International

Les principales difficultés lorsqu’on développe son activité à l’international

Certes, préparer une version de vos conférences en anglais est en soi une bonne étape en vue de devenir conférencier international. Mais le conférencier qui veut développer son activité de conférences à l’international international doit aussi envisager son activité comme une véritable entreprise et mettre en place une authentique stratégie de conquête de nouveaux marchés à l’étranger. Pour accroître la notoriété d’une entreprise à l’international et lui permettre de développer son chiffre d’affaires, le porteur de projet est tenu de se préparer. Les difficultés et les pièges sont nombreux, certains inévitables. Le développement à l’international comporte de nombreux risques qu’il convient de minimiser au préalable. 

Les premiers risques à considérer

Déjà, étendre une activité à l’international signifie se déplacer assez fréquemment. Ce qui nécessite une coordination et une organisation de ces déplacements. Bien que les préparatifs puissent être pris en charge par un assistant, l’entrepreneur pour sa part est tenu de faire face au stress, au jetlag. En arrivant dans un autre pays, la baisse d’énergie due aux décalages horaires est parfois insurmontable. Cependant, aucune perte de temps n’est permise. D’où l’importance de gérer sa fatigue.  

En outre, un entrepreneur qui cherche à développer sa marque à l’international est tenu à la gestion de son budget. Effectivement, il ne faut pas oublier que les prix varient selon le pays. De même, le porteur de projet doit encore tenir compte de la fiscalisation et des taxes applicables à son statut d’entrepreneur.

Pour ceux qui veulent faire connaitre leurs nouveaux produits, le problème est d’une tout autre ampleur. En effet, en plus de fidéliser les nouveaux clients, il convient d’entretenir la relation avec les anciens habitués. Dans ce cas, il convient de transmettre des emails personnalisés ou encore des newsletters sur l’organisation de vidéo-conférence dans le but de présenter les nouvelles promotions. Ici, le recrutement d’un conférencier doit accompagner cette étape du projet.

De surcroît, l’entrepreneur doit entretenir et développer son réseau à l’international. De ce fait, il est tenu de se faire entourer des meilleurs commerciaux capables de vanter les mérites des produits qu’il propose. L’expatriation revient à trouver de nouveaux clients dans divers pays du monde. Dans cette optique, il est important de concevoir un réseau et d’y rester actif. Pour faire des rencontres et optimiser le networking, il est préconisé de s’inscrire à des événements ou encore d’organiser des rencontres à thème. Encore que visiter un autre pays pour y étendre une activité signifie tenir compte de l’importance de la communication interculturelle. Il est alors capital de développer la communication pour divers pays et pour différentes sortes de public.

Etudier et comprendre le pays ciblé

Voici un autre problème de taille que toute personne cherchant à développer son activité doit examiner de près. Bien qu’il soit facile d’assimiler les cultures d’un autre pays, il n’est pas évident d’étudier la langue utilisée ni de cerner chaque zone géographique. Pourtant, ce sont là des prérequis fondamentaux à l’expansion d’une activité à l’international. Il est capital d’étudier le marché avant de songer à s’installer. Aussi, le porteur de projet doit absolument se renseigner sur l’activité économique du pays. Ce qui porte sur la moyenne de croissance annuelle de ce dernier ou encore du nombre d’impayés et des dispositions légales en matière de pratiques commerciales. Quid des types de contrats et des délais de paiement ? Ce sont autant de données qui doivent être passées en revue et qui nécessitent pourtant la vision d’un expert. 

Le chef d’entreprise doit encore se rendre dans le ou les pays concernés par l’extension pour analyser les différentes possibilités d’organisation de sa nouvelle activité. Comment constituer un réseau et de quelle manière procéder pour obtenir le soutien des partenaires locaux ? Ce sont des questions qui demandent des réponses dans les plus brefs délais. 

Encore que la détermination du pays cible ne suffit pas toujours. Il est aussi important de se poser des questions quant à la valeur ajoutée du produit sur le marché cible. Si cette dernière n’est pas plus élevée que celle d’un produit local, l’investissement n’en vaut peut-être pas la peine. Dans ce cas, il faut s’assurer de ne proposer qu’un produit innovant qui fasse réellement la différence. Dès lors que l’offre correspond aux attentes des clients, l’entrepreneur doit encore édifier un plan marketing qui s’adapte aux coutumes et à la langue du pays. Aussi, il est nécessaire de définir une bonne stratégie commerciale. 

La problématique du financement

Il est faux de penser qu’un entrepreneur dispose de toutes les finances nécessaires pour étendre son projet dans le monde. Il est tenu de mettre en place un business plan pour tenter de trouver toutes les options de financement de son projet ainsi que les coûts. Le chef d’entreprise doit déposer différentes demandes d’aides pour avoir une idée des différents leviers existants. Il peut bénéficier d’aides financières, de fonds propres ou encore de prêts exports. Encore qu’il est plus qu’important de démontrer les bénéfices que dégage le projet avant de pouvoir prétendre à un quelconque financement.

Quoi qu’il en soit, et cela est aussi lié au financement, il vous faut une solution bancaire adaptée à une activité se déployant à l’international. Dans un précédent article nous avions abordé la question en nous demandant : quels services bancaires lorsqu’on développe son activité à l’international ? Et parmi les solutions existantes à ce jour, il apparait clairement que la carte American Express platinum Air France – KLM est une excellente solution présentant des avantages non négligeables aux personnes régulièrement amenées à se déplacer à l’étranger.

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Quels services bancaires lorsqu’on développe son activité à l’international ?

Si vous souhaitez développer votre activité à l’international, il est important que vous connaissiez les services bancaires alternatifs qui seront plus avantageux pour vous. Comme, il n’est pas toujours aisé de s’y retrouver avec les innombrables options proposées sur le marché bancaire, voici quelques informations qui devraient vous être utiles pour vos déplacements

Les comptes bancaires multi-devises

En tant que conférencier ou formateur international, il est primordial de développer son activité à l’étranger. Il est donc préférable de s’entourer des partenaires financiers les plus avantageux pour sécuriser ses opérations commerciales à l’international. Parmi les services bancaires alternatifs existants, vous avez les comptes multi-devises, tels que Revolut et N26. Ces services sont considérés comme de vraies banques et vous font jouir d’un gain de temps considérable. 

Le plus intéressant dans les comptes multi-devises se trouve au niveau des tarifs appliqués. Réglez relativement peu de frais bancaires et gérez facilement vos opérations à distance durant vos déplacements. Si l’on prend par exemple Revolut et N26, les cartes bancaires sont comprises dans le tarif de départ qui est très intéressant. Vous disposez d’un grand nombre de devises disponibles, le taux de change est réel et aucune commission ne sera appliquée. 

L’avantage des néo-banques

Une banque en ligne est une structure bancaire qui est instaurée à partir d’une banque traditionnelle. Elle proposera les mêmes services et prestations, à des tarifs plus concurrentiels. L’objectif des services bancaires alternatifs est d’être en mesure de vous offrir un service dématérialisé, idéal donc pour vos déplacements à l’international. Une néo-banque ou banque en ligne vous offre la possibilité de gérer votre compte bancaire sur internet, où que vous soyez. Effectuez toutes sortes d’opérations bancaires directement depuis votre écran. 

Un compte en euro à l’étranger

Les virements non SEPA peuvent s’avérer particulièrement onéreux, notamment lorsque vous possédez un compte français alors que vous vous trouvez à l’étranger. Un compte multi-devises vous permettra d’obtenir un compte en euros à l’international. Vous aurez également la possibilité d’ouvrir des sous-comptes et leur attribuer à chacun une monnaie différente. Vous obtiendrez une carte bancaire qui vous permettra de voyager sans régler le moindre frais supplémentaire pour vos retraits ou paiements à l’étranger, même si vous sortez de la zone euro. Voilà de quoi ravir les conférenciers, formateurs international et autres globetrotteurs.

L’utilité d’une carte bancaire internationale

Si vous voyagez souvent, vous aurez besoin d’une carte bancaire internationale, telle qu’American Express. Nombreuses sont les différentes prestations proposées, en fonction de cette carte bancaire internationale. Aussi est-il très important de prendre en considération les différentes garanties offertes par chacune d’elles. Certaines cartes bancaires telles qu’American Express sont plus avantageuses que d’autres et donnent accès à une indemnisation lorsqu’un imprévu survient. Pensez à toujours lire les conditions du contrat du service bancaire alternatif que vous choisissez afin d’en apprendre davantage sur le type d’abonnement et fees dont il s’agit. Renseignez-vous également sur les frais appliqués par retraits ou paiements ainsi que sur le nombre de retraits autorisés sur votre carte bancaire internationale. 

La carte American Express Air France – KLM

Si vos déplacements sont fréquents, adoptez la carte American Express Air France – KLM. Dans un précédent article nous avons détaillé les incroyables avantages de la carte Amex Platinum Air France – KLM pour les grands voyageurs et pour tous les professionnels, coach, formateurs et conférenciers qui se développent à l’international. Cette carte de paiement internationale vous offre la possibilité de différer le débit jusqu’à un mois. Ainsi, vous pourrez voyager plus souvent et payer vos billets d’avion AIR FRANCE et KLM en 3 fois sans frais. De plus, vous jouirez d’un programme de fidélité intéressant basé sur un ingénieux système de points convertibles en cadeaux. 

Comment fonctionne Crypto.com ?

Il existe d’autres sortes de services bancaires alternatifs plus innovants et encore assez peu connus du grand public, tels que Crypto.com et Curve. Vous pouvez également vous servir du crypto monnaies pour simplifier vos transactions à l’international. Il s’agit de monnaies virtuelles émises et transférées via une chaîne de blocs internationale. Renseignez-vous à ce sujet si vous souhaitez en apprendre davantage. Il faut savoir qu’aujourd’hui, l’entreprise Crypto.com est en partenariat avec Visa comme fournisseur de carte et avec Payrnet Limited pour les diverses transactions. La principale offre de Crypto.com est de fournir des cartes de paiement métalliques qui sont actuellement considérées comme étant les meilleures du marché. 

N’oubliez pas votre assurance voyage

Pensez à souscrire une assurance voyage si vous partez pour un séjour de moins de 12 mois à travers le monde. Outre votre développement à l’international ou vos conférences et formations, ce type de produit d’assurance est valable dans le cadre d’un séjour linguistique, ou encore si vous souhaitez faire de longues vacances. Toutefois, si votre séjour ne devait pas durer plus de 3 mois, vous pourrez jouir de l’assurance voyage qui est comprise dans votre carte bancaire.

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Comment développer son activité de conférencier à l’international ?

Quand on est conférencier professionnel, que signifie développer son activité à l’international ? Que faire et ne pas faire ? Quels atouts faut-il cultiver et acquérir pour y parvenir ? En abord, il faut une bonne dose de détermination. Cependant, savoir développer son réseau et avoir un certain talent oratoire s’avèrent tout aussi vitaux. S’ajoutent à cela une abnégation totale au travail et une grande maitrise des langues à l’écrit comme à l’oral. Cela dit, il faut bien plus pour devenir un conférencier international accompli. Ci-après les autres indispensables à connaître. 

Pièges et difficultés lorsque l’on tente de développer son activité à l’international

Quand on est conférencier professionnel, quels avantages y a-t-il à passer à l’international ? Déjà, on est mieux payé. On gagne en notoriété, en influence et en crédibilité. Ce qui s’avère utile pour développer son réseau et trouver plus facilement des clients. Cela aide aussi à asseoir sa réputation afin d’intéresser plus d’invités et d’intervenants de renom à ses rencontres. Cela peut même permettre de développer des compétences de formateur international.

Cependant, universaliser ainsi son activité n’est pas sans écueils. Tenter de se développer à l’international en tant que conférencier revient à s’exposer à de nombreux pièges et tout autant d’épineuses difficultés. Par exemple, beaucoup se leurrent en pensant qu’il faut se focaliser davantage sur le contenu de son discours plutôt que sur son expression scénique. Or être un bon conférencier, c’est savoir donner de soi pour espérer toucher autrui et les aider à améliorer leur quotidien

Quand on veut jouer dans la cour des grands, les barrières de langage peuvent également mettre au pied du mur. Il s’agit d’un problème majeur et récurrent quand on organise dans un pays étranger. 

Aussi, les escroqueries ne manquent pas dans le milieu. Il arrive qu’en souscrivant à une offre en ligne, il s’agisse d’une entourloupe. Il se peut aussi qu’en organisant une conférence à l’étranger, les accords de départ n’aient pas été respectés une fois sur place. Quand on souhaite passer de conférencier professionnel à international, il faut également se renseigner sur les législations des pays de destination. 

Idées pour adapter ses conférences à l’international 

Une fois qu’on a les idées claires sur le métier de conférencier à l’international, il faut passer au travail du contenu. Pour ce faire, on privilégie les discours avec moins de texte. En s’étalant moins et en faisant des discours concis, capter l’attention du public s’avère plus aisé. En ce sens, il faut étayer ses propos avec des projections vidéo et des illustrations pour mieux se faire comprendre. 

Si on ne maitrise pas la langue locale, on peut traduire ses contenus et les afficher à travers des sous-titres. Ces sous-titres s’affichent généralement sur un support numérique tel que PowerPoint ou sur un support papier de type livret manuel. Pour ce qui est de dépasser la barrière de langue, le mieux serait d’apprendre et de maitriser l’anglais. Autrement, rien n’empêche d’utiliser des supports aux contenus traduits ou d’apprendre la langue locale. 

Au début ou au terme de la conférence, on peut remercier ses visiteurs en leur offrant un cadeau. C’est une pratique très courante en Chine. 

Problème de la langue lorsque l’on veut donner des conférences à l’étranger 

Devenir conférencier à l’international revient à faire face aux problèmes de langue. Se faire comprendre dans une langue autre que la sienne n’est pas chose facile. Dès lors, que faire pour que ses messages, ses réponses et son point de vue passent durant sa conférence ? Plusieurs alternatives existent. 

Déjà, on peut faire une conférence en anglais. C’est la langue universelle la plus parlée au monde. Sinon, pour qui doivent assurer plusieurs conférences dans un même pays, le mieux est d’apprendre la langue locale. Sinon, on peut tout aussi bien embaucher un traducteur mais cela revient plus cher. Dès lors, on peut se contenter de faire simple en s’adressant aux expatriés français et francophones. On peut espérer ainsi que ces derniers traduisent ses propos aux natifs. On peut aussi s servir d’un système de sous-titrage sur support papier ou numérique. 

Dans tous les cas, la question de la langue se pose à tous les niveaux de toutes les interactions envisageables avec la population locale, et pas seulement dans le cadre d’une conférence. Cela commence par le grand défi de se faire connaître en tant que conférencier à l’étranger, parallèlement aux actions entreprises pour trouver des clients dans ce nouveau pays.

Prendre en compte les contraintes légales et administratives

Quand on veut rejoindre la scène internationale comme conférencier, on passe obligatoirement par la case de l’expatriation. Cela signifie toutefois se conformer aux contraintes légales et administratives des pays de destination. 

Pour faciliter les procédures, on suffit d’acquérir un statut d’auto-entrepreneur et une couverture maladie en France. Cela facilite le rapprochement avec les institutions étrangères ou avec la caisse des Français de l’étranger. Il existe une seconde option consistant à un détachement en tant que travailleur indépendant ou micro-entrepreneur. Cela ne renvoie à aucune distinction de loi au sein de l’Union Européenne, de l’Islande, de la Norvège, de la Suisse et du Lichtenstein. 

Hors du territoire de l’UE, les déplacements internationaux se font avec un visa. On peut en disposer en en requérant auprès du consulat ou de l’ambassade du pays de destination. Il peut s’agir d’un visa d’affaire, touristique ou de travail. 

Il faudra acquérir en plus une carte de séjour (ou carte de résident) temporaire ou permanente auprès du consulat ou de l’ambassade du pays d’accueil. En cas de séjour dans un pays de l’UE, l’obtention de ce document est obligatoire en cas de séjour excédant les 3 mois. En plus de la carte de résident, il faut en général un permis de travail. 

En cas d’expatriation par détachement, l’auto-entrepreneur peut requérir un séjour d’une durée de 24 mois ou moins. Son statut doit exister au moins 2 mois avant son départ. Il devra préserver sa structure en France : adresse siège de l’entreprise, même mission, acquittement des impôts français et statut toujours en règle avec la CFE (Centre des formalités des entreprises). Passés les 24 mois de détachement, il faut clarifier sa situation chez la CFE et l’URSSAF.

Dans tous les cas, vous pouvez d’ores et déjà passer en revue les possibilités d’ouvrir un compte sur place, ou vous renseigner sur les solutions bancaires qui pourront vous accompagner dans votre déploiement à l’international. Ne serait-ce que pour être en mesure d’encaisser vos premiers clients à l’étranger. Avoir une carte telle qu’une Amex Air France pourra se révéler fort utile si vous projetez de nombreux déplacements à l’étranger, je ne peux que vous recommander d’y souscrire sans tarder. Votre Amex pourrait bien devenir un véritable sésame sur votre chemin vous menant vers un succès mondial !

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Conférencier, coach, formateur : comment trouver des clients à l’étranger ?

Pour toute activité professionnelle, il est important d’élargir son réseau et de mettre au point des stratégies efficaces en vue d’atteindre les sommets. Aujourd’hui, se développer à l’international est une solution majeure, notamment lorsque vous exercez dans le secteur de l’auto-entreprenariat. Et les métiers de conférencier, de coach et de formateur en font partie. Mais pour se faire une place privilégiée dans ce secteur mais aussi pour redoubler de revenus, il faudrait savoir se démarquer en ayant les bonnes méthodes pour trouver des clients. Ce n’est pas uniquement au niveau national ou notamment dans d’autres pays européens, mais aussi, et pour ce domaine précisément, prospecter et intervenir dans d’autres continents.

Plus vous élargissez vos horizons, plus vous vous ouvrez à de nouvelles opportunités. C’est pourquoi, trouver des clients à l’international constitue un atout. Pour cela, vous devez savoir cibler les pays où vous pensez vous rendre en vous informant sur le développement de votre activité dans ces lieux étrangers. A part cela, il est essentiel de profiter de l’avancée technologique et de vous assurer une grande visibilité sur les réseaux sociaux.  En tant que conférencier, coach ou formateur français, voici quelques astuces et conseils à suivre pour concrétiser votre projet de coaching à l’international.

Quels sont les pays à cibler, les plus favorables pour développer son activité en tant que Français ?

Il est impensable pour un formateur international de ne pas envisager de déplacements fréquents, du moins au début. Le coach, le conférencier ou le formateur français qui souhaite obtenir davantage d’audience et développer son activité doit prévoir un planning de déplacements chaque année et bien choisir ses pays cibles.  

Pour commencer une quête de nouveaux clients, il faut sélectionner des pays européens pour s’initier  au contexte de coaching dans un environnement différent de celui auquel l’on est d’habitude confronté. En Europe, les pays sont faciles d’accès, la circulation est très fluide, et vous n’aurez pas beaucoup de difficultés à vous adapter aux réglementations. Optez par exemple pour la Suisse, l’Allemagne ou le Luxembourg où la culture vous sera familière. 

Après quelques séances, vous aurez certainement gagné en expérience. Et si c’est déjà le cas, une autre destination à privilégier serait les USA. Réputés pour être l’eldorado des entrepreneurs, surtout dans le domaine du coaching, les USA vous ouvriront les portes pour vous aligner aux formateurs internationaux. La population en grand nombre jouera en votre faveur pour vous garantir un meilleur chiffre d’affaires.  Vous aurez droit à une clientèle très variée et large. Les coachs les plus réputés se sont forgé leur renommée aux USA. Attendez-vous à une concurrence assez rude une fois arrivé sur cette terre promise du coaching où beaucoup d’autres conférenciers interviennent chaque année. Il n’en reste pas moins que vous parviendrez facilement à atteindre vos objectifs aux USA. Et la culture commune occidentale ne constituera pas pour vous un obstacle. 

Si finalement, vous souhaitez enrichir votre expérience en tant que conférencier français et vous développer à l’international, l’Asie sera pour vous un challenge. Le choc culturel sera sûrement fort. Pour trouver des clients  dans ce continent, il vous faudra savoir mettre en valeur la « french touch » en vous. Mais ce n’est pas mission impossible. Prenez pour exemple le business de Guillaume Rué de Bernadac parfaitement maîtrisé à Shanghaï.

Quels réseaux sociaux et médias pour communiquer selon les pays ?

Pour se faire un nom et générer un maximum de leads, utiliser les réseaux sociaux peut s’avérer très efficace. Le nombre de visiteurs sur les différents réseaux tels que LinkedIn se comptent aujourd’hui par milliers. Les interactions y sont rapides et portent tout aussi rapidement leurs fruits. 

Dans les pays européens et aux USA, LinkedIn est d’ailleurs le réseau professionnel le plus fréquenté et par lequel l’on parvient à se faire connaître à l’international. Développer une stratégie de présence sur LinkedIn pour trouver des clients est donc fondamental quand on envisage de développer son activité dans de nouveaux pays.

Le taux d’utilisateurs professionnels sur Facebook et Twitter sont aussi très nombreux dans ces pays. Usez de vos ressources pour être bien référencé et pour savoir comment faire suivre les mises à jour de vos activités sur ces réseaux. 

YouTube est davantage destiné pour aborder un sujet, faire une FAQ ou un LIVE pour fédérer votre communauté. 

Enfin pour développer votre activité en tant que formateur, coach ou conférencier,  Instagram est le réseau social opté par les professionnels dans ces pays pour des posts ou des stories quotidiennes. Cela en tenant compte bien évidemment de la clientèle cible et des critères de ceux qui vous sont déjà abonnés. 

Les préférences varient selon le pays. Si vous ciblez une clientèle du côté de l’Asie, la population au Japon et  à Taïwan sont plus adeptes de Line ; tandis qu’en Chine, les clients usent davantage de WeChat et ceux en Corée, de Kakotalk. Il faut donc avoir la main pour pouvoir manier les différences entre toutes ces plateformes.

Comment faire de ses origines une force et un atout pour développer son activité à l’étranger ?

S’exporter à l’étranger, c’est voir grand. Cela nécessite d’avoir certaines compétences en stratégie de communication. Vous allez passer un message à une audience différente que vous souhaiteriez sensibiliser.   

Pour atteindre cet objectif, vous devez mettre en avant tous vos atouts, vous construire une forte image en revendiquant votre culture et vos origines à travers la manière dont vous présenterez les choses «  à la française » (ce que nous entendons par french touch). Tout cela en portant également un intérêt à la culture du pays où vous interviendrez. 

Faire attention à la communication interculturelle selon les pays

Il existe différentes manières de communiquer à l’étranger. Avant de vous manifester pour votre conférence ou séance de coaching, faites quelques petites recherches sur la culture du pays où vous comptez vous rendre : les coutumes,  les pratiques, les manières … Par exemple, la façon d’aborder une personne en Asie n’est pas la même qu’en France ou en Europe. Faites toujours attention à vos gestes. D’ailleurs, ces différences culturelles peuvent aussi exister entre les Américains et nos voisins européens. 

Pourquoi développer son activité de coach, formateur ou conférencier à l’international ?

Se donner l’opportunité d’élargir son champ de travail permet sans conteste d’avoir un meilleur cadre de vie. Être coach, formateur ou conférencier international est un des objectifs les plus ambitieux de ce métier. Développer son activité à l’international a des buts bien précis : sensibiliser plus de monde, trouver plus de clients, augmenter la taille de son marché et viser un chiffre d’affaires toujours plus élevé.

Différences à l’étranger = dans un autre pays que son pays d’origine / à l’international = dans plusieurs pays

Les moyens de développer son activité sont multiples. Et il existe des différences entre développer son business sur place, dans son pays d’origine et développer son business à l’étranger. 

S’établir dans un autre pays donne l’opportunité de voir par soi-même l’évolution de ce qui est entrepris, par le biais de rencontres physiques avec les clients, mais aussi par les événements auxquels l’on assiste (conférences, évènements networking, etc.).

Quoiqu’il soit aujourd’hui possible de piloter une entreprise à distance via les moyens digitaux,  privilégier la communication physique renforce votre image et optimise votre travail. 

Avantages et contraintes d’une activité à l’international (se déplacer souvent, etc.)

Une activité à l’international présente, comme toute autre activité, ses avantages et ses inconvénients.

Certes, les profits sont nombreux du point de vue financier et personnel : avoir plus de clients, visiter de nouveaux horizons, s’enrichir en cultures etc. Mais ces déplacements ne sont pas sans contraintes, notamment la gestion du temps, le temps de récupération, la fatigue générée, les risques de surmenage etc… 

Et Il est aussi essentiel de s’assurer d’une bonne gestion de portefeuille car le pourcentage d’imprévus peut amener à déduire certaines charges de sa poche.

Comment s’y prendre ?

En résumé, pour développer son activité à l’international en tant que coach, formateur ou conférencier, il faut maîtriser plusieurs informations concernant les pays, les moyens de communication, les fautes à ne pas commettre, les avantages et les contraintes qu’il faut prendre en considération. Les pièges et difficultés pour se développer à l’international sont nombreux et souvent inévitables, quel que soit le domaine dans lequel on intervient. Le choix du pays  a un enjeu de taille pour l’évolution de votre carrière ainsi que votre présence sur les réseaux sociaux.

Vous devez aussi anticiper vos premières interventions suffisamment à l’avance en préparant une version de vos conférences en anglais ou dans toute autre langue selon les pays que vous visez. Ne minimisez pas la connaissance de la culture du pays où vous envisagez de promouvoir votre activité, notamment en intégrant l’Europe, les USA et les pays asiatiques.

Vous devrez aussi penser à des détails pratico-pratiques mais indispensables, comme le choix du service bancaire le plus adapté pour votre activité à l’étranger. En effet, il vous faudra bien pouvoir être payé, donc recevoir des paiements depuis l’étranger, et effectuer tout type de transactions sur place ou depuis la France avec le pays que vous visez. Mais quoi qu’il en soit, tout ce que vous entreprendrez dans ce sens vous permettra de progresser énormément, sur le plan du business comme sur le plan personnel. Lancez-vous, vous ne le regretterez pas !

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5 conseils décisifs pour progresser rapidement en anglais

Pour beaucoup d’entre nous, l’anglais est souvent un vague (mauvais) souvenir d’école. Nous nous souvenons des listes de verbes irréguliers que nous avions du mal à retenir pour les examens et qui étaient oubliés une fois sorti de la salle. C’est parfois une langue liée aux vacances, on se souvient tous du serveur qui n’avait pas compris notre commande… Mais c’est aussi et surtout une nécessité dans le monde d’aujourd’hui, notamment pour progresser dans votre carrière et d’autant plus si vous êtes formateur ou conférencier professionnel et que vous voulez vous developper à l’international !

Vous souhaitez vous remettre à l’anglais et vous vous dites que c’est trop compliqué ? Que vous n’aurez jamais le niveau qu’il faut ? Que vous n’avez pas le temps ? C’est faux. Dans cet article, vous allez découvrir 5 moyens à la fois simples et très efficaces de reprendre votre apprentissage de l’anglais et surtout progresser rapidement.

1. Mettez de l’anglais dans votre quotidien

Si l’anglais nous semble si difficile, c’est, notamment, car nous le pratiquons peu. Un des premiers pas pour progresser est de faire un peu d’anglais régulièrement. Idéalement, tous les jours. 5 min à 10 min de temps en temps suffisent pour que l’anglais ne nous semble plus si étranger et lointain. Notre cerveau a besoin de s’habituer à l’anglais.

Un des meilleurs moyens de progresser est de commencer par mettre de l’anglais en fond sonore quand vous faites autre chose. Il ne s’agit donc pas de trouver du temps dédié à l’anglais. Il faut faire de l’anglais en même temps que vos activités quotidiennes. Dans votre cuisine, dans votre salle de bain, lorsque vous faites du sport. Même si vous n’êtes pas concentré sur l’anglais, votre cerveau travaillera de façon passive et vous progresserez.

2. Regardez des vidéos en anglais

Regarder la télé, des films, des vidéos sur YouTube en anglais permet de progresser. En France, la plupart de nos films sont doublés. C’est rarement le cas dans les autres pays et les gens sont beaucoup plus habitués aux langues étrangères. Pour changer cette tendance, il faut regarder les films en VO.

On se dit toujours que l’on ne comprend pas. Il est possible de commencer par regarder avec des sous-titres en français et dès que l’on se sent plus à l’aise, on peut les mettre en anglais, voire se passer complètement de sous-titres. Youtube permet d’afficher des sous-titres automatiques français ou anglais pour quasiment toutes les videos en anglais. Sur le site des conférences TED aussi.

Au départ, vous trouverez cela compliqué, puis petit à petit vous vous rendrez compte que vous progressez. Vous comprendrez d’abord de plus en plus de mots, puis des phrases complètes. Même lorsque certains mots vous échappent avec le contexte vous pouvez comprendre les phrases. Pour ne pas vous lasser, commencez par des vidéos courtes et par des films que vous avez vus en français ou dont vous connaissez l’histoire.

3. Vivez vos passions en anglais 

Pour se remettre à l’anglais, le mieux est de commencer par des domaines qui vous intéressent. Par exemple, si vous aimez le sport, lisez des articles de journaux sportifs en anglais, regarder des résumés de match en anglais. Si vous jouez aux jeux vidéos, faites-le en anglais. Si vous aimez l’art, lisez des brochures d’exposition en anglais. Les hypothèses sont infinies.

L’idée est d’allier plaisir et anglais pour faciliter le travail de compréhension et de mémoire. Utilisez tous les outils à votre disposition : radio, télé, journaux, magasines, etc. Plus vous multiplierez les supports, plus vous progresserez.

4. Utilisez vos différentes mémoires

Certains d’entre nous ont une mémoire visuelle, d’autres une mémoire auditive, d’autres une mémoire kinesthésique (lié au mouvement du corps). Nos sens jouent un rôle important, alors utilisons-les !!

Si vous avez une mémoire visuelle, vous pouvez utiliser des schémas, coller des post-it avec du vocabulaire dans votre maison, lire des livres contenant des images.  

Si vous avez une mémoire auditive, vous pouvez écouter la radio, des livres audios, écouter et regarder des vidéos en anglais.

Si vous avez une mémoire kinesthésique, vous avez besoin de bouger pour apprendre, de faire le lien entre votre corps et votre esprit. Essayez d’associer sport et anglais, d’écrire en anglais, car votre cerveau mémorisera le mouvement de votre main.

L’idéal est de combiner plusieurs méthodes toute en privilégiant les méthodes qui correspondent le plus à votre propre mémoire. Vous retiendrez certains mots de vocabulaire que vous aurez entendu. Vous vous souviendrez de certaines phrases que vous avez lues. Vous progresserez pas à pas grâce à vos différents efforts tout en prenant du plaisir à faire de l’anglais.

5. Osez !

Un de nos freins pour apprendre une langue étrangère est de s’exprimer. Votre accent est trop français alors vous n’osez pas parler. Vous ne savez pas prononcer « the ». Vous ne connaissez pas un mot de vocabulaire. Vous pensez que les autres vont se moquer. Vous avons honte de notre niveau. Mais pour progresser, il faut aussi parler et écrire. Comprendre une langue ne suffit pas toujours.

Pour commencer, il faut s’habituer à sa propre voix en anglais. Rien de mieux que de se parler à voix haute, de se lire un livre. Vous pouvez aussi parler à votre chien, votre chat, votre poisson rouge en anglais. Plus vous vous habituerez, moins vous chercherez vos mots, plus vous serez à l’aise et compris.

Souvent dès que vous oserez, vous vous rendrez compte que les autres personnes ne se moquent pas de vous, surtout les anglophones. Ils vont même vous aider à trouver vos mots. Ils vont parfois vous corriger mais avec bienveillance. Pas pour vous juger, mais véritablement pour vous aider à progresser. Pour progresser, il faut donc se lancer ! So let’s speak English!

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Comment lancer et développer une activité de conférencier à l’international ?

Aujourd’hui, le métier de conférencier se développe de plus en plus et attire de nombreuses personnes. Face à cette demande, un nombre important de conférenciers décident de devenir conférencier professionnel. Quelle est la différence entre un simple conférencier, et un conférencier professionnel ? Le conférencier professionnel est payé pour donner ses conférences, et en fait son activité principale et/ou sa source de revenus principale. Avec cela, devenir conférencier confère un véritable pouvoir d’influence, que ce soit sur l’auditoire, sur sa clientèle, ou encore pour augmenter sa réputation.

Petites précisions avant d’aller plus loin… Il faut souvent avoir déjà développé une véritable activité de conférencier professionnel avant de prétendre devenir conférencier international. Une stratégie, la plus fréquente et la moins risquée, consiste à developper son activité localement, s’assurer un fort ancrage régional ou national avant de projeter de se developper à l’international. C’est d’ailleurs cet ancrage local ou national qui se vend bien à l’étranger : on se présente comme « frenchie », comme « ambassadeur de la marque France », c’est tout un imaginaire culturel sur lequel on peut capitaliser. L’autre stratégie, plus risquée, est jouable si vous avez déjà un solide réseau international : il s’agit de developper dès le début une activité de conférencier professionnel dans une dimension internationale, c’est-à-dire donner ses premières conférences rémunérées dans plusieurs villes étrangères avant même de vendre vos conférences dans votre ville ou pays d’origine… Ce qui est bien sur plus délicat, puisque les premières opportunités de conférences rémunérées vous seront généralement données par des personnes qui vous connaissent déjà…

Quoi qu’il en soit, devenir conférencier international n’est pas un art maitrisé par tout le monde. Votre volonté à elle seule ne suffira pas pour trouver des clients et développer votre réseau. Obtenir un tel résultat demande un travail acharné, une élocution parfaite (dans votre langue mais aussi en anglais, ou mieux encore : dans les langues des pays dans lesquels vous intervenez…), des histoires passionnantes transmises avec une parfaite maitrise et une assurance sans failles. Savoir parler en public et impacter ceux qui vous écoutent est une tâche qui requiert une grande concentration. Dans cet article, nous allons voir plusieurs aspects importants pour devenir conférencier professionnel d’une part, et developper son activité de conférencier international d’autre part.

Suivre une formation professionnelle de conférenciers

Devenir conférencier international est une profession qui est à la portée de tous, pourvu que l’on s’en donne pleinement les moyens. Ce métier consiste à proposer et à réaliser une présentation des discours sur des domaines bien précis face à un public. L’objectif principal d’un conférencier est d’apporter de la motivation et de l’encouragement à ses auditeurs, bien plus que des connaissances. Le conférencier n’est pas un petit professeur… Mais un professeur peut developper une activité de conférencier professionnel, ce n’est bien évidemment pas contradictoire. Cependant, même si vous êtes dotés d’un talent d’orateur, il est nécessaire de l’approfondir, de le polir et d’en faire un véritable joyau à présenter à vos clients.

En premier lieu, vous gagnerez clairement à suivre une formation professionnelle de conférencier. Même quand on est convaincu d’avoir du talent, que l’on pense « savoir comment faire », et qu’on a lu de nombreux livres sur le sujet, suivre une formation permet toujours d’apprendre de nouvelles choses, et surtout cela permet de se mettre en situation. C’est une préparation à ne pas négliger dans votre cursus de professionnalisation. D’ailleurs, les participants à ce genre de formation regrettent rarement d’y avoir participé, le taux de satisfaction est toujours très élevé. Par ailleurs, il est généralement possible de bénéficier d’une aide à la formation professionnelle, que ce soit avec le CPF, Pole Emploi, etc.

Dans ce secteur de la formation de conférenciers, il existe plusieurs experts qui sont eux-mêmes conférenciers professionnels, et qui ont du succès aussi bien au plan national qu’international. Ces professionnels mettent leur savoir-faire et leur professionnalisme à disposition des personnes qui débutent dans le métier pour atteindre un jour le niveau qu’ils présentent aujourd’hui. Ils fournissent de nombreux trucs et astuces, leurs témoignages sont précieux et toujours instructifs.

Opter pour une formation de conférenciers professionnels est très important, car ce métier est totalement passionnant, en pleine croissance et surtout présente de nombreuses responsabilités à assumer. Certes, beaucoup de conférenciers ont commencé dans ce domaine en tant qu’autodidactes. Cependant, ils doivent faire face à de nombreuses contraintes, aux attentes de leur auditoire, aux exigences, mais également aux peurs et aux doutes qui composent la complexité de cette profession.

Une formation pour devenir conférencier professionnel vous permettra de bénéficier de l’expérience de spécialistes, de connaitre les bonnes pratiques, d’acquérir de la compétence et de faire partie d’un réseau de professionnels. Vous disposerez de toutes les armes nécessaires pour affronter tous les obstacles qui pourraient s’ériger pendant le développement de votre activité professionnelle. En savoir plus sur les formations de conférencier professionnel et de conférencier international

Apprenez à devenir un conférencier professionnel à tout moment

Malgré l’apport d’un coach, d’un formateur ou d’un mentor dans le cadre d’une formation de conférenciers professionnels, la grande partie du travail est toujours à votre niveau, et pour cela vous devez rester avant tout un « étudiant », en tout cas avoir cet état d’esprit d’ouverture et de curiosité, prêt a apprendre de nouvelles choses et a accepter d’être formé. Il ne faut pas s’arrêter d’étudier les meilleurs de la scène. Depuis de nombreuses années, le niveau d’exigence des auditeurs a augmenté considérablement et il est important de pouvoir les satisfaire à tous les niveaux.

Qu’il s’agisse donc d’humoriste, des discours de politiciens, des spécialistes en développement professionnels : vous devez vous imprégner des meilleures prestations existantes. De manière constante, vous devez vous demander comment améliorer votre style personnel en vous basant sur leurs diverses techniques. De cette façon, vous pourrez espérer conquérir les auditeurs de votre pays et traverser les frontières.

Avant de devenir conférencier professionnel, vous devez absolument comprendre que le plus important n’est pas le contenu de votre speech, mais votre personne. Généralement, de nombreux conférenciers font l’erreur de mettre toutes leurs forces pour perfectionner leur contenu au point d’oublier de se préparer eux-mêmes. Et pourtant, la réussite d’une conférence repose essentiellement sur la confiance du conférencier en ses propres capacités.

En montant sur la scène, vous ne devrez pas avoir pour premier objectif de faire une très bonne impression à vos interlocuteurs, mais plutôt avoir la volonté de leur apporter une aide, être pour eux une source d’énergie, d’espoir ou de motivation. Pour devenir conférencier international, vous devrez être en mesure de faire un don de votre personne… Lorsque vous montez sur l’estrade, votre premier désir doit être de partager à vos interlocuteurs des points qui les aideront à améliorer leur vie au quotidien. Toute votre connaissance, vos recherches avancées ainsi que la somme de vos expériences passées sont des éléments qui vont contribuer fortement à renforcer votre expertise et à apporter à votre auditoire, une réelle valeur ajoutée. Les effets de voix, de style, les formules ne sont là que pour mettre en valeur cela.

Exercez-vous à tout moment

Comme vous vous en doutez peut-être, la compétition sur ce marché est très rude surtout lorsqu’on prend en compte les différents conférenciers très talentueux. En effet, sur les scènes nationales et internationales, il y a déjà plusieurs conférenciers très compétents qui se perfectionnent de jour en jour. Alors, si vous désirez être un conférencier professionnel, vous devez mettre toutes les chances de votre côté. Et pour y arriver, vous devez avoir et créer des occasions d’investir.

En d’autres termes, vous devez avoir un temps de prestation même si vous n’êtes pas sur une scène. Faites du monde entier, de votre environnement, votre estrade. Lorsque vous êtes entourés de vos amis et même de votre famille, ayez toujours le réflexe de leur transmettre de la valeur, de les aider dans leur challenge et profitez de la même occasion également pour tester vos blagues. En vous exerçant régulièrement de cette façon, la pression face à un grand public diminuera considérablement lorsque vous serez sur scène et vous pourrez constater la véritable portée de vos propos.

Par ailleurs, vous ne devez pas perdre de vue que devenir conférencier vous expose de manière publique et cela peut vous rendre vulnérable. C’est la raison pour laquelle vous devez arrêter de vous soucier de ce que les autres pensent de vous… Faites fi des critiques acerbes des personnes qui n’ont aucune idée de ce que vous développez comme thème. Ne faites pas l’erreur de vous inquiéter de l’opinion des autres. Votre seule source d’énergie doit être l’ambition de devenir un conférencier.

Toutefois, même si vous devez rejeter les remarques blessantes, il est quand même important que vous sollicitiez les critiques constructives. À titre d’exemple, si lors de l’une de vos conférences un expert dans le domaine est présent, n’hésitez pas à lui demander son avis. Ce type de critiques vous permettra de corriger vos insuffisances et de vous améliorer considérablement.

Mettez vos compétences en valeur

Être un conférencier international demande des efforts constants et même si vous êtes établi sur le marché depuis un bon moment, vous devez quand même vous former de manière constante.

En premier, vous devez développer un portfolio de conférencier professionnel. Ou, plus simplement, une « plaquette commerciale », exactement comme pour tout autre type de produit ou d’entreprise… Sauf que la, le produit, c’est vous, vos conférences. Ce genre de document vous permettra de présenter de façon brève qui vous êtes et ce que vous faites. Il mentionnera également les différents avantages que tireront les participants de vos conférences. Autrement dit, ce portfolio représentera en quelque sorte votre CV de conférencier à chaque fois que vous voudriez vous proposer comme conférencier à l’international. Et bien évidemment, vous devez en avoir une version en anglais, ou bilingue…

Ensuite, vous devez proposer une vidéo professionnelle. Cette séquence vidéo permettra a vos prospects de se faire une idée plus précise de ce que vous savez faire sur une scène. C’est un élément à ne pas négliger si vous voulez recevoir des invitations provenant de l’étranger. Elle permettra de démontrer votre niveau d’expertise et votre maitrise de la scène. N’oubliez pas aussi d’insérer dans cette vidéo des témoignages d’auditeurs qui racontent les avantages de vos conférences dans leur quotidien. Ces preuves sociales sont des moyens qui vous permettront de trouver des clients.

N’hésitez pas également à demander des lettres de témoignages sur vos compétences ainsi que sur les résultats de vos formations. Pour les avoir, il suffira de demander à vos clients de faire des témoignages pour vous. Vous pouvez également préparer 3 excellentes références de clients pour un service que vous leur avez rendu. Pour pouvoir vous faire appel à l’étranger, les gens auront besoin d’avoir une confirmation de la réelle valeur ajoutée apportée par vos formations de conférencier.

Proposez des formations pour donner des solutions à un challenge

Si vous vous demandez comment vendre des conférences à l’étranger, vous devez avant tout asseoir votre réputation. Il est essentiel que tout le monde connaisse votre valeur et ait une idée de ce que vous pouvez réaliser. Pour obtenir ce résultat, concevez une vidéo pour votre client idéal pour solutionner un défi qu’il pourrait rencontrer. Avec une vidéo de quelques minutes, prouvez que vous êtes en mesure de résoudre un problème qu’il pourrait rencontrer sur le terrain. Ensuite, envoyez cette vidéo à des départements de ressources humaines et des responsables marketing de sociétés que vous aurez ciblées auparavant.

Pensez aussi à vous allier avec d’autres conférenciers talentueux dans d’autres domaines. Des occasions se présenteront peut-être au cours desquelles ils pourront vous recommander et vice-versa. Vous pouvez également organiser votre propre conférence à l’international si vous êtes sûrs d’avoir une base d’auditeurs prête à vous écouter. Si cette conférence est une réussite, vous pourrez être sûr d’être plus sollicité. Vous avez la possibilité de postuler à un bureau de conférencier. Ces organismes internationaux recherchent souvent des conférenciers professionnels pour les représenter auprès de leurs clients. Mais face à la forte concurrence, vous devez nécessairement vous démarquer pour sortir du lot.

Si vous ne faites pas des vidéos sur YouTube, c’est peut-être le moment de vous lancer ! Parmi vos abonnés, vous pourrez vous constituer une très bonne base de clients et vous faire remarquer des clients étrangers. Vous pourrez ensuite partager ces videos par e-mail et sur tous les réseaux sociaux, notamment pour trouver de nouveaux clients sur Linkedin.

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