International

10 astuces pour préserver son sommeil et ses rythmes biologiques lors de déplacements à l’international

En tant que coach ou formateur, et plus généralement en tant qu’entrepreneur, lorsque l’on souhaite développer pleinement son activité, il arrive un moment où l’on envisage de s’ouvrir à l’international. Mais très vite, on s’aperçoit qu’au-delà des barrières culturelles ou de langages, un problème plus profond et pernicieux s’impose à nous : la difficulté de préserver nos rythmes biologiques. Le sommeil se dégrade rapidement et la santé se détériore tout autant, parfois jusqu’à un point dramatique si on ne respecte pas certaines règles de base, mettant alors en péril tous nos projets. Voici 10 astuces pour vous préserver si vous devez régulièrement faire de longs trajets type vols longs courriers en avion :

Qu’est-ce que le jet-lag exactement ?

Lors d’un changement d’horaire, les rythmes s’adaptent à des vitesses différentes. Ils se désynchronisent entre eux jusqu’au recalage complet sur le nouvel horaire, ce qui nécessite en général 8 à 10 jours !

Cette période de désynchronisation s’accompagne souvent d’une sensation de malaise, comportant des troubles de la vigilance et de l’appétit et qu’on appelle « syndrome de décalage horaire » ou jet-lag. Terme très utilisé à l’occasion du moindre voyage en avion mais dont la définition exacte est souvent mal connue, voilà donc ce qu’est le jet-lag, et il est surtout marqué pendant les 3 premiers jours après l’arrivée d’un long voyage.

1 – Maintenez les horaires du pays de départ

Une fois arrivé, si le séjour est long, par exemple deux semaines, l’organisme a donc le temps de se resynchroniser sur la première moitié du séjour. Mais lors d’un séjour très court de une à deux nuits, l’organisme n’a pas le temps de se resynchroniser sur le nouveau rythme local ; il vaut donc mieux s’efforcer de maintenir son horloge biologique dans l’horaire du pays de départ !

Si vous êtes Français et que vous devez vous rendre à Shanghai ou à Los Angeles le temps d’un week-end pour y donner une conférence, il est préférable que vous organisiez votre emploi du temps sur la base horaire de Paris et non de la ville où vous vous rendez.

Ceci facilitera aussi le retour en France et atténuera les perturbations que pourraient provoquer des allers et retours successifs en sens inverse Est et Ouest. D’ou l’intérêt de connaitre l’heure de France afin d’essayer de maintenir l’horaire des repas et su sommeil, grâce à une montre à 2 fuseaux horaires par exemple. Voir par exemple sur la photo ci-dessous une montre de la collection Navitimer de Breitling :

developper un business international

2 – Anticipez le décalage horaire par rapport aux repas

Très simplement, prévoir un « en-cas » en cas de fringale pendant la nuit locale. Choisir selon les moments des aliments protéines pour favoriser la vigilance, si vous devez travailler ou rester actif, sinon préférer des sucres lents pour faciliter le sommeil. La marque FoodSpring propose d’excellentes barres riches en protéine et faibles en calories. Saturo propose une sorte de « boisson-repas » qui s’avale facilement sans faire gonfler le ventre et procure une sensation de satiété pendant 3 bonnes heures. Le sandwich maison est bien sur toujours une option… Et si vous êtes dans l’avion, vous devriez pouvoir vous faire servir une petit quelque chose de léger. Attention aux compagnies qui ne proposent que des sucreries pendant le trajet !

Le blogueur Lionel Dricot a testé plusieurs formules de neo-alimentation et nous donne un avis très détaillé dans son excellent article : Le meal engineering, futur de la nutrition

3 – Retrouvez la bonne quantité de sommeil

Autant que possible, il faut essayer d’obtenir la quantité habituelle de sommeil, quitte à dormir en 2 ou 3 fois. le fait de dormir entre 2 et 5 heures du matin heure française contribue à l’ancrage des rythmes biologiques.

On peut prolonger cette période sur une partie de la nuit locale, mais prévoir tout de même de la lecture, par exemple, pour les interruptions de sommeil qui ne manqueront certainement pas d’arriver. Le besoin d’un autre épisode de sommeil à l’heure de la sieste française se fait souvent sentir et est très utile, donc à ne pas négliger.

4 – Exposez-vous à la bonne lumière

L’exposition à la lumière naturelle favorise le « recalage » à l’heure locale. En escale, on peut réduire ce risque en se protégeant avec des lunettes de soleil aux heures correspondant à la nuit française. Au retour chez soi (en France dans notre exemple de départ), il est conseillé de s’exposer autant que possible à la lumière naturelle afin de se recaler au plus vite.

5 – Gardez vos habitudes sportives !

Le sport est à pratiquer dans les heures de la journée française si on veut maintenir son horloge interne, mais tout de même à éviter dans les 3 dernières heures avant le coucher… Idéalement, choisissez de séjourner dans un hôtel ayant une salle de fitness ouverte 24h sur 24, ou trouvez une salle de ce genre a proximité de votre logement. Eventuellement, faites votre footing pendant la nuit…

6 – Restez vigilant par rapport à… la vigilance

En plus de la difficulté de maintenir l’organisation de ses rythmes biologiques, le businessman à l’international doit idéalement être en forme pendant le vol, afin de profiter autant que possible de ces longues heures pou travailler efficacement. Se contenter de dormir n’est pas toujours la meilleure option, car la qualité du sommeil n’est jamais optimale. Par ailleurs, si le vol se déroule pendant les heures de la journée heure française, dormir créera et accentuera la fameuse désynchronisation que l’on cherche justement à éviter… Pour rester en forme, il est sain de faire une sieste avant le vol.

Idéalement, l’heure de cette sieste peut être calculée en fonction de l’heure de repos que l’on s’accorde à bord. Une « sieste éclair » ou power nap est souvent la meilleure solution, rapide et efficace, efficace car rapide.

7 – Evitez les somnifères

Attention aux somnifères ! Ces médicaments sont de faux amis, ils entrainent rapidement dépendance ou accoutumance. Il faut les éviter et clairement préférer des moyens naturels pour gérer le sommeil et la fatigue. Les techniques de relaxation, méditation, sophrologie, etc. vous y aideront. Et d’une façon générale, tout dépend avant tout d’une bonne hygiène de vie.

De plus, soulignons ici les risques que représentent les somnifères, si vous avez une intervention à fort enjeu à votre arrivée (grand discours en public, passage médiatique en langue étrangère, négociation décisive avec le biais d’interprètes…). Une situation dangereuse pourrait survenir en cas de réveil intempestif 2 à 3 heures après la prise de certains somnifères qui peut alors s’accompagner d’une perte de contrôle de soi. C’est pourquoi un minimum de 8 a 10 heure est indispensable entre la prise de somnifère et votre activité professionnelle, et nous vous déconseillons fortement d’en prendre à mi-parcours pendant le vol si vous devez être opérationnel des votre arrivée.

8 – Pourquoi pas un petit café…

Face à la fatigue ressentie, la caféine peut bien sur être conseillée pour favoriser le maintien de la vigilance. Mais attention : son effet peut être parfois retardé. Par ailleurs, le café et les variations de pression dues au vol en avion peuvent causer des problèmes gastriques. Si vous devez donner une conférence à votre arrivée, le risque de roter est assez élevé…

9 – Que penser de la melatonine ?

La melatonine est commercialisée en France pour les personnes de plus de 55 ans. Elle n’a pas d’intérêt lors de courts séjours à l’étranger puisqu’il faut éviter de modifier son horloge biologique pour 1 ou 2 nuits, comme nous venons de le voir. Il n’y a que pour faciliter le réajustement ou « resynchronisation » au retour d’un long séjour que son utilisation pourrait trouver sa pertinence. Quoi qu’il en soit, la prise éventuelle de melatonine doit absolument être discutée avec un spécialiste du sommeil.

10 – Le vrai risque : la dette de sommeil

En règle générale, en voyage à l’autre bout du monde ou chez soi, il est impératif de récupérer la dette de sommeil engendrée par des horaires atypiques et de longs trajets tout autour de la planète. Il faut donc trouver un équilibre entre repos, vie personnelle, et vie sociale. Il est prudent d’évaluer de temps en temps l’adéquation entre ses besoins de sommeil et le temps qui y est réellement consacré, sieste comprise. Et savoir dire non à certaines sorties avec des amies, même quand on en a parfois très envie…

Partagez sur vos réseaux

Comment se faire connaître en tant que conférencier à l’étranger ?

Comment augmenter sa visibilité à l’international comme conférencier ? Que faut-il faire ? Quelle ligne de conduite adopter ? Mais surtout, par où commencer ? Avant d’entreprendre quoi que ce soit, il faut garder à l’esprit que chaque pays diffère d’un autre de par sa langue, sa culture et son environnement. Pour réussir dans un pays autre que le sien, il faut respecter ceux des autres pour pouvoir leur apporter des solutions adaptées. Dès lors, comment s’y prendre pour approcher une clientèle internationale ainsi qu’une audience étrangère ? Précédemment je vous avais donné 7 conseils pour développer votre activité de conférencier à l’international. Ci-après quelques conseils pour les conférenciers professionnels désireux d’étendre leur influence au-delà des frontières terres et mers.

Adapter son site web en fonction du pays, de la langue et de la culture 

Comment est-ce qu’internet s’est hissé parmi les meilleurs moyens pour développer son activité professionnelle de conférencier à l’étranger ? C’est simple. Ce réseau gigantesque qu’est le web permet à tous professionnels de créer des plateformes d’informations et d’échanges. 

De par ce fait, il est intéressant pour un conférencier de concevoir son site web pour promouvoir et exporter ses activités ainsi que ses services en Europe, en Asie, en Afrique ou en Amérique. Celui-ci a alors deux choix. Soit, il conçoit une plateforme multilingue sur laquelle les visiteurs pourront sélectionner directement la langue de lecture. Soit, il élabore un site dédié avec un nom de domaine et une extension adaptée au pays cible. 

En plus, il lui faudra établir ses pages web en tenant compte de la langue du pays ciblé mais aussi de sa culture. Pour créer des contenus authentiques, il peut faire appel à un traducteur local pour mieux approcher le marché à investir. 

Développer une offre de services et de conférences spécifiques en fonction de ses origines et du pays visé 

Pour se forger une réputation à l’international, il faut savoir se conformer aux mœurs du pays visé tout en se gardant de négliger ses racines. Pour ce faire, il suffit de proposer une offre de services et de conférences sur mesure. Cela signifie prendre le temps de travailler et d’adapter le contenu de cette offre suivant la situation du pays étranger. Il faudra parallèlement plancher sur sa mise en œuvre et sa promotion. Par la suite, on termine en faisant connaître cette offre via des supports publicitaires en cohérence avec la culture, les cibles et l’environnement cibles. 

Utiliser des moyens de communication propres au pays 

Avant les conférences et les déplacements, il est toujours utile de se mettre dans le bain et découvrir au préalable son auditoire et ses clients étrangers. Par quels moyens ? On communique avec ces derniers par le biais de réseaux sociaux comme Facebook, Linkedin et Discord. Pour une meilleure communication avec les internautes, on privilégiera toutefois les plateformes Twitter et Instagram. Il existe aussi des réseaux spécifiques à certains pays qui seraient intéressants d’investir : VKontakte pour la Russie, WeChat pour la Chine et Line pour le Japon. Il est important de connaître quels sont les moyens de communication en ligne les plus utilisés dans un pays. Cela permet de mettre toutes les chances de son côté pour devenir conférencier international plus rapidement.

Gérer la barrière de la langue

Lorsqu’il s’agit d’aller à l’encontre d’étrangers, le premier pas est toujours le plus difficile de par la barrière de la langue. Pour que la communication s’établisse, il faut donc outrepasser cette barrière. 

Pour ce faire, étudier les rudiments de la langue du pays cible est un indispensable pour pouvoir mieux s’intégrer à l’environnement du pays étranger une fois sur place. Cela signifie découvrir les expressions locales ainsi que les mots communs. Pour y parvenir, on peut s’y initier soi-même. Cependant, il serait plus judicieux de faire un bain de langue sous la tutelle d’une personne originaire du pays cible. C’est la meilleure garantie pour se positionner comme conférencier et formateur international

Dans tous les cas, préparer une version de vos conférences en anglais vous permettra de présenter celles-ci quasiment partout autour de la planète, ce sera toujours utile. Bien sûr vous pouvez anticiper en déclinant vos conférences dans toutes les langues des pays que vous visez – et que vous maîtrisez…

Utiliser ses origines étrangères comme une force

Une des erreurs à éviter quand on vise l’internationalisation est de prioriser les cultures étrangères au détriment de la sienne. Pour se faire remarquer, il faut au contraire savoir affirmer ses origines. C’est valable qu’il s’agisse de culture, de langage et d’expressions typiques. Savoir les mettre en avant auprès d’un public étranger apporte un sérieux plus-value à sa notoriété. On peut par exemple partager les anecdotes de sa terre natale afin de tenir en haleine son audience internationale. Ce qui fait que valoriser ses origines demeure une force, unique et peu commune.

Les pièges et les difficultés sont inévitables lorsqu’on développe son activité à l’international. Mais bien préparé et bien accompagné, on peut tout surmonter et tracer sa route vers le succès.

Partagez sur vos réseaux

Comment développer son activité de coach, formateur ou conférencier au-delà de la France ?

Après avoir passé le cap du conférencier professionnel en France, comment ne pas se laisser tenter par l’international ? Plusieurs paramètres sont à prendre en compte quand nous développons notre activité à l’étranger. D’abord, il y a le salaire. Ensuite viennent le dépaysement et la chance d’aider une plus large audience. Pour finir, se faire un nom à l’international ouvre sur de précieuses opportunités que l’on n’aurait jamais osé imaginer. Dès lors, que faire pour développer son activité au-delà de la France ? Nos réponses. 

Quels pays, privilégier pour se lancer à l’étranger ?

Quand nous sommes conférencier, formateurs ou coach français désirant exporter ses conseils, il faut savoir que certains pays sont à privilégier. 

Parmi ces pays, le Canada se positionne en tête de liste. La qualité de vie y est très appréciable et la culture se rapproche de celle de la France. Néanmoins, l’admission des étrangers s’y fait par tirage au sort et dépendamment d’un quota. 

Sinon, nous pouvons envisager l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Nous y trouvons facilement du travail. Dans ces pays, pour lancer son activité de conférencier ou de formateur international, il faut savoir parler anglais. 

Du côté de l’Asie, la Thaïlande plait également car toutes les branches sauf le tourisme y sont accessibles aux étrangers. S’ajoute à cela le Singapour plébiscité pour son dynamisme économique et son confort de vie. Autrement, il y a Taïwan. Ce pays est une vraie mine d’or pour les professionnels spécialisés dans le domaine de la communication, les métiers du web et ou le marketing. Partir en Amérique du Sud est aussi une option à envisager pour lancer son activité à l’étranger. 

Pour ceux qui ne veulent pas quitter l’Europe, ils peuvent poser l’Allemagne ou la Suisse et les pays francophones comme la Belgique ou le Luxembourg peuvent être de bonnes alternatives. 

Comment faire pour s’implanter dans un pays non francophone ? Non anglophone ? Est-ce possible ou risqué ?

Pour solutionner le dilemme de la barrière de langue quand nous sommes expatriés dans un pays étranger, le mieux est d’apprendre l’anglais. C’est la langue de référence et universelle pour se faire comprendre dans un pays non francophone. Avant de poser vos bagages, nous vous conseillons de perfectionner   Sinon, il suffit de se rapprocher d’un traducteur local dans les cas où l’on se retrouve dans un pays non francophone et, ou non anglophone. C’est aussi une bonne alternative pour vite s’intégrer mais cela revient plus cher que de se payer des cours de langue.

Vivre sur place, s’expatrier, ou se rendre régulièrement dans le pays ou la ville que l’on vise ?

Pour lancer sa carrière de conférencier ou de coach à l’étranger, on a deux options. Soit on s’expatrie, soit on s’y déplace régulièrement. Entre ces deux alternatives, laquelle semble la meilleure pour réussir à l’international ? Toutes les deux ont des avantages et des limites. D’une chose l’une, vivre sur place revient moins cher. On perd moins de temps et d’argent dans les longs déplacements

On s’imprègne mieux du pays étranger et de sa culture. L’inconvénient est que l’intégration de départ n’est pas toujours aisée. Il y a aussi les contraintes administratives liées à l’expatriation dont le départ, l’installation et le retour en France. D’une chose l’autre, se déplacer régulièrement dans la ville ou le pays cible permet de préserver son domicile en France. Néanmoins, il faudra consacrer des frais importants pour de tels va-et-vient.

Dans tous les cas, pour vous faire connaître en tant que conférencier à l’étranger, des rencontres en chair et en os sont souvent nécessaires pour nouer de solides relations qui déboucheront sur des opportunités business intéressantes. Vous pouvez participer à des événements de type networking, vous rendre à d’autres conférences et sympathiser avec les conférenciers et les organisateurs, ou encore organiser vos propres événements, d’abord modestes et de plus en plus ambitieux au fur et à mesure que se développent à la fois votre communauté et votre notoriété.

Enfin, il est aussi possible de commencer par déployer une stratégie de présence sur les réseaux sociaux résolument tournée vers l’international, en étant actif sur les réseaux privilégiés des pays concernés. Par exemple, si Linkedin, twitter et facebook sont très populaires en occident, ce n’est pas la même situation en Asie, où l’on utilise KakaoTalk en Corée du Sud, Line au Japon ou encore Wechat en Chine. Le ciblage initial va donc déterminer les médias à privilégier. C’est une étape clef pour commencer à chercher et trouver des clients à l’étranger.

Vers quels réseaux ou associations se tourner pour développer son réseau et se faire aider ?

Quand nous débarquons et sommes nouveaux dans un pays étranger et que l’on souhaite y lancer son entreprise, il faut être méthodique. Il faut connaître les contraintes administratives et sociales afin de mieux s’intégrer et de toucher une large audience. Pour faciliter cette intégration, on peut s’orienter auprès de l’Ambassade locale.

Sur place, vous aurez aussi besoin d’avoir un service bancaire adapté à votre croissance internationale, pour vos dépenses ou encore pour pouvoir encaisser ou facturer à l’étranger. L’utilisation d’une carte Amex Air France est très pratique pour les grands voyages et les entrepreneurs, coachs, formateurs et conférenciers ayant des ambitions planétaires.

Nous pouvons aussi nous rapprocher des réseaux français sur place comme les Associations d’accueil et d’entraide des Français à l’étranger. De plus, pour voir comment se trame la vie locale, pourquoi ne pas enquêter sur les réseaux sociaux comme Facebook et LinkedIn,e t bien sûr sur les réseaux propres aux pays où l’on souhaite développer son activité de conférencier ? Enfin, nous pouvons directement démarcher dans le pays choisi pour se frayer un chemin dans l’inconnu et à l’international.

Partagez sur vos réseaux

Evolution de carrière : comment devenir formateur international ?

Vous songez à devenir formateur international ? C’est une belle évolution de carrière à envisager avec sérieux et à préparer suffisamment en amont. Dans cet article, découvrez quels cursus peuvent faciliter votre démarche professionnelle et comment décrocher vos premières missions ou recruter vos premiers clients en tant que formateur international :

Avez-vous le profil d’un formateur international ?

A l’international, le formateur anime des formations sur mesure dans différents pays et se sert d’outils pédagogiques en accord avec la stratégie et les valeurs d’une société ou d’un organisme. C’est donc un excellent métier pour voyager… Et c’est souvent ce qui peut attirer les plus jeunes, qui ont la bougeotte et veulent voir du pays. Mais le rôle de formateur international est généralement dévolu à des experts et spécialistes de leur secteur, qui ont donc pour la plupart un certain âge, ce qui leur fait redouter d’être trop souvent en déplacement sans jamais pouvoir se poser. Enchainer les voyages expose en effet à de grandes contraintes et une fatigue extreme. Attention à la dette de sommeil ! L’un des aspects souvent négligé du métier de formateur international est donc avant tout de savoir bien gérer sa fatigue, avoir les bonnes habitudes alimentaires et sportives pour rester en forme et faire face, entre autres, aux décalages horaires et jetlags à répétitions. Maitriser des techniques de récupération rapide telles que le PowerNap est un atout non négligeable.

Par ailleurs, bien au-delà des notions intellectuelles acquises, la transmission du savoir implique d’être doté de certaines qualités naturelles comme la pédagogie, la patience, la créativité et la disponibilité. Etre un spécialiste ou un expert n’est pas suffisant. Il faut aussi maitriser les techniques élémentaires pour transmettre un savoir à un public adulte, et, surtout, aimer ce rôle de transmetteur ! Cela dépend souvent d’une attitude naturelle ou innée, mais il est possible de developper des compétences spécifiques dans ce sens, c’est pourquoi il peut se révéler très utile de suivre au moins une formation de formateur, et faire superviser son activité.

D’une façon plus générale, suivre des formations en communication est très utile pour cultiver sa prestance et son leadership en tant que formateur, et faire face a tout type de public. Enfin, les formations plus spécifiques en communication interculturelle sont fortement recommandées en vue de devenir formateur international, surtout si vous vous tournez vers des pays « exotiques » comme la Chine, le Japon, ou encore pour exercer en Afrique. Pour inscrire sa pratique dans la durée, le formateur international a intérêt à tenir à jour ses connaissances et à en acquérir de nouvelles. En d’autres termes, si le formateur donne des formations, il doit lui-même en suivre tout autant ! Le formateur doit aimer former et se former.

Par ailleurs, si vous souhaitez vous expatrier pour devenir conférencier international ou formateur, informez-vous d’abord pour savoir si un permis de travail est exigé dans cette destination. Cette étape doit être franchie avant même de lancer son activité à l’étranger…

Quels sont les secteurs qui recherchent des formateurs internationaux ?

Plus que jamais, à travers le monde, les formateurs sont très demandés dans plusieurs secteurs de l’industrie et des services publics. Notamment dans les secteurs suivants :

  • En commerce et techniques de vente
  • En luxe & cosmétique
  • En logistique
  • En informatique et en bureautique
  • En management des ressources humaines
  • En gestion opérationnelle
  • En sécurité et normes de qualité
  • En communication, marketing et promotion web
  • En comptabilité et fiscalité
  • En formation de formateurs

Comment trouver vos premières missions de formation à l’international ?

Plusieurs possibilités s’offrent à vous pour développer une clientèle dans votre environnement et/ou pour trouver des clients à l’étranger :

  • Visitez souvent les plateformes (généralistes, spécialisées, freelances…), dont les annonces sont régulièrement mises à jour. LinkedIn reste le réseau social professionnel de référence à utiliser dans ce sens.
  • Communiquez directement avec les entreprises qui correspondent à votre secteur d’activité pour leur proposer vos services.
  • Prenez le temps de créer puis d’entretenir votre réseau de contacts professionnels pour trouver des clients.
  • Mettez vos prestations de formateur professionnel en valeur en réalisant un blog ou un site Internet, que vous tiendrez à jour.
  • Demeurez présent sur les réseaux sociaux spécifiques à chaque pays ou region (Wechat pour la Chine, Line pour Taiwan et le Japon, KakaoTalk pour la Coree, VKontakte pour la Russie…), c’est un bon moyen à ne pas négliger pour trouver des clients à l’étranger.
  • Participez à des ateliers, des 5 à 7, des salons, congrès ou conférences, qui vous permettront de faire la rencontre d’entrepreneurs et autres professionnels.
  • Proposer sa candidature en tant que conférencier international spécialisé en formation peut constituer une bonne alternative pour lancer son activité à l’étranger (cela suppose généralement que vous ayez déjà développé une activité de conférencier professionnel).
  • Une fois que vous avez accumulé une solide expérience en tant que formateur, vous pouvez éventuellement developper et soumettre à votre tour un cursus de formation de formateurs internationaux à des écoles et des associations professionnelles.

Pourquoi suivre une formation pour devenir formateur international ?

En France, sur le plan juridique, il faut savoir le Code civil n’exige aucun diplôme particulier pour devenir formateur auprès des adultes. Il faut cependant pouvoir prouver, démontrer ou attester ses compétences auprès de ses prospects, clients ou potentiels employeurs… Pour faire reconnaître ses compétences, le formateur peut par exemple demander une certification de Formateur professionnel d’adultes (délivrée par l’État et acceptée par tous les organismes de formation). De nombreux cursus (licence pro, master…) pour devenir formateur sont aussi proposés par des organismes privés ou publics (par exemple l’AFPA) ainsi que des associations professionnelles. Une solide expérience dans les domaines de la pédagogie, de la conception de formations sur mesure ou de techniques d’animation s’avère essentielle pour trouver des clients à l’étranger, ainsi, bien évidemment, qu’une vraie maitrise de langue dans laquelle les formations doivent être données…

Devenir formateur international ne se limite pas à être un beau métier pour voyager. Il consiste surtout à transmettre aux autres les clés de leur avenir ! Il implique aussi, et c’est tout le paradoxe en tant que formateur, de se former soi-même tout au long de sa carrière. Le métier de formateur international est un métier passionnant, mais uniquement si on a avant tout la passion de la formation, la passion de transmettre, et la passion du secteur dans lequel on exerce. Pour vous engager dans cette direction, découvrez notre programme de formation « Devenez formateur international ». Si vous n’avez pas encore lancé votre activité, la formation de formateur « Devenez formateur professionnel » vous permettra d’acquérir un socle de connaissances et de compétences fondamentales pour vous projeter ensuite à l’international.

Partagez sur vos réseaux

Pourquoi préparer une version de vos conférences en anglais

La présentation d’une conférence joue un rôle important tant pour un entrepreneur que pour un leader d’association. Communiquer, passer un message au public, principalement à un public varié, demande une bonne préparation. Pour voir son projet grandir, le conférencier doit prévoir différentes versions de ses conférences : une version en français, une version en anglais ou en d’autres langues, lesquelles lui serviront durant ses déplacements.  

Les enjeux des conférences dans le développement de vos activités

Tous les secteurs d’activités font aujourd’hui face à une concurrence rude. Créer une entreprise ou une association, développer les activités qui s’y affèrent et surtout pouvoir maintenir l’attention du public et rester dans la concurrence, devient alors un défi continuel pour tous les leaders. Et faire des conférences constitue une des stratégies d’approche et de communication des plus efficaces pour se démarquer et se développer à l’international. Les conférences ont pour objet d’échanger avec différentes personnes sur un sujet ou un thème essentiel au conférencier. Ces dernières se trouvent être une plus-value dans la relation client. Plus le public sera nombreux à vos conférences, plus il vous sera possible d’atteindre vos objectifs et vous développer à l’international.  Dans cette optique, il faut savoir que parler anglais et parler français sont choses primordiales. Un conférencier doit pouvoir faire une conférence en anglais, viser un public anglophone, viser à effectuer des déplacements à l’étranger notamment voyager

Les solutions pour traduire ses conférences en anglais

Pour toute activité, la présentation de conférences facilite l’obtention d’un retour direct du public sur une offre bien précise. Qu’il s’agisse par exemple d’un produit, d’une enquête sur une politique ou de tout autre sujet, prévoir une conférence est un moyen de sensibiliser mais surtout de recueillir des informations différentes au vu de développement. Se développer à l’international c’est viser haut et se donner de nombreuses opportunités grâce aux échanges. 

Le conférencier est appelé indéniablement à se rendre dans de nombreux pays, à voyager et multiplier ses déplacements pour avoir le maximum d’interactions. Mais très souvent, la non maîtrise des langues comme  l’anglais se trouve être un fléau pour le conférencier ou formateur international. De nombreuses solutions sont envisageables pour traduire des conférences en anglais. 

Internationalisation : quelles solutions à privilégier ?

Dans un premier temps, certains se laissent tenter à recruter un anglophone bilingue apte à traduire les conférences dans sa langue en anglais. Cela aiderait à connaître les mots et expressions corrects qui seront refléter avec exactitude le contenu et objet-même de la conférence. Cette version traduite pourra être transportée par le conférencier ou formateur international durant tous ses déplacements. Dès lors, parler anglais ne constituera désormais plus un blocage pour les conférenciers de voyager et de se développer à l’international. 

Une seconde solution pour le formateur international serait de recourir à des services en ligne. Toutefois, sachez qu’un traducteur en ligne décrédibilise le travail du conférencier et sans conteste, son autorité. Aussi, la meilleure option pour vos conférences en anglais serait de vous former rapidement en anglais pour avoir les acquis essentiels pour votre présentation ou de requérir à un professionnel qui vous fournira une version de vos conférences en anglais. L’idée serait pour vous d’apprendre ce qu’il faut d’anglais pour être opérationnel en tant que conférencier à l’étranger et pouvoir vous manifester dans tous les lieux nécessaires à votre projet. 

D’autres langues pour vos conférences

Une question qui serait certainement posée par le conférencier est de savoir s’il lui serait utile de préparer ses conférences en d’autres langues. La préparation des conférences en d’autres langues peut s’avérer utile si un marché ou un client nécessite l’intervention d’un conférencier, expert dans son domaine et qui, pour un meilleur impact au sein du public doive effectuer une présentation une langue bien spécifique. 

En somme, un conférencier qui souhaite attiser l’attention au niveau international et devenir formateur international doit prévoir plusieurs déplacements dans des pays différents, parler anglais pour sensibiliser un public bien varié et obtenir des résultats plus concrets, faire une conférence en anglais dans le but principal de se développer à l’international. C’est fondamental. Puis, une fois que la question de votre première conférence en anglais sera réglée, vous pourrez passer aux détails plus pratiques et concrets tels que trouver vos premiers clients à l’étranger, optimiser vos déplacements internationaux (et la gestion de votre fatigue, qui en résultera inévitablement) et sélectionner le service bancaire le plus adapté à votre nouvelle vie à l’international !

Partagez sur vos réseaux

Les avantages de la carte American Express Platinum Air France – KLM

Pour les  grands voyageurs, surtout pour ceux qui effectuent des déplacements professionnels récurrents, effectuer les paiements pour ses dépenses peut parfois s’avérer compliqué. Si vous cherchez une solution de paiement rapide lors de vos voyages, la carte American Express Platinium Air France-KLM  offre de nombreux avantages, ne serait-ce qu’avec son application mobile qui permet de suivre toutes vos transactions en temps réel où que vous soyez.  

Qui est concerné ?

Pourquoi est-ce que cela pourrait vous intéresser en tant que conférencier international ? La carte American Express Platinium Air France-KLM est idéale pour toute personne effectuant des déplacements à l’international comme les conférenciers internationaux.  

De nombreux avantages s’offrent à vous si vous choisissez cette carte :

  • bénéficier d’une application pour gérer votre compte n’importe où,
  • réserver vos billets d’avion à l’aide de cette carte et des miles qui vous seront offerts lors de votre souscription et de tous vos éventuels achats,
  • réserver d’autres services comme la location d’une voiture, vos chambres d’hôtel ou encore une table dans votre restaurant favori,
  • effectuer des achats prolonge la validité de vos miles accumulés,
  • faire profiter de cette offre à vos proches en demandant des cartes supplémentaires.

Vous pouvez souscrire à cette carte au prix de 47,5 euros par mois, si toutefois, vous justifiez d’un revenu annuel de 65 000 euros minimum qui est détenu dans un compte bancaire en euros, si vous avez plus de 18 ans et si vous disposez d’un numéro de carte Flying Blue.

Utile pour les professionnels à l’international

C’est donc un moyen de paiement très utile pour les grands voyageurs mais aussi et surtout pour les professionnels qui se développent à l’international. En effet, si vous effectuez de nombreux voyages au cours de l’année, il est important que vous disposiez d’un moyen facile et efficace afin de prendre en charge vos dépenses une fois à destination.

Cette solution est très utile car elle est valable dans plusieurs pays et établissements à l’international. En plus, plusieurs privilèges vous seront offerts, comme profiter des salons Air France dans les aéroports, de bagages supplémentaires ou encore pouvoir choisir votre siège (attention, ces avantages ne découlent pas directement de la carte American Express Platinum Air France – KLM mais du statut Flying Blue, mais la carte permet justement d’obtenir et de maintenir plus facilement les plus hauts statuts Flying Blue comme le statut « Platinum »).

Des rewards en miles + un bonus de XP très intéressant

Lors de chaque achat effectué avec votre carte American Express Platinium Air France-KLM au cours de vos déplacements, on vous offre des miles en cadeau mais aussi des bonus XP.

Déjà, lors de votre souscription, vous allez recevoir 60 XP et 20 000 miles (et même un bonus beaucoup plus important en suivant ce lien de parrainage !). Des XP supplémentaires seront ajoutés à votre compte à chaque date anniversaire de votre carte.

Ces XP vont vous servir afin d’obtenir ou maintenir votre statut Flying Blue et le faire progresser.

Rappel sur les statuts Flying Blue : l’importance des XP pour renouveler un statut

Le statut Flying Blue est un programme de fidélisation sur des compagnies aériennes telles qu’Air France, Kenya Airways, Transavia, KLM, Aircalin ou encore Tarom. Grâce à cela, pour chaque voyage effectué vous allez en retour gagner des miles ainsi que des XP qui vont vous servir à couvrir vos dépenses pour vos vols, les options prises sur vos vols ou encore pour vos lieux de séjours.

Pour atteindre le statut Platinum, qui vous permet de très nombreux avantages tels qu’un enregistrement prioritaire, un parcours prioritaire à l’aéroport (« Sky priority » = coupe file et guichets d’enregistrement réservés), la possibilité de prendre davantage de bagages en cabine et en soute, accéder aux salons Air France & ses partenaires dans tous les aéroports du monde, miles supplémentaires convertibles en billets prime… Augmenter votre statut vous permettra donc d’augmenter les privilèges ainsi que les miles que vous pouvez recevoir.

Les avantages sont tellement nombreux et tellement intéressants qu’il n’est pas possible de tous les détailler ici. Gardez simplement en tête que ces avantages dépendant du statut Flying Blue, et que votre statut dépend quant à lui du nombre de XP que vous aurez gagné au cours de l’année en fonction du nombre et de la distance des voyages que vous aurez effectués. Le statut Platinum s’atteint avec 300 XP, ce qui représente tout de même un gros objectif. Grâce à la carte Amex Platinum Air France – KLM, vous obtenez automatiquement 60 XP chaque année soit 20% des XP nécessaires, ce qui vous donne une sacrée avance !

Service de conciergerie premium très utile pour la vie privée comme pour la vie pro

La carte offre par ailleurs un service de conciergerie premium très utile pour la vie privée, mais aussi et surtout pour la vie professionnelle ! Vous avez à votre disposition un numéro disponible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Ce service de conciergerie fera le nécessaire afin de vous satisfaire, quelles que soient vos demandes. Que ce soit pour une table dans un grand restaurant (places réservées aux meilleures tables de Paris pour les titulaires d’une carte American Express) ou une place pour un grand spectacle (offres spéciales, pré-réservation et vente de billets en avant-première, événements exclusifs…), vos réservations d’hôtel, etc. Vous passerez toujours en priorité.

Assurance premium indispensable pour les grands voyageurs

Vous vous sentirez comme un VIP où que vous soyez. Grâce à cette carte,  vous disposez de toutes sortes d’assurances telles que la garantie protection des achats, l’assurance annulation et report de voyage, la garantie incidents de voyage, l’assurance neige et montagne, la responsabilité civile à l’étranger, la garantie véhicule de location, la garantie effets personnels et l’assistance médicale et frais médicaux.

Versions pro des cartes American Express Air France

Créées surtout pour les dirigeants de TPE ou ceux qui exercent des professions libérales, les versions pro des cartes American Express Air France offrent beaucoup d’autres d’avantages, spécifiquement pour la gestion des comptes au sein d’une entreprise. A ne citer que les 20 000 miles et les 450 euros remboursés sur vos achats quand vous allez y souscrire. Le programme de fidélité Flying Blue vous réserve encore plus de profits. Les services de conciergerie et la gestion de votre compte seront plus optimaux. Et d’autres services d’assurance supplémentaire garantiront votre sécurité.

La cotisation annuelle est de 650 euros. Les seules conditions de souscription :  être un dirigeant ou un professionnel de TPE,  justifier d’un revenu annuel de 80 000 euros. Votre société doit également réaliser un chiffre d’affaires d’au moins 5 millions d’euros, doit avoir existé depuis plus d’un an et posséder un compte bancaire domicilié en France.

Pour conclure

Si vous réunissez toutes les conditions et que vous envisagez sérieusement de développer votre activité à l’international, souscrivez à la carte American Express Platinum Air France – KLM sans tarder. Si vous êtes déjà un grand voyageur, qu’attendez-vous ? En suivant ce lien vous profiterez d’un bonus de miles exceptionnel. Pourquoi souscrire au plus vite ? De cette manière vous recevrez votre carte rapidement et vous pourrez commencer à explorer toutes ses fonctionnalités et possibilités avant d’avoir besoin de vous en servir lors de vos prochains déplacements dans toute la France et dans le monde entier.

Partagez sur vos réseaux