouveaux médias et capter l’attention des auditeurs. Il est crucial pour l’orateur contemporain, le conférencier ou même le formateur, de prendre en compte ces aspects techniques et les innovations technologiques pour rendre ses interventions plus dynamiques et captiver le public.

Conclusion : quelle sera la prochaine évolution ?

En somme, l’éloquence a traversé les âges et les civilisations, évoluant sans cesse pour s’adapter aux contextes et aux enjeux de chaque époque. De la Grèce antique à nos jours, l’art de bien parler et de persuader demeure une compétence essentielle, aussi bien dans le domaine politique que dans la sphère privée. C’est une toute nouvelle rhétorique qui émerge aujourd’hui, qui change dans sa forme et de par les médias utilisés, mais qui repose toujours sur l’aspect fondamental de l’orateur : son humanité, sa volonté de bien faire et de persuader dans un but bien précis, pour faire avancer une cause ou un projet et se rapprocher d’un idéal qui l’anime viscéralement…

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Surmonter les barrières culturelles grâce à l’éloquence

Dans sa définition la plus simple, l’éloquence est l’art de s’exprimer avec aisance… L’éloquence est un art oratoire qui permet de s’exprimer de manière claire, persuasive et captivante. Dans un monde de plus en plus connecté, la maîtrise de cette compétence est primordiale pour abattre les barrières culturelles et faciliter la communication entre individus de différentes origines.

I. Les bienfaits de l’éloquence dans un contexte multiculturel

  1. Favoriser la compréhension mutuelle : L’éloquence permet de transmettre des idées et des opinions de manière claire et précise, favorisant ainsi une meilleure compréhension entre les personnes issues de différentes cultures.
  2. Faciliter la coopération et le travail d’équipe : Une communication efficace est essentielle pour travailler en équipe et collaborer sur des projets. L’éloquence contribue à établir un climat de confiance et facilite les échanges.
  3. Promouvoir l’intégration et l’inclusion : L’éloquence permet de mettre en valeur les points de vue et les idées de chacun, favorisant ainsi un environnement inclusif où toutes les voix sont entendues et respectées.

II. Comment développer son éloquence pour combler les écarts culturels

  1. Améliorer sa maîtrise de la langue : Une bonne connaissance de la langue utilisée est essentielle pour être éloquent. Il est important de travailler son vocabulaire, sa grammaire et sa prononciation afin de pouvoir s’exprimer de manière claire et précise. Bien sûr, vous améliorer en anglais est certainement la première chose à faire ! Ensuite, vous pourrez facilement préparer une version de votre conférence en anglais ainsi qu’un CV en anglais.
  2. S’informer sur les différentes cultures : La connaissance des différentes cultures permet de mieux comprendre les attentes et les valeurs de chacun. Cette compréhension facilite la communication et contribue à abattre les barrières culturelles. Si l’anglais est si important dans votre vie professionnelle, c’est parce qu’il permet de communiquer partout dans le monde (et pas seulement en Angleterre et aux USA bien évidemment !!). Pour développer votre activité de conférencier à l’étranger, une approche interculturelle est primordiale.
  3. Pratiquer l’écoute active : L’écoute active est une compétence clé pour être éloquent. Elle permet de comprendre les besoins et les attentes de son interlocuteur et d’adapter son discours en conséquence. En d’autres termes : avant de parler et de vous faire comprendre, apprenez à écouter et à comprendre l’autre ! Et ainsi vous aurez déjà fait plus de la moitié du travail…

III. Techniques pour améliorer son éloquence dans un contexte interculturel

  1. Utiliser des exemples concrets : Les exemples concrets permettent de rendre son discours plus accessible et compréhensible pour un public varié. Ils facilitent également la mémorisation des idées présentées.
  2. Varier les registres de langage : Il est important d’adapter son registre de langage en fonction de son interlocuteur et du contexte. Un langage trop soutenu ou trop familier peut créer une distance et entraver la communication.
  3. Maîtriser l’art de la rhétorique : La rhétorique est l’art de convaincre et de persuader. Pour être éloquent, il est essentiel de maîtriser les techniques de la rhétorique, telles que les figures de style, l’argumentation ou encore la structuration du discours.

IV. Les défis de l’éloquence dans un contexte multiculturel

  1. Les barrières linguistiques : Les différences linguistiques peuvent être un obstacle à la communication et à l’éloquence. Il est important de surmonter ces barrières en apprenant d’autres langues ou en ayant recours à des outils de traduction.
  2. Les différences culturelles : Les divergences culturelles peuvent entraîner des malentendus ou des incompréhensions. Il est essentiel de s’informer sur les us et coutumes des autres cultures pour éviter ces difficultés.
  3. Les stéréotypes et les préjugés : Les stéréotypes et les préjugés peuvent nuire à la communication interculturelle. Il est important de les identifier et de les combattre pour favoriser une communication ouverte et respectueuse.

V. Exemples de succès dans la communication interculturelle grâce à l’éloquence

  1. Les conférences internationales : Les conférences internationales réunissent des personnes de différentes cultures pour échanger sur des sujets variés. L’éloquence est un atout majeur pour ces événements, car elle permet de présenter des idées de manière claire et persuasive. Pourquoi ne pas devenir vous-même conférencier international ?
  2. Les entreprises multinationales : Les entreprises multinationales opèrent dans un environnement interculturel et ont besoin de collaborateurs capables de communiquer efficacement. L’éloquence facilite les échanges entre collègues et permet de mener à bien des projets d’envergure internationale.
  3. La diplomatie : La diplomatie repose en grande partie sur la capacité à communiquer et à convaincre. L’éloquence est donc essentielle pour les diplomates, qui doivent être en mesure de défendre les intérêts de leur pays dans un contexte multiculturel.

En guise de conclusion : une meilleure communication, c’est une meilleure compréhension…

En somme, l’éloquence est une compétence précieuse pour surmonter les défis liés aux écarts culturels. Elle favorise la compréhension mutuelle, facilite la coopération et promeut l’intégration et l’inclusion. Pour développer son éloquence, il est important de travailler sa maîtrise de la langue, de s’informer sur les différentes cultures et de pratiquer l’écoute active. Les techniques d’éloquence, telles que l’utilisation d’exemples concrets, la variation des registres de langage et la maîtrise de la rhétorique, sont également essentielles pour communiquer efficacement dans un contexte interculturel. En surmontant les défis liés aux barrières linguistiques, aux différences culturelles et aux stéréotypes, l’éloquence peut véritablement contribuer à combler les écarts culturels et à créer un monde plus uni et harmonieux.

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